Brittany Ferries explore de nouvelles solutions avec le bioGNL, grâce à des essais menés récemment à Santander en Espagne © Diario Montañes / Repsol
Brittany Ferries a pris possession fin octobre du Saint-Malo, construit au chantier naval chinois CMI Jinling (Weihai), qui promet une diminution significative de son impact écologique.
Sa mise en service est prévue début février 2025 sur la liaison quotidienne Saint-Malo / Portsmouth.
Grâce à la propulsion au gaz naturel liquéfié (GNL), le ferry, selon l'opérateur, réduit "drastiquement" les émissions de soufre (SOx), d’oxydes d’azote (NOx) et de particules, avec une baisse des émissions de CO₂ estimée entre 20 et 25 %.
En complément, le système hybride de pointe permet une réduction de la consommation d’énergie, surtout lors des manœuvres en port où l’électrification permettra au navire d’opérer sans émission directe.
Le Saint-Malo pourra ainsi entrer et sortir du port de la cité malouine sans aucune émission de particules, « en se conformant toujours plus aux exigences, légitimes, des populations en matière de santé ».
Sa mise en service est prévue début février 2025 sur la liaison quotidienne Saint-Malo / Portsmouth.
Grâce à la propulsion au gaz naturel liquéfié (GNL), le ferry, selon l'opérateur, réduit "drastiquement" les émissions de soufre (SOx), d’oxydes d’azote (NOx) et de particules, avec une baisse des émissions de CO₂ estimée entre 20 et 25 %.
En complément, le système hybride de pointe permet une réduction de la consommation d’énergie, surtout lors des manœuvres en port où l’électrification permettra au navire d’opérer sans émission directe.
Le Saint-Malo pourra ainsi entrer et sortir du port de la cité malouine sans aucune émission de particules, « en se conformant toujours plus aux exigences, légitimes, des populations en matière de santé ».
Des essais menés pour tester le bioGNL
Autres articles
Par ailleurs, afin de maximiser sa démarche écologique, Brittany Ferries explore de nouvelles solutions avec le bioGNL, une alternative durable au GNL conventionnel, grâce à des essais menés récemment à Santander en Espagne.
Le bioGNL, produit à partir de déchets agroalimentaires et agricoles, pourrait permettre de réduire de près de 100 % les émissions de CO₂ par rapport au GNL classique, sans modifications des moteurs.
Au-delà de la technologie, le Saint-Malo bénéficie aussi d’une identité culturelle marquée.
Le ferry intègre une collection d’environ 400 œuvres d’artistes bretons et celtes. Cette démarche valorise la culture bretonne, « un pari qui éloigne Brittany Ferries des standards low-cost en favorisant un modèle d’excellence».
Lire aussi : Brittany Ferries : 7 000 réservations enregistrées dès l'ouverture des ventes 2025
Le bioGNL, produit à partir de déchets agroalimentaires et agricoles, pourrait permettre de réduire de près de 100 % les émissions de CO₂ par rapport au GNL classique, sans modifications des moteurs.
Au-delà de la technologie, le Saint-Malo bénéficie aussi d’une identité culturelle marquée.
Le ferry intègre une collection d’environ 400 œuvres d’artistes bretons et celtes. Cette démarche valorise la culture bretonne, « un pari qui éloigne Brittany Ferries des standards low-cost en favorisant un modèle d’excellence».
Lire aussi : Brittany Ferries : 7 000 réservations enregistrées dès l'ouverture des ventes 2025