Alors que se profile le 1er anniversaire du naufrage du Costa Concordia, le 13 janvier 2013, les rescapés, les familles des victimes et la direction de Costa Croisières ne sont pas d'accord sur la manière de le commémorer.
La compagnie aurait proposé aux familles des passagers décédés de les conduire, à ses frais, sur l'île de Giglio pour l'occasion, selon l'Agence France Presse (AFP).
En ce qui concerne les survivants de l'accident, elle aurait prévu une messe à Paris assortie d'un remboursement de 100 € par personne ne vivant pas sur la capitale pour les frais de déplacement.
Mais visiblement, ces propositions ne sont absolument pas du goût du collectif des naufragés qui les rejette une par une.
La présidente, Anne Décré, les juge "insultantes". Elle estime qu'elles n'ont "de sens pour personne, pas plus pour les familles de victimes décédées que pour les rescapés."
Elle n'envisage pas que les familles des victimes et les rescapés soient séparés pour les commémorations de ce triste anniversaire.
Elle affirme ne pas comprendre non plus le choix d'une église et de Paris pour la cérémonie. "Nous n'avons pas fait naufrage sur la Seine jusqu'à preuve du contraire", s'insurge-t-elle.
Pour elle, le mode de fonctionnement de Costa, qu'elle juge "abject", démontre que la compagnie "ne prend toujours pas ses victimes en considération" et préfère "jouer le contre-la-montre en pensant nous déstabiliser et nous prendre de court."
Elle ajoute que l'entreprise les laisse dans le flou "afin de limiter notre venue à tous."
La compagnie aurait proposé aux familles des passagers décédés de les conduire, à ses frais, sur l'île de Giglio pour l'occasion, selon l'Agence France Presse (AFP).
En ce qui concerne les survivants de l'accident, elle aurait prévu une messe à Paris assortie d'un remboursement de 100 € par personne ne vivant pas sur la capitale pour les frais de déplacement.
Mais visiblement, ces propositions ne sont absolument pas du goût du collectif des naufragés qui les rejette une par une.
La présidente, Anne Décré, les juge "insultantes". Elle estime qu'elles n'ont "de sens pour personne, pas plus pour les familles de victimes décédées que pour les rescapés."
Elle n'envisage pas que les familles des victimes et les rescapés soient séparés pour les commémorations de ce triste anniversaire.
Elle affirme ne pas comprendre non plus le choix d'une église et de Paris pour la cérémonie. "Nous n'avons pas fait naufrage sur la Seine jusqu'à preuve du contraire", s'insurge-t-elle.
Pour elle, le mode de fonctionnement de Costa, qu'elle juge "abject", démontre que la compagnie "ne prend toujours pas ses victimes en considération" et préfère "jouer le contre-la-montre en pensant nous déstabiliser et nous prendre de court."
Elle ajoute que l'entreprise les laisse dans le flou "afin de limiter notre venue à tous."
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