Pour améliorer le temps d'attente, Paris Aéroport et Eurostar testent un nouveau dispositif de reconnaissance faciale automatisée (c) Paris Aéroport
Les attaques terroristes à Paris et Nice ont mené au renforcement de la sécurité dans les gares et les aéroports.
Chaque personne entrant en France est enregistrée lors de son passage à la frontière.
Une sécurité qui a eu pour conséquence de doubler le temps d’attente dans les aéroports, notamment à celui de Paris Charles-de-Gaulle, qui accueille 180 000 voyageurs chaque jour.
Pour améliorer ce temps d'attente, Paris Aéroport et Eurostar testent actuellement un nouveau dispositif de reconnaissance faciale automatisée.
Le système est géré par la société portugaise Vision-Box. Il pourra comparer les données biométriques du visage d’un voyageur en provenance de l’un des 28 pays de l’Union européenne à la photo figurant sur son passeport.
Le temps d'attente sera alors potentiellement réduit.
Chaque personne entrant en France est enregistrée lors de son passage à la frontière.
Une sécurité qui a eu pour conséquence de doubler le temps d’attente dans les aéroports, notamment à celui de Paris Charles-de-Gaulle, qui accueille 180 000 voyageurs chaque jour.
Pour améliorer ce temps d'attente, Paris Aéroport et Eurostar testent actuellement un nouveau dispositif de reconnaissance faciale automatisée.
Le système est géré par la société portugaise Vision-Box. Il pourra comparer les données biométriques du visage d’un voyageur en provenance de l’un des 28 pays de l’Union européenne à la photo figurant sur son passeport.
Le temps d'attente sera alors potentiellement réduit.
Le procédé en test à Roissy et en gare du Nord
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Pour l'aéroport de Paris CDG, il s'agit d'une simple "amélioration" d’un système mis en place en 2012 sous le nom de Parafe (Passage rapide aux frontières), composé d’un sas de contrôle automatique d’identité.
37 machines sont actuellement en fonctionnement, l’entreprise en a commandé 87 de plus pour 2021.
La reconnaissance faciale sera également effectuée à Paris Gare du Nord pour les voyageurs Eurostar. Après Londres et Paris, Eurostar prévoit d'installer les mêmes sas à la gare de Bruxelles-Midi.
Cependant la question se pose sur la conservation de ces données biométriques.
La Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés (CNIL) a donné son accord en janvier 2016. Au même moment, le gouvernement publiait un décret autorisant l’exploitation des photos des passeports biométriques des voyageurs.
37 machines sont actuellement en fonctionnement, l’entreprise en a commandé 87 de plus pour 2021.
La reconnaissance faciale sera également effectuée à Paris Gare du Nord pour les voyageurs Eurostar. Après Londres et Paris, Eurostar prévoit d'installer les mêmes sas à la gare de Bruxelles-Midi.
Cependant la question se pose sur la conservation de ces données biométriques.
La Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés (CNIL) a donné son accord en janvier 2016. Au même moment, le gouvernement publiait un décret autorisant l’exploitation des photos des passeports biométriques des voyageurs.