Les équipes d'Alpitour France, mercredi 18 avril lors de l'inauguration de leur dernier club, en Sardaigne © PG TM
Un an jour pour jour après le lancement d'Alpitour France, son directeur général, Patrice Caradec, tient ses objectifs.
A l'occasion de l'ouverture de son 12e club, le Bravo Club Marina Sardaigna (80 chambres, près d'Olbia, en Sardaigne), l'ex-patron de Transat France s'enorgueillit d'un premier bilan positif.
La nouvelle branche française du numéro 1 du voyage en Italie, a déjà fait voyager 15 000 clients, et table sur 27 000 pax sur sa première année complète (entre novembre 2017 et novembre 2018). Patrice Caradec précise : "6600 personnes ont voyagé avec nous sur la saison d'hiver. Nous en visions 6000".
Il poursuit : "Je suis confiant sur l'avenir. Nous sommes armés pour tenir nos objectifs en termes de pax et de chiffre d'affaires malgré la concurrence et la très forte pression que nous subissons sur les marges".
Le voyagiste espère ainsi être rentable dès 2019, avec un chiffre d'affaires de 40 millions d'euros minimum.
A l'occasion de l'ouverture de son 12e club, le Bravo Club Marina Sardaigna (80 chambres, près d'Olbia, en Sardaigne), l'ex-patron de Transat France s'enorgueillit d'un premier bilan positif.
La nouvelle branche française du numéro 1 du voyage en Italie, a déjà fait voyager 15 000 clients, et table sur 27 000 pax sur sa première année complète (entre novembre 2017 et novembre 2018). Patrice Caradec précise : "6600 personnes ont voyagé avec nous sur la saison d'hiver. Nous en visions 6000".
Il poursuit : "Je suis confiant sur l'avenir. Nous sommes armés pour tenir nos objectifs en termes de pax et de chiffre d'affaires malgré la concurrence et la très forte pression que nous subissons sur les marges".
Le voyagiste espère ainsi être rentable dès 2019, avec un chiffre d'affaires de 40 millions d'euros minimum.
Les priorités : plus de clubs, la grande distribution... et Selectour
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Le directeur général l'assure : "nos activités ont vraiment débuté lorsqu'on nous avons été distribués sur Orchestra, touchant ainsi la grande distribution".
Une grande distribution qui représente plus de la moitié des ventes du tour-opérateur, dont 35% pour le seul Leclerc Voyages. D'après son directeur général, les Bravo Club ont trouvé leur place sur le marché en visant la même cible de clientèle que Look ou Coralia.
En revanche, toujours pas de référencement chez Selectour et Havas pour le dernier arrivé sur le marché des clubs. "C'est en cours", assure pourtant Patrice Caradec. "On attend avec intérêt et envie notre contrat de référencement de 3 ans".
En attendant, Alpitour France poursuit sa stratégie de montée en puissance. "Nous sommes sans cesse à la recherche de nouveaux produits pour amener du neuf sur le marché français. Nous sommes beaucoup aidés en cela par notre structure : la solidité d'être adossé à un grand groupe, et l'agilité d'une start-up", a rappelé Patrice Caradec aux 80 agents de voyages qu'il avait invité à la pré-ouverture de son nouveau club de Sardaigne.
3 à 4 nouveaux clubs continueront ainsi d'ouvrir leurs portes chaque année, venant s'ajouter aux 12 établissements déjà ouverts en Europe ou sur long-courriers.
Pour cet été, outre le Bravo Club Marina Sardaigna, Alpitour commercialisera des nouveaux clubs en Grèce, en Crète et à Majorque.
Pour l'hiver sont prévus des établissements sur la côte Pacifique du Mexique (Bravo Club Pacific Vallarta) et à Oman (Sifawi). Et pour la suite, certaines destinations semblent être prioritaires : les îles grecques, l'Andalousie, la Sicile ou la Croatie.
Une grande distribution qui représente plus de la moitié des ventes du tour-opérateur, dont 35% pour le seul Leclerc Voyages. D'après son directeur général, les Bravo Club ont trouvé leur place sur le marché en visant la même cible de clientèle que Look ou Coralia.
En revanche, toujours pas de référencement chez Selectour et Havas pour le dernier arrivé sur le marché des clubs. "C'est en cours", assure pourtant Patrice Caradec. "On attend avec intérêt et envie notre contrat de référencement de 3 ans".
En attendant, Alpitour France poursuit sa stratégie de montée en puissance. "Nous sommes sans cesse à la recherche de nouveaux produits pour amener du neuf sur le marché français. Nous sommes beaucoup aidés en cela par notre structure : la solidité d'être adossé à un grand groupe, et l'agilité d'une start-up", a rappelé Patrice Caradec aux 80 agents de voyages qu'il avait invité à la pré-ouverture de son nouveau club de Sardaigne.
3 à 4 nouveaux clubs continueront ainsi d'ouvrir leurs portes chaque année, venant s'ajouter aux 12 établissements déjà ouverts en Europe ou sur long-courriers.
Pour cet été, outre le Bravo Club Marina Sardaigna, Alpitour commercialisera des nouveaux clubs en Grèce, en Crète et à Majorque.
Pour l'hiver sont prévus des établissements sur la côte Pacifique du Mexique (Bravo Club Pacific Vallarta) et à Oman (Sifawi). Et pour la suite, certaines destinations semblent être prioritaires : les îles grecques, l'Andalousie, la Sicile ou la Croatie.
Alpitour France en chiffres
1 an d'existence
15 000 clients, avec un panier moyen à 1060€
22 employés dont 10 commerciaux
Dans ses clubs, 1 animateur pour 10 chambres. Si les animateurs parlent français, ils sont formés en Suisse, et sont embauchés avec des salaires italiens, et ne sont donc pas soumis au Smic. Cela représenterait pour Alpitour une économie de 40% sur le coût d'animations de ses établissements.
15 000 clients, avec un panier moyen à 1060€
22 employés dont 10 commerciaux
Dans ses clubs, 1 animateur pour 10 chambres. Si les animateurs parlent français, ils sont formés en Suisse, et sont embauchés avec des salaires italiens, et ne sont donc pas soumis au Smic. Cela représenterait pour Alpitour une économie de 40% sur le coût d'animations de ses établissements.