Le dialogue social au sein de la société CAIRE regroupant Air Antilles et Air Guyane parait fragile, voire même compliqué.
Quelques jours après le communiqué de presse du SNPL menaçant d'une grève du 17 décembre au jeudi 22 décembre 2022, la direction vient de dégainer son... propre communiqué.
La compagnie a émis un droit de réponse.
La lettre dénonce et s'insurge "contre des propos diffamatoires tenus à l’encontre de la compagnie par le syndicat tendant à faire croire qu’il y aurait des « défauts de maintenances » sur ses aéronefs."
Quelques jours après le communiqué de presse du SNPL menaçant d'une grève du 17 décembre au jeudi 22 décembre 2022, la direction vient de dégainer son... propre communiqué.
La compagnie a émis un droit de réponse.
La lettre dénonce et s'insurge "contre des propos diffamatoires tenus à l’encontre de la compagnie par le syndicat tendant à faire croire qu’il y aurait des « défauts de maintenances » sur ses aéronefs."
Air Antilles : l’OSAC confirme le bon fonctionnement de la maintenance
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En effet, le SNPL avait émis des doutes quant à la sécurité des vols en raison de défauts de maintenance et des conditions de travail dégradées.
Le syndicat demande une reprise du dialogue social. Sauf que la direction vient de lui envoyer en quelque sorte une fin de non-recevoir.
"La compagnie tient à rappeler qu’en tant que compagnie européenne, surveillée par une autorité de tutelle, elle dispose des agréments permettant d’exploiter des aéronefs car des contrôles réguliers des organismes DGAC et OSAC prouvent la conformité de ceux-ci," explique le communiqué de la direction.
Le 20 septembre 2022, le dernier rapport de l’OSAC, l’Autorité en charge de contrôler la conformité des procédures, a expliqué que tout était en règle.
Elle confirme même "la maturité du système de gestion de l’organisme nécessaire pour assurer le maintien de la navigabilité des aéronefs en gestion, selon les exigences applicables du règlement Partie-CAMO."
Les responsables de la compagnie estiment que de jeter l’opprobre sur son entreprise au travers de propos diffamatoires est dangereux.
Le syndicat demande une reprise du dialogue social. Sauf que la direction vient de lui envoyer en quelque sorte une fin de non-recevoir.
"La compagnie tient à rappeler qu’en tant que compagnie européenne, surveillée par une autorité de tutelle, elle dispose des agréments permettant d’exploiter des aéronefs car des contrôles réguliers des organismes DGAC et OSAC prouvent la conformité de ceux-ci," explique le communiqué de la direction.
Le 20 septembre 2022, le dernier rapport de l’OSAC, l’Autorité en charge de contrôler la conformité des procédures, a expliqué que tout était en règle.
Elle confirme même "la maturité du système de gestion de l’organisme nécessaire pour assurer le maintien de la navigabilité des aéronefs en gestion, selon les exigences applicables du règlement Partie-CAMO."
Les responsables de la compagnie estiment que de jeter l’opprobre sur son entreprise au travers de propos diffamatoires est dangereux.