Jean-Pierre Mas a rendez-vous dès lundi à Bercy pour formuler plusieurs demandes pour continuer à soutenir le secteur des agences et tour-opérateurs - Photo JDL
A l’occasion du Congrès Selectour qui se tient actuellement à Hammamet en Tunisie, Jean-Pierre Mas, Président des Entreprises du Voyage est revenu sur les décisions prises par le gouvernement français et le passage en rouge écarlate de 7 pays d’Afrique Australe et de l’Ile Maurice.
« Je suis affolé par les décisions prises par le gouvernement français. Le principe de précaution est poussé à l’extrême et pour le moins déraisonnable. Je me pose la question : comment peut-on avoir confiance en des personnes qui prennent de telles décisions ?
Aujourd’hui prétendre protéger la France en interdisant l’accès à l’Ile Maurice sans qu’il n’y ait aucune concertation européenne et alors que l’Ile Maurice c’est 3 vols par jour soit 1200 passagers par jour et que les frontières sont poreuses et que si on souhaite partir vers la destination on peut partir de Zurich, de Munich, d’Amsterdam et passer par Istanbul ou Dubai… » a déclaré Jean-Pierre Mas.
Des décisions qui viennent perturber grandement l’activité des agences de voyages. Une série de demandes sera formulée dès lundi 6 décembre à Bercy par les Entreprises du Voyage.
A cette occasion, le syndicat demandera de relever les plafonds de 1,8M€ à 2,3 M€ du fonds de solidarités et du FNE, et relever également de 10 M€ à 12 M€ le plafond pour les exonérations des charges fixes.
« Je suis affolé par les décisions prises par le gouvernement français. Le principe de précaution est poussé à l’extrême et pour le moins déraisonnable. Je me pose la question : comment peut-on avoir confiance en des personnes qui prennent de telles décisions ?
Aujourd’hui prétendre protéger la France en interdisant l’accès à l’Ile Maurice sans qu’il n’y ait aucune concertation européenne et alors que l’Ile Maurice c’est 3 vols par jour soit 1200 passagers par jour et que les frontières sont poreuses et que si on souhaite partir vers la destination on peut partir de Zurich, de Munich, d’Amsterdam et passer par Istanbul ou Dubai… » a déclaré Jean-Pierre Mas.
Des décisions qui viennent perturber grandement l’activité des agences de voyages. Une série de demandes sera formulée dès lundi 6 décembre à Bercy par les Entreprises du Voyage.
A cette occasion, le syndicat demandera de relever les plafonds de 1,8M€ à 2,3 M€ du fonds de solidarités et du FNE, et relever également de 10 M€ à 12 M€ le plafond pour les exonérations des charges fixes.
Autres articles
-
ETA Royaume-Uni : c'est encore le voyage scolaire qui trinque ?
-
Taxe Chirac : EDV et SETO plaident pour une application sur les résas à partir du 1er janvier et non sur les départs
-
EXCLUSIF - Air France a déjà anticipé la hausse de la taxe Chirac ! 🔑
-
Emirates et son store sont-ils en dehors des clous ? 🔑
-
Comment les EDV vont valoriser l’offre France des agences de voyages 🔑
Autres requêtes : le report des charges sociales arriérés (URSAFF), la prise en charge du chômage partiel à 100% pour les entreprises qui ont moins de 20% d’activité par rapport à 2019 soit prolongé et porté à moins 30% d’activité.
A propos de l’APLD, Jean-Pierre Mas rappelle que « ceux qui auraient oublié de faire un dossier de demande de l’APLD, il est impératif de le faire ce serait suicidaire pour vos entreprises ».
Les EDV vont demander la prise en charge des charges fixes (pertes d’exploitation) qui était prévue jusqu’à fin octobre de la prolonger en novembre et décembre « et plus si nécessaires ».
Et le syndicat va demander enfin, b[le rétablissement du fonds de solidarité dans les principes dans lequel il était au cours de l’été.
]b
« Nous ne lâcherons rien, nous sommes déterminés » a conclu le président des Entreprises du voyage.
A propos de l’APLD, Jean-Pierre Mas rappelle que « ceux qui auraient oublié de faire un dossier de demande de l’APLD, il est impératif de le faire ce serait suicidaire pour vos entreprises ».
Les EDV vont demander la prise en charge des charges fixes (pertes d’exploitation) qui était prévue jusqu’à fin octobre de la prolonger en novembre et décembre « et plus si nécessaires ».
Et le syndicat va demander enfin, b[le rétablissement du fonds de solidarité dans les principes dans lequel il était au cours de l’été.
]b
« Nous ne lâcherons rien, nous sommes déterminés » a conclu le président des Entreprises du voyage.