TourMaG - Comment se porte Air Antilles, après la saison estivale et surtout la haute saison à venir ?
Jérôme Arnaud : Air Antilles a repris ses vols le 26 juin entre Pointe-à-Pitre et Saint-Barthélémy, puis le 22 juillet entre la Martinique, la Guadeloupe et Saint Martin.
Dans un contexte de reprise, après 12 mois d’absence dans le ciel antillais, la compagnie a réalisé une bonne performance, en ligne avec ses prévisions et peut se féliciter d’avoir renoué avec la ponctualité et la régularité de ses opérations.
Plus de 90% de ses vols étaient ponctuels, ce qui représente une amélioration significative par rapport aux opérations passées.
La haute saison hivernale à venir verra le retour en opérations de l’ensemble de la flotte, ce qui permettra d’offrir plus de fréquences et plus de flexibilité à nos passagers et d'envisager l’ouverture de nouvelles destinations à l’étude.
Jérôme Arnaud : Air Antilles a repris ses vols le 26 juin entre Pointe-à-Pitre et Saint-Barthélémy, puis le 22 juillet entre la Martinique, la Guadeloupe et Saint Martin.
Dans un contexte de reprise, après 12 mois d’absence dans le ciel antillais, la compagnie a réalisé une bonne performance, en ligne avec ses prévisions et peut se féliciter d’avoir renoué avec la ponctualité et la régularité de ses opérations.
Plus de 90% de ses vols étaient ponctuels, ce qui représente une amélioration significative par rapport aux opérations passées.
La haute saison hivernale à venir verra le retour en opérations de l’ensemble de la flotte, ce qui permettra d’offrir plus de fréquences et plus de flexibilité à nos passagers et d'envisager l’ouverture de nouvelles destinations à l’étude.
Air Antilles : "Nos avions seront de retour pour la haute saison hivernale
TourMaG - Où en est la flotte, l'un des gros points noirs...
Jérôme Arnaud : Air Antilles dispose de 3 ATR (2 ATR 72-600 et 1 ATR 42-600) ainsi que de 2 DHC6-400 Twin Otter d’une capacité de 19 sièges.
Actuellement, un ATR assure la liaison entre Fort-de-France, Pointe-à-Pitre et Saint-Martin. Les 2 autres sont encore en cours de réalisation de leur visite périodique. Ces visites sont généralement programmées sur les mois de plus faible activité afin de ne pas pénaliser le programme de vols.
Ils seront de retour en opérations commerciales pour la haute saison hivernale.
A lire pour compléter : Air Antilles : "aucun argent n’a été cramé !"
La liaison Pointe-à-Pitre Saint-Barthélémy est actuellement assurée par un DHC6-400, auquel viendra se joindre le 2e appareil de ce type d’ici le 15 décembre pour renforcer la capacité et proposer de nouvelles liaisons qui seront annoncées prochainement.
TourMaG - La flotte a été réduite à la portion congrue, avec seulement un avion de disponible, celui affrété. Nos confrères de la 1ère ont révélé que les tâches de maintenance obligatoires lors de la remise en vol de l’ATR, n'avaient pas été effectuées. Où en êtes-vous dans vos opérations de maintenance ?
Jérôme Arnaud : Les opérations de maintenance ont toutes été réalisées sur nos avions. Les visites en cours sont des visites règlementaires récurrentes auxquelles toutes les compagnies sont tenues.
La compagnie suit un programme de maintenance très rigoureux qui a été validé par la Direction de la Sécurité de l’Aviation Civile et qui est soumis, chaque année, à de très nombreux audits.
Toutes les tâches de maintenance obligatoires ou non, sont systématiquement effectuées et contrôlées.
Cette rumeur, véhiculée par ceux qui voient d’un mauvais œil notre retour en opérations, est non seulement infondée mais surtout ridicule, remettant au passage en question la qualité du travail de l’OSAC… Notre industrie est rigoureusement contrôlée et est le 2e secteur le plus règlementé après le nucléaire.
