Serveurs(ses), employés polyvalents de restauration, valets/femmes de chambre, cuisiniers, agents de maintenance, community manager… les recrutements sont en cours chez Reso, entreprise associative sur le modèle de groupement d’employeurs.
Dédiée à la mise à disposition de personnel en temps partagé dans les secteurs des CHR, tourisme et métiers de bouche, elle vient en aide aux entreprises, les accompagne pour leurs recrutements à temps partiels, guide les salariés vers un CDI à temps choisi ou complet.
Reso compte aujourd'hui 1080 adhérents, 70 CDI à temps partagé et 12 bureaux répartis sur le territoire.
Reste que la pandémie a fait fuir nombre de talents de l’industrie du tourisme et de l’hôtellerie restauration. 110 000 collaborateurs auraient quitté le secteur ou s’apprêteraient à le faire selon une étude de GNI, du GNC, du SNRTC et de l’UMIH.
« Certains chefs d’entreprise ont perdu toute leur équipe au moment de la réouverture. Et ne l’ont pas vu venir », confirme Solenn Richard, responsable opérationnel et commercial de Reso.
Aujourd’hui, encore plus qu’hier, le secteur est en tension, les offres de recrutement explosent.
Face à la pénurie de main d’œuvre, les groupements d’employeurs seraient-ils une solution ? « Complètement ! répond Solenn Richard, responsable opérationnel et commercial de Reso. Pendant la pandémie, nous avons tout géré. Humainement et socialement, nous avons accompagné les salariés et les entrepreneurs. »
« Le temps partagé se développe depuis une dizaine d’années dans le CHR. Cela paraissait difficile à mettre en place pour les chefs d’entreprise, aujourd’hui c’est devenu un moyen de fidéliser les collaborateurs », note Solenn Richard.
Dédiée à la mise à disposition de personnel en temps partagé dans les secteurs des CHR, tourisme et métiers de bouche, elle vient en aide aux entreprises, les accompagne pour leurs recrutements à temps partiels, guide les salariés vers un CDI à temps choisi ou complet.
Reso compte aujourd'hui 1080 adhérents, 70 CDI à temps partagé et 12 bureaux répartis sur le territoire.
Reste que la pandémie a fait fuir nombre de talents de l’industrie du tourisme et de l’hôtellerie restauration. 110 000 collaborateurs auraient quitté le secteur ou s’apprêteraient à le faire selon une étude de GNI, du GNC, du SNRTC et de l’UMIH.
« Certains chefs d’entreprise ont perdu toute leur équipe au moment de la réouverture. Et ne l’ont pas vu venir », confirme Solenn Richard, responsable opérationnel et commercial de Reso.
Aujourd’hui, encore plus qu’hier, le secteur est en tension, les offres de recrutement explosent.
Face à la pénurie de main d’œuvre, les groupements d’employeurs seraient-ils une solution ? « Complètement ! répond Solenn Richard, responsable opérationnel et commercial de Reso. Pendant la pandémie, nous avons tout géré. Humainement et socialement, nous avons accompagné les salariés et les entrepreneurs. »
« Le temps partagé se développe depuis une dizaine d’années dans le CHR. Cela paraissait difficile à mettre en place pour les chefs d’entreprise, aujourd’hui c’est devenu un moyen de fidéliser les collaborateurs », note Solenn Richard.
Le groupement d’employeurs, un vivier de collaborateurs
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Le mode de fonctionnement est simple : l’entreprise adhère sur l’année civile et exprime ses besoins en termes de personnel, de volume hebdomadaire d’heures…
Reso s’occupe alors de rechercher pour l’entreprise en question, un candidat qui correspond le mieux à la demande parmi les salariés déjà recrutés ou procède à un nouveau recrutement.
Puis, Reso les met en relation, organise une rencontre et les aide à définir, ensemble, les modalités du contrat à temps partagé avec une, deux, voire trois entreprises. Le groupement se charge ensuite de rédiger et de porter le contrat, et s’occupe du suivi du salarié sur le terrain, à travers, entre autres, la gestion du planning.
Reso s’occupe alors de rechercher pour l’entreprise en question, un candidat qui correspond le mieux à la demande parmi les salariés déjà recrutés ou procède à un nouveau recrutement.
Puis, Reso les met en relation, organise une rencontre et les aide à définir, ensemble, les modalités du contrat à temps partagé avec une, deux, voire trois entreprises. Le groupement se charge ensuite de rédiger et de porter le contrat, et s’occupe du suivi du salarié sur le terrain, à travers, entre autres, la gestion du planning.
Mettre en place une politique RSE
Malgré tout, les recrutements restent difficiles. Les entreprises doivent séduire les futurs collaborateurs et leur proposer des avantages.
« Il ne suffit pas à nos adhérents de formuler un besoin, on leur demande ce qui pousserait un candidat à venir travailler chez eux plutôt que chez le voisin », précise la responsable opérationnel et commercial du groupement. Les avantages proposés, la pratique RSE et salariale… sont tant de points étudiés en amont.
« Chez Reso, nous avons une réelle politique sociale et salariale. Notre service RH accompagne les entreprises pour mener cette réflexion et donner aux salariés l’envie de venir ou revenir dans le domaine du CHR », souligne Solenn Richard.
C’est tout l’enjeu. En attendant, Reso planifie de repartir à la conquête du public. Début 2022, de nombreux jobdatings seront organisés dans toute la France, ainsi que des présentations dans les centres de formation et écoles hôtelières et auprès de publics en recherche d’emploi ou en réinsertion.
« Il ne suffit pas à nos adhérents de formuler un besoin, on leur demande ce qui pousserait un candidat à venir travailler chez eux plutôt que chez le voisin », précise la responsable opérationnel et commercial du groupement. Les avantages proposés, la pratique RSE et salariale… sont tant de points étudiés en amont.
« Chez Reso, nous avons une réelle politique sociale et salariale. Notre service RH accompagne les entreprises pour mener cette réflexion et donner aux salariés l’envie de venir ou revenir dans le domaine du CHR », souligne Solenn Richard.
C’est tout l’enjeu. En attendant, Reso planifie de repartir à la conquête du public. Début 2022, de nombreux jobdatings seront organisés dans toute la France, ainsi que des présentations dans les centres de formation et écoles hôtelières et auprès de publics en recherche d’emploi ou en réinsertion.