TUI France recrute 700 saisonniers pour la saison été 2024 au sein de ses 55 Clubs Lookéa et Clubs Marmara à l’été 2024. @tuifrance
Dernière ligne droite pour les recrutements des saisonniers qui assureront l’animation des clubs vacances cet été !
Animateurs polyvalent, animateurs mini-club, chorégraphes, techniciens son... 700 saisonniers sont attendus chez TUI France pour la saison été 2024. Une vingtaine de postes sont actuellement à pourvoir.
« Les recrutements sont lancés depuis août 2023 pour recruter nos animateurs qui effectuent en ce moment leur formation au sein de notre école partenaire Klaxon Rouge, en Bretagne. Ils sont 215 sur site, les autres postes sont pourvus par nos animateurs titulaires et fidèles », précise Christophe Lavail, directeur des Clubs de TUI France, qui proposera 55 Clubs Lookéa et Clubs Marmara à l’été 2024.
De son côté, Fram finalise le recrutement de ses pilotes-vacances. Une dizaine de postes de chefs d'équipe (responsables d'animation et chefs de centre) sont encore vacants sur les 200 ouverts pour la saison 2024.
En 2024, plus de 90 nouvelles recrues ont intégré les formations aux métiers de l'animation, en contrat d'apprentissage au sein du groupe toulousain. FRAM s'appuie sur l'expertise de deux centres de formations : L'Ecole The Village et Nxlvl.
« Le groupe FRAM a entamé ces dernières années une stratégie de développement de son offre club, souligne le responsable du service Hotels Clubs de FRAM. Pour la saison à venir, ce ne seront pas moins de 180 hôtels clubs Framissima et Club Jumbo qui seront déployés sur plus de 30 destinations , soit la plus large offre de clubs du marché du tour operating français. »
Chez Belambra Clubs, 40 clubs et hôtels sont ouverts pour l’été 2024. Sur les 2000 postes à pourvoir pour la saison, plus de 1000 recrutements sont en cours. « Nous recherchons tous types de profils. Les profils d'animateur petite enfance, de cuisinier, et chef cuisinier restent les plus recherchés », précise Mélanie Fontugne, DRH de Belambra Clubs.
Alpitour France recherche 180 animateurs Français ou francophones pour animer sa trentaine de Bravo Club et sa dizaine de SeaClub. Une soixantaine d’apprentis, recrutés pour 9 mois, a entamé une formation mi-janvier chez Nxlvl et Laser formation.
Animateurs polyvalent, animateurs mini-club, chorégraphes, techniciens son... 700 saisonniers sont attendus chez TUI France pour la saison été 2024. Une vingtaine de postes sont actuellement à pourvoir.
« Les recrutements sont lancés depuis août 2023 pour recruter nos animateurs qui effectuent en ce moment leur formation au sein de notre école partenaire Klaxon Rouge, en Bretagne. Ils sont 215 sur site, les autres postes sont pourvus par nos animateurs titulaires et fidèles », précise Christophe Lavail, directeur des Clubs de TUI France, qui proposera 55 Clubs Lookéa et Clubs Marmara à l’été 2024.
De son côté, Fram finalise le recrutement de ses pilotes-vacances. Une dizaine de postes de chefs d'équipe (responsables d'animation et chefs de centre) sont encore vacants sur les 200 ouverts pour la saison 2024.
En 2024, plus de 90 nouvelles recrues ont intégré les formations aux métiers de l'animation, en contrat d'apprentissage au sein du groupe toulousain. FRAM s'appuie sur l'expertise de deux centres de formations : L'Ecole The Village et Nxlvl.
« Le groupe FRAM a entamé ces dernières années une stratégie de développement de son offre club, souligne le responsable du service Hotels Clubs de FRAM. Pour la saison à venir, ce ne seront pas moins de 180 hôtels clubs Framissima et Club Jumbo qui seront déployés sur plus de 30 destinations , soit la plus large offre de clubs du marché du tour operating français. »
Chez Belambra Clubs, 40 clubs et hôtels sont ouverts pour l’été 2024. Sur les 2000 postes à pourvoir pour la saison, plus de 1000 recrutements sont en cours. « Nous recherchons tous types de profils. Les profils d'animateur petite enfance, de cuisinier, et chef cuisinier restent les plus recherchés », précise Mélanie Fontugne, DRH de Belambra Clubs.
