Ce jeudi 31 octobre 2013, Air France-KLM fait état d'une progression de 29,1 % de son bénéfice d'exploitation au troisième trimestre 2013. En revanche, dans un même temps, le bénéfice net du groupe a reculé de 51,4 %.
Un replis qui s'explique, d'une part, par une charge fiscale de 140 millions d'euros et, d'autre part, par la dépréciation de la valeur des titres d'Alitalia qui représente environ 137 millions d'euros, selon Les Echos.
Entre juillet et septembre 2013, Air France-KLM a réalisé un bénéfice net d'exploitation de 634 millions d'euros. Il était de 491 millions d'euros au troisième trimestre 2012. Le bénéfice net atteint, lui, 144 millions d'euros contre 296 millions d'euros en 2012.
Des résultats qui permettent au groupe de se montrer optimiste pour la fin de l'année. Il explique qu'il "maintient son objectif d'une amélioration du résultat d'exploitation sur le second semestre en ligne avec celle du premier semestre", dans un communiqué.
Le chiffre d'affaires (CA) grimpe de 0,4 % (3,8 % sans effet de change) pour se fixer à 7,2 milliards d'euros. Le trafic progresse de 2,5 % pour une croissance des capacités de 1,4 %.
Pour autant, le groupe s'attend à une année 2014 plus délicate. Il prévoit que son excédent brut d'exploitation (Ebitda) soit situé au niveau le plus bas prévu pour l'année prochaine. Il repousse ainsi son objectif de réduction de sa dette à 2015.
Un replis qui s'explique, d'une part, par une charge fiscale de 140 millions d'euros et, d'autre part, par la dépréciation de la valeur des titres d'Alitalia qui représente environ 137 millions d'euros, selon Les Echos.
Entre juillet et septembre 2013, Air France-KLM a réalisé un bénéfice net d'exploitation de 634 millions d'euros. Il était de 491 millions d'euros au troisième trimestre 2012. Le bénéfice net atteint, lui, 144 millions d'euros contre 296 millions d'euros en 2012.
Des résultats qui permettent au groupe de se montrer optimiste pour la fin de l'année. Il explique qu'il "maintient son objectif d'une amélioration du résultat d'exploitation sur le second semestre en ligne avec celle du premier semestre", dans un communiqué.
Le chiffre d'affaires (CA) grimpe de 0,4 % (3,8 % sans effet de change) pour se fixer à 7,2 milliards d'euros. Le trafic progresse de 2,5 % pour une croissance des capacités de 1,4 %.
Pour autant, le groupe s'attend à une année 2014 plus délicate. Il prévoit que son excédent brut d'exploitation (Ebitda) soit situé au niveau le plus bas prévu pour l'année prochaine. Il repousse ainsi son objectif de réduction de sa dette à 2015.
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