Retarder de deux heures l’appareillage du plus prestigieux liner du monde, avec près de 2.500 passagers à bord, relève de l’exploit...
Imaginez le scénario… Vous êtes patron d’un TO réputé pour son sérieux.
Pour nombre de professionnels, vous êtes une référence, un exemple.
Et vous décidez d’organiser un petit éductour d’exception à bord du plus prestigieux liner de la planète : le Queen Mary 2, auquel vous conviez 80 agents de voyages, quelques collaborateurs et journalistes.
Au total, plus de 100 personnes.
Et pour rejoindre le Queen Mary 2 stationné en Angleterre, vous affrétez tout spécialement un avion CityJet Air France, entre Paris CDG et Southampton.
Vous convoquez vos invités le 12 juillet à 11h45, pour un décollage à 13h45. Vous avez tout prévu, tout anticipé, tout organisé depuis des mois, et c’est à ce moment que débute votre cauchemar.
Pour nombre de professionnels, vous êtes une référence, un exemple.
Et vous décidez d’organiser un petit éductour d’exception à bord du plus prestigieux liner de la planète : le Queen Mary 2, auquel vous conviez 80 agents de voyages, quelques collaborateurs et journalistes.
Au total, plus de 100 personnes.
Et pour rejoindre le Queen Mary 2 stationné en Angleterre, vous affrétez tout spécialement un avion CityJet Air France, entre Paris CDG et Southampton.
Vous convoquez vos invités le 12 juillet à 11h45, pour un décollage à 13h45. Vous avez tout prévu, tout anticipé, tout organisé depuis des mois, et c’est à ce moment que débute votre cauchemar.
Malgré les sourires, la tension est palpable
À l’heure dite, tout le monde est à bord de l’appareil. L’ambiance est aux retrouvailles et à la franche rigolade. Mais une demi-heure plus tard, l’avion est toujours sur le tarmac.
À bord, on s’interroge. À 14h45, l’avion n’a pas bougé. En tête de l’appareil, ça s’agite, ça discute à deux, à trois, puis à quatre.
L’heure est aux visages crispés, contrariés, celui du commandant de bord, celui de Corinne Renard, Directrice commerciale de CIC, celui du Coordinateur d’ADP et évidemment, celui de Rémy Arca qui, malgré tout, adresse à ses invités quelques sourires de circonstance.
Une autre demi-heure s’égraine et Rémy prend le micro : « Voilà la situation. Nous attendons toujours une partie des bagages qui se sont perdus entre le Terminal E et l’avion. C’est incompréhensible ! Les choses devraient rentrer dans l’ordre d’ici un quart d’heure ». Il est maintenant 15h15.
À bord, on s’interroge. À 14h45, l’avion n’a pas bougé. En tête de l’appareil, ça s’agite, ça discute à deux, à trois, puis à quatre.
L’heure est aux visages crispés, contrariés, celui du commandant de bord, celui de Corinne Renard, Directrice commerciale de CIC, celui du Coordinateur d’ADP et évidemment, celui de Rémy Arca qui, malgré tout, adresse à ses invités quelques sourires de circonstance.
Une autre demi-heure s’égraine et Rémy prend le micro : « Voilà la situation. Nous attendons toujours une partie des bagages qui se sont perdus entre le Terminal E et l’avion. C’est incompréhensible ! Les choses devraient rentrer dans l’ordre d’ici un quart d’heure ». Il est maintenant 15h15.
Le Queen Mary appareille à 17h00 !
Ce retard devient d’autant plus oppressant que le Queen Mary 2 quitte Southampton à 17 heures précises (heure anglaise – 18h00 en France).
Le calcul est simple : Il reste 2h45 pour relier l’Angleterre (une heure de vol), rejoindre par bus le terminal croisières et embarquer. Mais encore faudrait-il que les bagages arrivent et que l’avion décolle…
15h45, les soutes de l’avion sont toujours ouvertes. 16h00, ses réacteurs ne vrombissent pas ! C’est alors que Rémy reprend le micro : « Ça fait 45 ans que je fais ce métier et je n’ai jamais vu ça ! Nous allons décoller sans les bagages d’une douzaine d’entre vous.
J’ai demandé au Queen Mary de retarder son appareillage. Je suis franchement désolé ! ». Des mots d’excuses accueillis par une salve d’applaudissements et d’encouragements. Face à l’adversité, toutes et tous affichent leur solidarité !
16h30, le CityJet décolle enfin. À 19h00, le Queen Mary 2 appareille avec deux heures de retard de Southampton pour relier Cherbourg, où les invités de CIC débarqueront le 13 juillet dans la matinée.
Le calcul est simple : Il reste 2h45 pour relier l’Angleterre (une heure de vol), rejoindre par bus le terminal croisières et embarquer. Mais encore faudrait-il que les bagages arrivent et que l’avion décolle…
15h45, les soutes de l’avion sont toujours ouvertes. 16h00, ses réacteurs ne vrombissent pas ! C’est alors que Rémy reprend le micro : « Ça fait 45 ans que je fais ce métier et je n’ai jamais vu ça ! Nous allons décoller sans les bagages d’une douzaine d’entre vous.
J’ai demandé au Queen Mary de retarder son appareillage. Je suis franchement désolé ! ». Des mots d’excuses accueillis par une salve d’applaudissements et d’encouragements. Face à l’adversité, toutes et tous affichent leur solidarité !
16h30, le CityJet décolle enfin. À 19h00, le Queen Mary 2 appareille avec deux heures de retard de Southampton pour relier Cherbourg, où les invités de CIC débarqueront le 13 juillet dans la matinée.
CIC démontre son savoir-faire et sa réactivité
« Je suis profondément désolé pour ce qui s’est passé cet après-midi, et plus désolé encore pour la dizaine d’entre vous qui se retrouvent sans bagages. Je suis moi-même dans cette situation. Ils vous seront livrés le 15 juillet », s’excuse une nouvelle fois Rémy lors du cocktail de bienvenue.
« Les occasions d’organiser des éductours même de courte durée sur les liners Cunard sont extrêmement rares. Je tenais absolument à faire vivre cette expérience inoubliable au plus grand nombre possible d’agents de voyages ».
Pari doublement réussi. Les AGV ont effectivement vécu une soirée d’exception et apprécié en live le savoir-faire et la réactivité de CIC. Car retarder de deux heures l’appareillage du plus prestigieux liner du monde (1), avec près de 2.500 passagers à bord, relève de l’exploit. Les pros de la croisière (et les autres) apprécieront.
(1) Le Queen Mary 2 est le plus grand (151.000 tonnes), le plus long (345 mètres), le plus haut (72 mètres) et le plus cher (800 millions de dollars) des liners construits à ce jour.
« Les occasions d’organiser des éductours même de courte durée sur les liners Cunard sont extrêmement rares. Je tenais absolument à faire vivre cette expérience inoubliable au plus grand nombre possible d’agents de voyages ».
Pari doublement réussi. Les AGV ont effectivement vécu une soirée d’exception et apprécié en live le savoir-faire et la réactivité de CIC. Car retarder de deux heures l’appareillage du plus prestigieux liner du monde (1), avec près de 2.500 passagers à bord, relève de l’exploit. Les pros de la croisière (et les autres) apprécieront.
(1) Le Queen Mary 2 est le plus grand (151.000 tonnes), le plus long (345 mètres), le plus haut (72 mètres) et le plus cher (800 millions de dollars) des liners construits à ce jour.