Toutes les actions, même les plus minimes menées sur nos avions sont documentées, tracées, contrôlées et validées par les autorités lors d’audits réguliers.
Nous avons dû arrêter notre avion quelques jours en septembre pour des vérifications d’usages demandées par nos propres services internes, en bonne intelligence avec nos organes de contrôle. Ces derniers n’ont relevé aucun écart, ce qui nous a permis de reprendre nos opérations. Il s’agit de vérifications courantes que toutes les compagnies peuvent être amenées à réaliser sur leurs appareils à intervalles réguliers ou à la demande de leur service de navigabilité.
Jérôme Arnaud : Air Antilles dispose de 3 ATR (2 ATR 72-600 et 1 ATR 42-600) ainsi que de 2 DHC6-400 Twin Otter d’une capacité de 19 sièges.
Actuellement, un ATR assure la liaison entre Fort-de-France, Pointe-à-Pitre et Saint-Martin. Les 2 autres sont encore en cours de réalisation de leur visite périodique. Ces visites sont généralement programmées sur les mois de plus faible activité afin de ne pas pénaliser le programme de vols.
Ils seront de retour en opérations commerciales pour la haute saison hivernale.
A lire pour compléter : Air Antilles : "aucun argent n’a été cramé !"
La liaison Pointe-à-Pitre Saint-Barthélémy est actuellement assurée par un DHC6-400, auquel viendra se joindre le 2e appareil de ce type d’ici le 15 décembre pour renforcer la capacité et proposer de nouvelles liaisons qui seront annoncées prochainement.
TourMaG - La flotte a été réduite à la portion congrue, avec seulement un avion de disponible, celui affrété. Nos confrères de la 1ère ont révélé que les tâches de maintenance obligatoires lors de la remise en vol de l’ATR, n'avaient pas été effectuées. Où en êtes-vous dans vos opérations de maintenance ?
Jérôme Arnaud : Les opérations de maintenance ont toutes été réalisées sur nos avions. Les visites en cours sont des visites règlementaires récurrentes auxquelles toutes les compagnies sont tenues.
La compagnie suit un programme de maintenance très rigoureux qui a été validé par la Direction de la Sécurité de l’Aviation Civile et qui est soumis, chaque année, à de très nombreux audits.
Toutes les tâches de maintenance obligatoires ou non, sont systématiquement effectuées et contrôlées.
Cette rumeur, véhiculée par ceux qui voient d’un mauvais œil notre retour en opérations, est non seulement infondée mais surtout ridicule, remettant au passage en question la qualité du travail de l’OSAC… Notre industrie est rigoureusement contrôlée et est le 2e secteur le plus règlementé après le nucléaire.
Toutes les actions, même les plus minimes menées sur nos avions sont documentées, tracées, contrôlées et validées par les autorités lors d’audits réguliers.
Nous avons dû arrêter notre avion quelques jours en septembre pour des vérifications d’usages demandées par nos propres services internes, en bonne intelligence avec nos organes de contrôle. Ces derniers n’ont relevé aucun écart, ce qui nous a permis de reprendre nos opérations. Il s’agit de vérifications courantes que toutes les compagnies peuvent être amenées à réaliser sur leurs appareils à intervalles réguliers ou à la demande de leur service de navigabilité.
Air Antilles : "Nous avons ramené le prix du billet d’avion à un niveau acceptable"
TourMaG - Pourquoi la compagnie n'a-t-elle pas anticipé la maintenance ?
Jérôme Arnaud : La reprise des opérations, liée à l’obtention de nos certificats et agréments, notamment nos agréments de maintenance et de navigabilité, a été plus longue que prévue initialement.
Les visites périodiques des avions, qui ont été conservés dans le plan de reprise, ont du être décalées à l’automne, après que les opérations de maintenance proprement dites ont été effectuées.
Ces dernières ont été réalisées de manière approfondie et avec la plus grande rigueur, justement pour garantir la sécurité des vols et de nos passagers.
