Qu'est-ce qui a changé dans le transport aérien depuis le 11 septembre 2001 ? Tout d’abord un constat que partagent tous les analystes du secteur : ces attentats ont été davantage un détonateur qu'un explosif des difficultés des compagnies aériennes mondiales. Le traumatisme induit par le 11 septembre a sonné le glas chez les majors américaines.
Deuxième constant : globalement le transport aérien européen s’en est mieux sorti, même si des pays comme la Suisse et la Belgique y ont laissé des plumes et un peu de leur fierté nationale. Globalement, la crise qui s’en est ensuivie a fait sortir du marché les « canards boîteux » et le transport aérien a pris conscience de ses faiblesses et de la fragilitté de son modèle économique. Dans le même temps, de nouveaux entrants donnaient au low cost ses lettres de noblesse.
Aujourd'hui il les compagnies ont retrouvé des couleurs, mais tout n'est pas rose, loin de là et des zones de turbulence subsistent...
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La profession devra trouver rapidement la parade pour garantir les vols secs. Sinon, paradoxalement, le consommateur pourrait désormais, à la faveur de l’article 14 de la Loi sur la confiance numérique (LEN), trouver davantage de garanties en achetant un billet en ligne que dans une agence de voyages traditionnelle.
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Le Ministère des Affaires étrangères joue avec les nerfs des représentants des destinations étrangères en France. Le dernier exemple en date est celui du Sri Lanka, où après un avis déconseillant complètement la destination en début de semaine dernière, il est revenu le lendemain sur cette décision en la nuançant considérablement et en la limitant au Nord et à l’Est du pays.
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