Le GNI met en garde le gouvernement contre une hausse du taux de TVA - Crédit photo : GNI
Le Groupement National des Indépendants de l’Hôtellerie et de la Restauration (GNI) est vent debout contre un rapport de la Cour des comptes, présentant inefficace la baisse du taux de la TVA dans la restauration.
Le GNI est lui contre cette conclusion, rappelant à l'instance les hausses successives de la TVA (5.5 à 7 puis 10%) dans la restauration, dans le même temps les hôteliers ont subi un doublement du taux d'imposition (5.5 à 10%).
Didier Chenet, le président du GNI de préciser "que le taux sont équivalents à ceux de nos concurrents directs que sont l'Espagne et l'Italie. Alors que le tourisme doit être un moteur de la croissance française, une augmentation de la TVA serait une atteinte à la compétitivité de notre destination."
Si le gouvernement français a fait des 100 millions de touristes accueillis en 2020 un objectif majeur, ce rapport va dans le sens contraire, d'autant que les grèves à répétition n'offrent pas la meilleure image pour le pays.
"Le gouvernement ferait mieux de veiller à collecter la TVA et l’impôt auprès de ceux qui y échappent : les acteurs de l’économie collaborative, restaurants clandestins à domicile, loueurs de meublés professionnels capables de proposer à la location plus de chambres que certains hôtels !" Une conclusion pour le moins vindicative de la part du président du GNI.
Le GNI est lui contre cette conclusion, rappelant à l'instance les hausses successives de la TVA (5.5 à 7 puis 10%) dans la restauration, dans le même temps les hôteliers ont subi un doublement du taux d'imposition (5.5 à 10%).
Didier Chenet, le président du GNI de préciser "que le taux sont équivalents à ceux de nos concurrents directs que sont l'Espagne et l'Italie. Alors que le tourisme doit être un moteur de la croissance française, une augmentation de la TVA serait une atteinte à la compétitivité de notre destination."
Si le gouvernement français a fait des 100 millions de touristes accueillis en 2020 un objectif majeur, ce rapport va dans le sens contraire, d'autant que les grèves à répétition n'offrent pas la meilleure image pour le pays.
"Le gouvernement ferait mieux de veiller à collecter la TVA et l’impôt auprès de ceux qui y échappent : les acteurs de l’économie collaborative, restaurants clandestins à domicile, loueurs de meublés professionnels capables de proposer à la location plus de chambres que certains hôtels !" Une conclusion pour le moins vindicative de la part du président du GNI.