Nous avons également dû faire face, comme la plupart de nos confrères, à une forte tension sur le marché des pièces détachées, allongeant les délais d’approvisionnement et retardant les travaux sur nos avions.
TourMaG - Comment se passe la commercialisation et la relance de la compagnie ?
Jérôme Arnaud : Comme tout démarrage de compagnie il faut un peu de temps et beaucoup de travail pour ancrer notre marque dans l’esprit de nos futurs passagers.
Nous avons rouvert nos points de vente en aéroport, réactivé nos partenariats avec les agences de voyage, et sommes en cours d’amélioration de notre site internet. Nous avons élaboré une offre qui tient la promesse que les actionnaires d’Air Antilles avaient faite au moment de la reprise : permettre aux Antillais de voyager inter-îles à coût maîtrisé.
Notre retour en opération a d’ores et déjà permis de ramené le prix du billet d’avion à un niveau acceptable, et cela, tous les voyageurs l’ont déjà constaté.
Par ailleurs, Air Antilles a repris ses opérations en concentrant ses efforts sur sa régularité et sa ponctualité, qui sont aujourd’hui supérieures à 90% sur tous nos vols. Il s’agit là d’une attente forte exprimée par les passagers, et un élément de différenciation majeur pour la compagnie.
Il reste du chemin à parcourir et des opportunités à saisir, notamment sur certaines liaisons qui restent trop peu desservies. Nous travaillons d’ores et déjà à étendre notre réseau vers des destinations voisines.
Jérôme Arnaud : La reprise des opérations, liée à l’obtention de nos certificats et agréments, notamment nos agréments de maintenance et de navigabilité, a été plus longue que prévue initialement.
Les visites périodiques des avions, qui ont été conservés dans le plan de reprise, ont du être décalées à l’automne, après que les opérations de maintenance proprement dites ont été effectuées.
Ces dernières ont été réalisées de manière approfondie et avec la plus grande rigueur, justement pour garantir la sécurité des vols et de nos passagers.
Nous avons également dû faire face, comme la plupart de nos confrères, à une forte tension sur le marché des pièces détachées, allongeant les délais d’approvisionnement et retardant les travaux sur nos avions.
TourMaG - Comment se passe la commercialisation et la relance de la compagnie ?
Jérôme Arnaud : Comme tout démarrage de compagnie il faut un peu de temps et beaucoup de travail pour ancrer notre marque dans l’esprit de nos futurs passagers.
Nous avons rouvert nos points de vente en aéroport, réactivé nos partenariats avec les agences de voyage, et sommes en cours d’amélioration de notre site internet. Nous avons élaboré une offre qui tient la promesse que les actionnaires d’Air Antilles avaient faite au moment de la reprise : permettre aux Antillais de voyager inter-îles à coût maîtrisé.
Notre retour en opération a d’ores et déjà permis de ramené le prix du billet d’avion à un niveau acceptable, et cela, tous les voyageurs l’ont déjà constaté.
Par ailleurs, Air Antilles a repris ses opérations en concentrant ses efforts sur sa régularité et sa ponctualité, qui sont aujourd’hui supérieures à 90% sur tous nos vols. Il s’agit là d’une attente forte exprimée par les passagers, et un élément de différenciation majeur pour la compagnie.
Il reste du chemin à parcourir et des opportunités à saisir, notamment sur certaines liaisons qui restent trop peu desservies. Nous travaillons d’ores et déjà à étendre notre réseau vers des destinations voisines.
Air Antilles veut "étendre notre réseau vers les destinations voisines"
TourMaG - Aviez-vous imaginé une relance aussi compliquée ? Entre les problèmes de maintenance, les trous dans les comptes, les concurrents qui parlent énormément...
Jérôme Arnaud : Tout lancement de compagnie aérienne est un challenge. Notre industrie est très capitalistique et très règlementée et nos concurrents ne nous ont pas attendus.
Cela crée d’autant plus de défis à relever. Il y a de nombreux exemples, y compris en France, de projets de compagnie qui s’éteignent avant même d’avoir obtenu l’autorisation de voler.