Alpitour France recherche 180 animateurs Français ou francophones pour animer sa trentaine de Bravo Club et sa dizaine de SeaClub. Une soixantaine d’apprentis, recrutés pour 9 mois, a entamé une formation mi-janvier chez Nxlvl et Laser formation.
Un métier attractif pour les jeunes
Face à la pléthore d’offres d’emploi saisonnier dans les clubs-vacances, la concurrence entre les professionnels des vacances est rude.
« L'ensemble des tours opérateurs, comme les grands noms de l'hôtellerie de plein air en France, lancent tous leurs campagnes de recrutement à la même période avec des besoins en animateurs qui augmentent chaque année », résume Mathieu Benedico.
« Nous nous livrons tous à une course acharnée pour identifier les meilleurs profils ! Toutefois, notre place de leader nous donne un avantage certain et facilite depuis deux ans la captation de profils expérimentés. Le flux de candidatures reçues sur notre plateforme est indéniablement plus important que les années précédentes, nous en avons traitées pas moins de 5 000 entre septembre et décembre », assure le responsable du service Hotels Clubs de Fram.
Quelques postes restent plus problématiques : « Les postes en cuisine ou d’animation de la petite enfance restent des "emplois sous tension", mais nous avons d'ores-et-déjà de belles candidatures pour cet été ! », souligne Frédéric Klein, responsable RH des Villages Clubs du Soleil, qui recherche 400 animateurs.
Chez TUI France, on se veut rassurant : « Nous bénéficions de la belle notoriété de nos marques et de la fidélité des équipes d'animation en poste grâce à un accompagnement sur-mesure tout au long de l'année et à la qualité de notre formation diplômante, ce qui nous permet cette année encore de ne pas avoir de difficulté de recrutement », se félicite Christophe Lavail, directeur des Clubs de TUI France.
Mélanie Fontugne, DRH de Belambra Clubs s’inquiète de « l'impact des JO qui risque de renforcer la pénurie de collaborateurs. »
Les recruteurs semblent s’accorder pour affirmer que le métier d’animateur séduit toujours les jeunes.
« Le métier reste attractif. Pour recruter 60 apprentis, nous avons reçu 250 candidatures, note Patrice Caradec, président d’Alpitour France. Mais attention, ce ne sont pas des vacances ! Nous sommes plus dur pendant la formation que pendant la saison, car nous voulons leur montrer la discipline nécessaire pour être un bon animateur. Il faut être smart et rigoureux. Nous savons que nous allons perdre des candidats en formation. L’objectif est de ne pas les perdre une fois la saison entamée. »
En recrutant une soixantaine d’apprentis, Alpitour espère voir une quarantaine de jeunes débuter la saison en avril.
Chez Alpitours France, le DG mouille le maillot pour trouver ses équipes. « Je gère l’intégralité du casting. Nous voulons leur montrer que chez Bravo, nous avons l’esprit club, nous avons l’esprit d’entreprise. Le président lui-même s’investie pour créer ce lien avec les saisonniers, comme avec les employés présents à l’année », souligne Patrice Caradec, qui arrive à garder en moyenne ses saisonniers.
« L'ensemble des tours opérateurs, comme les grands noms de l'hôtellerie de plein air en France, lancent tous leurs campagnes de recrutement à la même période avec des besoins en animateurs qui augmentent chaque année », résume Mathieu Benedico.
« Nous nous livrons tous à une course acharnée pour identifier les meilleurs profils ! Toutefois, notre place de leader nous donne un avantage certain et facilite depuis deux ans la captation de profils expérimentés. Le flux de candidatures reçues sur notre plateforme est indéniablement plus important que les années précédentes, nous en avons traitées pas moins de 5 000 entre septembre et décembre », assure le responsable du service Hotels Clubs de Fram.
Quelques postes restent plus problématiques : « Les postes en cuisine ou d’animation de la petite enfance restent des "emplois sous tension", mais nous avons d'ores-et-déjà de belles candidatures pour cet été ! », souligne Frédéric Klein, responsable RH des Villages Clubs du Soleil, qui recherche 400 animateurs.
Chez TUI France, on se veut rassurant : « Nous bénéficions de la belle notoriété de nos marques et de la fidélité des équipes d'animation en poste grâce à un accompagnement sur-mesure tout au long de l'année et à la qualité de notre formation diplômante, ce qui nous permet cette année encore de ne pas avoir de difficulté de recrutement », se félicite Christophe Lavail, directeur des Clubs de TUI France.
