i-tourisme : Vous allez faire partie du comité technique du projet de la direction Ile-de-France porté par l’OPCA et le SNAV. Pourquoi avoir rejoint ce projet alors que vous aviez développé votre propre outil d’analyse pour les agences ?
Amadeus : Nous avions effectivement créé cet outil en collaboration avec l’ESCAET.
Nous avons la satisfaction d’avoir contribué à faire avancer cette idée d’un référentiel métier dans le but d’aider la distribution à améliorer sa compétitivité dans des domaines stratégiques.
Aujourd’hui il existe un outil similaire avec l’avantage notable, pour les agences de voyages, de bénéficier de formation co-financée correspondant à leurs besoins.
Nous ne pouvions que soutenir cette initiative, comme nous l’avions fait avec notre matrice.
i-tourisme : Mais Amadeus va gagner quoi ?
Amadeus : Directement ? Rien. Mais ce n’est pas de cette façon qu’il faut poser la question.
La mission d’Amadeus est d’être aussi proche de nos clients que possible pour les accompagner dans leur transformation numérique.
Équiper les agences de la technologie et des services qui leur permettent d’être attractives et compétitives est notre raison d’être.
En faisant partie du comité technique de cette opération, nous allons joindre nos forces pour promouvoir et développer l’utilisation de cet outil afin de coller aux besoins des agences. Nous le devons à nos clients.
Amadeus : Nous avions effectivement créé cet outil en collaboration avec l’ESCAET.
Nous avons la satisfaction d’avoir contribué à faire avancer cette idée d’un référentiel métier dans le but d’aider la distribution à améliorer sa compétitivité dans des domaines stratégiques.
Aujourd’hui il existe un outil similaire avec l’avantage notable, pour les agences de voyages, de bénéficier de formation co-financée correspondant à leurs besoins.
Nous ne pouvions que soutenir cette initiative, comme nous l’avions fait avec notre matrice.
i-tourisme : Mais Amadeus va gagner quoi ?
Amadeus : Directement ? Rien. Mais ce n’est pas de cette façon qu’il faut poser la question.
La mission d’Amadeus est d’être aussi proche de nos clients que possible pour les accompagner dans leur transformation numérique.
Équiper les agences de la technologie et des services qui leur permettent d’être attractives et compétitives est notre raison d’être.
En faisant partie du comité technique de cette opération, nous allons joindre nos forces pour promouvoir et développer l’utilisation de cet outil afin de coller aux besoins des agences. Nous le devons à nos clients.
Alexandre Jorre, directeur marketing et communication Amadeus France
i-tourisme : Mais l’outil, ce ne sera plus le vôtre, mais celui de l’OPCA ?
Amadeus : C’est exact et l’OPCA est souverain. Notre rôle est consultatif.
Si vous suivez notre actualité, vous savez que le thème de la collaboration est très présent dans notre vision.
Nous allons faire bénéficier au comité de pilotage de notre expérience, de nos recherches, de notre veille sur les tendances de consommation, nous allons l’informer sur la naissance des nouvelles solutions technologiques BtoB, etc.
i-tourisme : Comment concrètement cela va s’organiser ?
Amadeus : C’est trop tôt pour en parler. Nous allons commencer à faire la promotion du kit d’autodiagnostic lors de notre conférence de l’IFTM Top Résa sur l’agence connectée.
Ensuite nous allons attendre les premières formations de cette fin d’année pour faire un bilan avec l’OPCA en janvier prochain, qui sera, je pense, assez déterminant.
i-tourisme : Pourquoi assez déterminant ?
Amadeus : Car il y a toujours des incertitudes. La formation a toujours été un problème par le fait que les agences ont peu de temps.
Il va falloir convaincre. Avec ce projet, tout le monde va s’y mettre, votre média, le SNAV et toutes les forces en présence. Il y a de quoi être optimiste, mais il faut mesurer le progrès pour se prononcer.
i-tourisme : Et en fonction ?
Amadeus : Avec les premiers résultats nous aurons les tendances et cela nous permettra je l'espère d’établir un baromètre que nous pourrions publier comme nous l’avions fait avec notre matrice. Tout cela va contribuer à aider les agences off line.
i-tourisme : A ce sujet, comment se porte le secteur ?
Amadeus : Le contexte économique est difficile, mais je vous rappelle qu’il y a dix ans certains évoquaient la disparition des agences de voyages.
Vous voyez bien aujourd’hui qu’il n’en est rien.
Par contre, il faut procéder à des adaptations, des évolutions. Les agences doivent s’approprier les nouveaux outils, une raison de plus de soutenir ce projet.
Amadeus : C’est exact et l’OPCA est souverain. Notre rôle est consultatif.
Si vous suivez notre actualité, vous savez que le thème de la collaboration est très présent dans notre vision.
Nous allons faire bénéficier au comité de pilotage de notre expérience, de nos recherches, de notre veille sur les tendances de consommation, nous allons l’informer sur la naissance des nouvelles solutions technologiques BtoB, etc.
i-tourisme : Comment concrètement cela va s’organiser ?
Amadeus : C’est trop tôt pour en parler. Nous allons commencer à faire la promotion du kit d’autodiagnostic lors de notre conférence de l’IFTM Top Résa sur l’agence connectée.
Ensuite nous allons attendre les premières formations de cette fin d’année pour faire un bilan avec l’OPCA en janvier prochain, qui sera, je pense, assez déterminant.
i-tourisme : Pourquoi assez déterminant ?
Amadeus : Car il y a toujours des incertitudes. La formation a toujours été un problème par le fait que les agences ont peu de temps.
Il va falloir convaincre. Avec ce projet, tout le monde va s’y mettre, votre média, le SNAV et toutes les forces en présence. Il y a de quoi être optimiste, mais il faut mesurer le progrès pour se prononcer.
i-tourisme : Et en fonction ?
Amadeus : Avec les premiers résultats nous aurons les tendances et cela nous permettra je l'espère d’établir un baromètre que nous pourrions publier comme nous l’avions fait avec notre matrice. Tout cela va contribuer à aider les agences off line.
i-tourisme : A ce sujet, comment se porte le secteur ?
Amadeus : Le contexte économique est difficile, mais je vous rappelle qu’il y a dix ans certains évoquaient la disparition des agences de voyages.
Vous voyez bien aujourd’hui qu’il n’en est rien.
Par contre, il faut procéder à des adaptations, des évolutions. Les agences doivent s’approprier les nouveaux outils, une raison de plus de soutenir ce projet.
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