Nos équipes ont travaillé avec beaucoup d’implication et de professionnalisme pour surmonter les difficultés et notre organisation est aujourd’hui dimensionnée pour pouvoir relever ces défis et écrire une belle page de l’histoire de l’aviation aux Antilles.
TourMaG - Une rumeur circule sur le fait qu’Air Antilles a besoin de 4 millions d’euros assez rapidement. Est-ce vrai ? Et pourquoi ce besoin en cash ?
Jérôme Arnaud : Le décalage dans le temps de la reprise, par rapport aux prévisions initiales, a nécessité de faire face à des charges fixes alors que nous ne pouvions pas encore compter sur les revenus de la vente de nos billets.
Nos actionnaires ont tout à fait compris l’enjeu et adapté leur soutien en conséquence, afin de permettre à Air Antilles de retrouver la place qui doit être la sienne dans le paysage aéronautique antillais.
N’oublions pas que l’offre en transport aérien avait diminué de près de 35%, avec, pour conséquence, une envolée des prix qui pénalisait fortement les résidents de nos territoires dans leurs projets de déplacements, personnels ou professionnels.
Plus qu’un projet de compagnie aérienne, c’est donc un enjeu de mobilité, de connectivité et de continuité territoriale que soutiennent les actionnaires en renouvelant leur confiance dans ce projet.
Jérôme Arnaud : Tout lancement de compagnie aérienne est un challenge. Notre industrie est très capitalistique et très règlementée et nos concurrents ne nous ont pas attendus.
Cela crée d’autant plus de défis à relever. Il y a de nombreux exemples, y compris en France, de projets de compagnie qui s’éteignent avant même d’avoir obtenu l’autorisation de voler.
Nos équipes ont travaillé avec beaucoup d’implication et de professionnalisme pour surmonter les difficultés et notre organisation est aujourd’hui dimensionnée pour pouvoir relever ces défis et écrire une belle page de l’histoire de l’aviation aux Antilles.
TourMaG - Une rumeur circule sur le fait qu’Air Antilles a besoin de 4 millions d’euros assez rapidement. Est-ce vrai ? Et pourquoi ce besoin en cash ?
Jérôme Arnaud : Le décalage dans le temps de la reprise, par rapport aux prévisions initiales, a nécessité de faire face à des charges fixes alors que nous ne pouvions pas encore compter sur les revenus de la vente de nos billets.
Nos actionnaires ont tout à fait compris l’enjeu et adapté leur soutien en conséquence, afin de permettre à Air Antilles de retrouver la place qui doit être la sienne dans le paysage aéronautique antillais.
N’oublions pas que l’offre en transport aérien avait diminué de près de 35%, avec, pour conséquence, une envolée des prix qui pénalisait fortement les résidents de nos territoires dans leurs projets de déplacements, personnels ou professionnels.
Plus qu’un projet de compagnie aérienne, c’est donc un enjeu de mobilité, de connectivité et de continuité territoriale que soutiennent les actionnaires en renouvelant leur confiance dans ce projet.
Air Antilles : "Nous avons des discussions avec différents interlocuteurs, privés comme publics"
TourMaG - Edeis est pointé du doigt. Il participe peu aux opérations capitalistiques d’Air Antilles, laissant la seule région de Saint-Martin aux commandes (financièrement). Or, cette dernière a été épinglée par la chambre territoriale des comptes sur sa gestion. Que répondez-vous ?
Jérôme Arnaud : Il est regrettable qu’une poignée de personnes, parfois animées par des intérêts privés, tentent de discréditer l’engagement de nos actionnaires et de semer le doute auprès de nos passagers.
Ces critiques servent souvent à préserver des positions monopolistiques qui freinent la dynamique concurrentielle.
Concernant la collectivité, il est important de souligner qu’elle n’a pas été épinglée par la Chambre territoriale des comptes, contrairement à ce qui est affirmé, puisqu’aucun rapport n’a été publié à ce jour.