Mélanie Fontugne, DRH de Belambra Clubs s’inquiète de « l'impact des JO qui risque de renforcer la pénurie de collaborateurs. »
Les recruteurs semblent s’accorder pour affirmer que le métier d’animateur séduit toujours les jeunes.
« Le métier reste attractif. Pour recruter 60 apprentis, nous avons reçu 250 candidatures, note Patrice Caradec, président d’Alpitour France. Mais attention, ce ne sont pas des vacances ! Nous sommes plus dur pendant la formation que pendant la saison, car nous voulons leur montrer la discipline nécessaire pour être un bon animateur. Il faut être smart et rigoureux. Nous savons que nous allons perdre des candidats en formation. L’objectif est de ne pas les perdre une fois la saison entamée. »
En recrutant une soixantaine d’apprentis, Alpitour espère voir une quarantaine de jeunes débuter la saison en avril.
Chez Alpitours France, le DG mouille le maillot pour trouver ses équipes. « Je gère l’intégralité du casting. Nous voulons leur montrer que chez Bravo, nous avons l’esprit club, nous avons l’esprit d’entreprise. Le président lui-même s’investie pour créer ce lien avec les saisonniers, comme avec les employés présents à l’année », souligne Patrice Caradec, qui arrive à garder en moyenne ses saisonniers.
Les clubs recrutent : les réseaux sociaux, canal de communication dédié aux jeunes
Chez Fram, une dizaine de postes de chefs d'équipe (responsables d'animation et chefs de centre) sont encore vacants sur les 200 ouverts pour la saison 2024. @fram
C’est indéniable, les équipes en charge de l’animation sont essentielles pour assurer le succès des clubs.
« La réussite de notre saison dépendra pour beaucoup de la qualité de notre recrutement. Capter les meilleurs profils est un enjeu capital pour notre entreprise et nous travaillons sans cesse à renforcer notre attractivité et développer notre marque employeur », note Mathieu Benedico, responsable du service Hotels Clubs de Fram.
Approcher les jeunes semble être la meilleure option pour les recruteurs.
Ainsi, pour se rendre attractif Fram recrute via divers canaux : réseaux sociaux, salons, contact avec des écoles de formation en tourisme et hôtellerie… et « des outils numériques modernes qu'affectionne la jeune génération, comme le metavers par exemple », souligne Mathieu Benedico.
Le TO a également délocalisé une de ses formations sur l’île de Beauté. « L'une de nos deux formations se déroule cette année au sein de notre Framissima Marina Viva en Corse à Ajaccio, dans des conditions de travail idéales pour apprendre le métier. Cela a constitué un argument de poids au moment du recrutement », assure-t-il.
« Nous comptons sur les profils étudiants qui sont très appréciés par nos directions car ils sont « agiles » et comprennent très vite les attentes de l'entreprise notamment en termes de savoir-être », affirme Frédéric Klein, responsable RH des Villages Clubs du Soleil, qui recherche 400 animateurs.
Villages Clubs du Soleil organisera un événement sur son site de Marseille le 20 février et participera à des « job dating » en région.
L'an dernier, TUI France a recruté sur les réseaux sociaux. « Nous travaillons avec des messages impactants, afin d'attirer les candidats. Nos deux sites de recrutement sont mis à jour régulièrement (Marmara jobs et Lookea jobs). Nous bénéficions de la forte notoriété de nos marques et nous avons plus de demandes que de postes proposés », se réjouit Christophe Lavail.
Autres avantages : « Chez TUI, les animateurs sont logés, nourris et blanchis et leurs déplacements de leur domicile vers le Club sont également pris en charge. A partir de 6 mois d'ancienneté, les salariés ont les mêmes avantages sociaux que ceux de l'entreprise. Les nouvelles générations d'animateurs sont très sensibles au confort et au bien-être et nous devons en tenir compte. Ce qui est sûr, c'est que la passion de ce métier est toujours aussi présente », constate-t-il.
