Les syndicats du personnel des agences de voyages françaises publient un communiqué commun pour donner leur position après l'échec des négociations avec le SNAV autour de la revalorisation des salaires de la branche.
Le texte est signé par la CFE-CGC, la CGT, la CFDT, Snepat-FO et la CFTC.
Les organisations estime que "cette année encore, l'organisation patronale, le SNAV, n'a pas souhaité faire d'effort.
Non seulement ses représentants n'avancent pas de propositions autres que le rattrapage du SMIC – qui est une disposition légale – et le maintient des écarts entre les groupes de classification, mais ils ont aussi refusé celles de 5 organisations syndicales de salariés représentatives."
Le texte est signé par la CFE-CGC, la CGT, la CFDT, Snepat-FO et la CFTC.
Les organisations estime que "cette année encore, l'organisation patronale, le SNAV, n'a pas souhaité faire d'effort.
Non seulement ses représentants n'avancent pas de propositions autres que le rattrapage du SMIC – qui est une disposition légale – et le maintient des écarts entre les groupes de classification, mais ils ont aussi refusé celles de 5 organisations syndicales de salariés représentatives."
Salaires gelés depuis 3 ans
Cela fait désormais 3 ans que les salaires des professionnels du secteur n'augmentent pas pour les minimas conventionnels négociés en branche.
Les 5 syndicats "réprouvent" l'attitude du SNAV qu'ils trouvent "contraire au dialogue social."
Ils rappellent, par ailleurs, que le SNAV s'est engagé oralement à maintenir le groupe A à 3 % au-dessus du SMIC pour "favoriser l'attractivité des métiers du secteur."
Les représentants du personnel expliquent qu'ils "ne peuvent cautionner une telle attitude" et qu'ils ont, par conséquent, décidé "de ne pas signer la fausse proposition du SNAV jusqu'à ce qu'une grille décente, favorable à tous les salariés, soit assurée."
Les 5 syndicats "réprouvent" l'attitude du SNAV qu'ils trouvent "contraire au dialogue social."
Ils rappellent, par ailleurs, que le SNAV s'est engagé oralement à maintenir le groupe A à 3 % au-dessus du SMIC pour "favoriser l'attractivité des métiers du secteur."
Les représentants du personnel expliquent qu'ils "ne peuvent cautionner une telle attitude" et qu'ils ont, par conséquent, décidé "de ne pas signer la fausse proposition du SNAV jusqu'à ce qu'une grille décente, favorable à tous les salariés, soit assurée."