La collectivité a pris ses responsabilités en soutenant une concurrence saine et en assurant la continuité des liaisons aériennes essentielles pour nos territoires, dans un contexte économique marqué par des monopoles et des problématiques de vie chère.
Quant à l’actionnaire privé, il est pleinement engagé dans le développement d’Air Antilles, tant sur le plan opérationnel que financier.
Chaque partie prenante joue un rôle déterminant dans ce projet collectif, et cette complémentarité est un gage de réussite pour le futur de la compagnie et pour les Antilles.
TourMaG - De nouvelles collectivités ou entreprises pourraient-elles recapitaliser Air Antilles ?
Jérôme Arnaud : En accord avec nos actionnaires actuels, nous travaillons à embarquer d’autres acteurs économiques à nos cotés pour encore renforcer la robustesse de notre compagnie.
Nous avons des discussions avec différents interlocuteurs, privés comme publics, en vue d’ouvrir le capital et permettre à d’autres investisseurs de s’associer à cette belle aventure.
Jérôme Arnaud : Il est regrettable qu’une poignée de personnes, parfois animées par des intérêts privés, tentent de discréditer l’engagement de nos actionnaires et de semer le doute auprès de nos passagers.
Ces critiques servent souvent à préserver des positions monopolistiques qui freinent la dynamique concurrentielle.
Concernant la collectivité, il est important de souligner qu’elle n’a pas été épinglée par la Chambre territoriale des comptes, contrairement à ce qui est affirmé, puisqu’aucun rapport n’a été publié à ce jour.
La collectivité a pris ses responsabilités en soutenant une concurrence saine et en assurant la continuité des liaisons aériennes essentielles pour nos territoires, dans un contexte économique marqué par des monopoles et des problématiques de vie chère.
Quant à l’actionnaire privé, il est pleinement engagé dans le développement d’Air Antilles, tant sur le plan opérationnel que financier.
Chaque partie prenante joue un rôle déterminant dans ce projet collectif, et cette complémentarité est un gage de réussite pour le futur de la compagnie et pour les Antilles.
TourMaG - De nouvelles collectivités ou entreprises pourraient-elles recapitaliser Air Antilles ?
Jérôme Arnaud : En accord avec nos actionnaires actuels, nous travaillons à embarquer d’autres acteurs économiques à nos cotés pour encore renforcer la robustesse de notre compagnie.
Nous avons des discussions avec différents interlocuteurs, privés comme publics, en vue d’ouvrir le capital et permettre à d’autres investisseurs de s’associer à cette belle aventure.
Air Antilles : "Nous annoncerons prochainement quelques nouveautés"
TourMaG - Quels sont les prochains enjeux pour la compagnie ?
Jérôme Arnaud : Nous travaillons donc en permanence à l’amélioration de notre service et de l’expérience client. Nous étudions toutes les pistes de développement de nos services et activités qui doivent nous permettre de nous différencier.
Des ouvertures de ligne sont prévues dès que la flotte sera complète. Nous annoncerons prochainement quelques nouveautés qui amélioreront le quotidien des Antillais, mais il est encore trop tôt pour en parler.
TourMaG - L’hiver qui arrive est-il crucial ?
Jérôme Arnaud : La saison hivernale est cruciale pour toutes les compagnies qui opèrent aux Antilles ou entre l’Europe et la Caraïbe. Nous nous y préparons activement.
Jérôme Arnaud : Nous travaillons donc en permanence à l’amélioration de notre service et de l’expérience client. Nous étudions toutes les pistes de développement de nos services et activités qui doivent nous permettre de nous différencier.
Des ouvertures de ligne sont prévues dès que la flotte sera complète. Nous annoncerons prochainement quelques nouveautés qui amélioreront le quotidien des Antillais, mais il est encore trop tôt pour en parler.
TourMaG - L’hiver qui arrive est-il crucial ?
Jérôme Arnaud : La saison hivernale est cruciale pour toutes les compagnies qui opèrent aux Antilles ou entre l’Europe et la Caraïbe. Nous nous y préparons activement.