Idem chez Belambra Clubs. « Nous avons également beaucoup travaillé le recrutement via les réseaux sociaux depuis trois ans et sourçons dans les groupes de saisonniers, affirme Mélanie Fontugne. Notre site de recrutement reste aussi une valeur sûre, tous nos postes sont publiés en ligne et les candidats peuvent également candidater en spontané. Les postes en saison sont logés sur clubs avec une participation faible : l'occasion de vivre et travailler quelques mois ou années dans des endroits privilégiés en bord de mer ou à la montagne. »
« La réussite de notre saison dépendra pour beaucoup de la qualité de notre recrutement. Capter les meilleurs profils est un enjeu capital pour notre entreprise et nous travaillons sans cesse à renforcer notre attractivité et développer notre marque employeur », note Mathieu Benedico, responsable du service Hotels Clubs de Fram.
Approcher les jeunes semble être la meilleure option pour les recruteurs.
Ainsi, pour se rendre attractif Fram recrute via divers canaux : réseaux sociaux, salons, contact avec des écoles de formation en tourisme et hôtellerie… et « des outils numériques modernes qu'affectionne la jeune génération, comme le metavers par exemple », souligne Mathieu Benedico.
Le TO a également délocalisé une de ses formations sur l’île de Beauté. « L'une de nos deux formations se déroule cette année au sein de notre Framissima Marina Viva en Corse à Ajaccio, dans des conditions de travail idéales pour apprendre le métier. Cela a constitué un argument de poids au moment du recrutement », assure-t-il.
« Nous comptons sur les profils étudiants qui sont très appréciés par nos directions car ils sont « agiles » et comprennent très vite les attentes de l'entreprise notamment en termes de savoir-être », affirme Frédéric Klein, responsable RH des Villages Clubs du Soleil, qui recherche 400 animateurs.
Villages Clubs du Soleil organisera un événement sur son site de Marseille le 20 février et participera à des « job dating » en région.
L'an dernier, TUI France a recruté sur les réseaux sociaux. « Nous travaillons avec des messages impactants, afin d'attirer les candidats. Nos deux sites de recrutement sont mis à jour régulièrement (Marmara jobs et Lookea jobs). Nous bénéficions de la forte notoriété de nos marques et nous avons plus de demandes que de postes proposés », se réjouit Christophe Lavail.
Autres avantages : « Chez TUI, les animateurs sont logés, nourris et blanchis et leurs déplacements de leur domicile vers le Club sont également pris en charge. A partir de 6 mois d'ancienneté, les salariés ont les mêmes avantages sociaux que ceux de l'entreprise. Les nouvelles générations d'animateurs sont très sensibles au confort et au bien-être et nous devons en tenir compte. Ce qui est sûr, c'est que la passion de ce métier est toujours aussi présente », constate-t-il.
Idem chez Belambra Clubs. « Nous avons également beaucoup travaillé le recrutement via les réseaux sociaux depuis trois ans et sourçons dans les groupes de saisonniers, affirme Mélanie Fontugne. Notre site de recrutement reste aussi une valeur sûre, tous nos postes sont publiés en ligne et les candidats peuvent également candidater en spontané. Les postes en saison sont logés sur clubs avec une participation faible : l'occasion de vivre et travailler quelques mois ou années dans des endroits privilégiés en bord de mer ou à la montagne. »
L’indispensable fidélisation des saisonniers
Dans ce contexte, assurer le retour de saisonniers déjà formés au fil des saisons n’est plus une option. Tous l’ont bien compris.
« A la fin de la formation de nos apprentis, nous allons regrouper l’ensemble des animateurs que nous ferons partir cet été dans nos clubs pour un gros séminaires de 3 jours en Vendée, début avril. L’idée est qu’ils se connaissent, c’est une nécessité absolue de créer du lien , un lien fort pour qu’ils se sentent complètement intégrés », explique Patrice Caradec.
« Nous fidélisons les saisonniers grâce à notre mangement de terrain et de proximité, à la formation continue proposée et aux opportunités d'emplois et d'évolution tout au long de leur carrière », explique Christophe Lavail, directeur des clubs de TUI France.
Chez Fram, la fidélisation passe par « des parcours de formations solides qui leur permettent d'acquérir de la compétence tout en se diplômant, et offrent des perspectives d'évolution à court et moyen terme », liste Mathieu Benedico, responsable du service Hotels Clubs de Fram, avant d’ajouter : Mais surtout, en construisant une relation individuelle basée sur la confiance et la transparence. Chacun de nos 500 collaborateurs est suivi, accompagné, écouté tout au long de sa saison. Ce lien fort entre les équipes de terrain et les équipes support du siège a toujours constitué le cœur de notre ADN et ces jeunes issus de la génération Z y sont sensibles. »
En plus de la formation, Belambra Clubs propose une évolution rapide. « Notre groupe permet aussi une mobilité géographique, une bonne occasion de découvrir les plus beaux endroits de France tout en travaillant, et ce toute l'année ! Nous avons la chance de proposer des postes en saison toute l'année et la possibilité de cdi pour les collaborateurs qui le souhaitent », détaille Mélanie Fontugne.
« A la fin de la formation de nos apprentis, nous allons regrouper l’ensemble des animateurs que nous ferons partir cet été dans nos clubs pour un gros séminaires de 3 jours en Vendée, début avril. L’idée est qu’ils se connaissent, c’est une nécessité absolue de créer du lien , un lien fort pour qu’ils se sentent complètement intégrés », explique Patrice Caradec.
« Nous fidélisons les saisonniers grâce à notre mangement de terrain et de proximité, à la formation continue proposée et aux opportunités d'emplois et d'évolution tout au long de leur carrière », explique Christophe Lavail, directeur des clubs de TUI France.
Chez Fram, la fidélisation passe par « des parcours de formations solides qui leur permettent d'acquérir de la compétence tout en se diplômant, et offrent des perspectives d'évolution à court et moyen terme », liste Mathieu Benedico, responsable du service Hotels Clubs de Fram, avant d’ajouter : Mais surtout, en construisant une relation individuelle basée sur la confiance et la transparence. Chacun de nos 500 collaborateurs est suivi, accompagné, écouté tout au long de sa saison. Ce lien fort entre les équipes de terrain et les équipes support du siège a toujours constitué le cœur de notre ADN et ces jeunes issus de la génération Z y sont sensibles. »
En plus de la formation, Belambra Clubs propose une évolution rapide. « Notre groupe permet aussi une mobilité géographique, une bonne occasion de découvrir les plus beaux endroits de France tout en travaillant, et ce toute l'année ! Nous avons la chance de proposer des postes en saison toute l'année et la possibilité de cdi pour les collaborateurs qui le souhaitent », détaille Mélanie Fontugne.
La formation certifiante ou diplômante
La formation se professionnalise. Preuve là encore du rôle primordial des animateurs et du besoin de rendre les postes attractifs.
Ainsi, TUI France propose des contrats de professionnalisation (formation certifiante), des contrats d'alternance (formation diplômante) et des formations manager (formation diplômante équivalente à Bac +2).
Les futurs animateurs d’Alpitour France et Fram sont recrutés en contrat d'apprentissage. Après plusieurs semaines de formation aux techniques d'animation et de mise en ambiance, ils intègrent un club en France ou à l'étranger pour 7 mois supplémentaires. A l'issu de leur saison, ils passent des épreuves dans le but de décrocher le titre professionnel ALT (Animateur Loisirs Tourisme), diplôme de niveau IV (équivalent BAC).
Fram forme également ses futurs chefs d'équipe aux techniques de management de groupe, à la négociation, à la création d'évènements... En ligne de mire, l’obtention d’un diplôme de niveau V, équivalent BAC+2.
Aucun doute, l’animation de qualité permettra d’offrir la meilleure expérience client aux vacanciers.
Ainsi, TUI France propose des contrats de professionnalisation (formation certifiante), des contrats d'alternance (formation diplômante) et des formations manager (formation diplômante équivalente à Bac +2).
Les futurs animateurs d’Alpitour France et Fram sont recrutés en contrat d'apprentissage. Après plusieurs semaines de formation aux techniques d'animation et de mise en ambiance, ils intègrent un club en France ou à l'étranger pour 7 mois supplémentaires. A l'issu de leur saison, ils passent des épreuves dans le but de décrocher le titre professionnel ALT (Animateur Loisirs Tourisme), diplôme de niveau IV (équivalent BAC).
Fram forme également ses futurs chefs d'équipe aux techniques de management de groupe, à la négociation, à la création d'évènements... En ligne de mire, l’obtention d’un diplôme de niveau V, équivalent BAC+2.
Aucun doute, l’animation de qualité permettra d’offrir la meilleure expérience client aux vacanciers.