La restauration : une forte dépendance vis-à-vis des futures mesures sanitaires
Impact du confinement
• Depuis le 15 mars 2020, les restaurants et débits de boissons ne peuvent plus accueillir du public ;
• On estime que 27 millions de repas ont été perdus du 18 mars au 1er avril 2020 (cabinet Gira Conseil) ;
• La profession s’est organisée pendant le confinement pour poursuivre ou reprendre les activités de livraison de repas à domicile, et de drive pour les plus gros, mais sans que cela permette de compenser les pertes dues à la fermeture.
Perspectives de sortie de crise
• A date, on ne dispose d’aucune information sur les conditions de réouverture des restaurants et bars (date, horaires d’ouverture, mesures de distanciation, contraintes sur l’organisation du travail) ;
• Du côté de l’offre, comme les équipements de loisirs, les restaurants et bars feront l’objet de restrictions en matière de capacité d’accueil instantanée qui, si elle ne permet pas d’atteindre le seuil de rentabilité, posera la question de la réouverture de certains établissements en 2020 ;
• De la même façon, ces mesures devraient obliger les restaurateurs à investir pour adapter leur établissement aux nouvelles normes, or tous n’en auront pas la capacité.
• Il existe un risque réel que de nombreux restaurants et bars ne se relèvent pas de la crise ; les plus petites entreprises seront très dépendantes de la mise en application pratique des mesures de soutien des pouvoirs publics ;
• Du côté de la demande, on attend une reprise rapide, dès que la levée des restrictions le permettra. En effet, 20% des Français veulent sortir boire un verre ou dîner au restaurant dès la fin du confinement.
• Pourtant, tout se jouera sur la confiance et la capacité des exploitants à mettre en place des mesures barrières rassurantes. Le moindre accroc pourrait entraîner une défiance irrémédiable et durable pour ces établissements ;
• La perte de chiffre d’affaires sur l’année devrait ainsi être de l’ordre de 38%, avec un possible retour au niveau d’avant la crise à partir de l’automne mais sans effet de rattrapage.
• Depuis le 15 mars 2020, les restaurants et débits de boissons ne peuvent plus accueillir du public ;
• On estime que 27 millions de repas ont été perdus du 18 mars au 1er avril 2020 (cabinet Gira Conseil) ;
• La profession s’est organisée pendant le confinement pour poursuivre ou reprendre les activités de livraison de repas à domicile, et de drive pour les plus gros, mais sans que cela permette de compenser les pertes dues à la fermeture.
Perspectives de sortie de crise
• A date, on ne dispose d’aucune information sur les conditions de réouverture des restaurants et bars (date, horaires d’ouverture, mesures de distanciation, contraintes sur l’organisation du travail) ;
• Du côté de l’offre, comme les équipements de loisirs, les restaurants et bars feront l’objet de restrictions en matière de capacité d’accueil instantanée qui, si elle ne permet pas d’atteindre le seuil de rentabilité, posera la question de la réouverture de certains établissements en 2020 ;
• De la même façon, ces mesures devraient obliger les restaurateurs à investir pour adapter leur établissement aux nouvelles normes, or tous n’en auront pas la capacité.
• Il existe un risque réel que de nombreux restaurants et bars ne se relèvent pas de la crise ; les plus petites entreprises seront très dépendantes de la mise en application pratique des mesures de soutien des pouvoirs publics ;
• Du côté de la demande, on attend une reprise rapide, dès que la levée des restrictions le permettra. En effet, 20% des Français veulent sortir boire un verre ou dîner au restaurant dès la fin du confinement.
• Pourtant, tout se jouera sur la confiance et la capacité des exploitants à mettre en place des mesures barrières rassurantes. Le moindre accroc pourrait entraîner une défiance irrémédiable et durable pour ces établissements ;
• La perte de chiffre d’affaires sur l’année devrait ainsi être de l’ordre de 38%, avec un possible retour au niveau d’avant la crise à partir de l’automne mais sans effet de rattrapage.
Synthèse
Autres articles
La perte globale sur l’année 2020 sera de l’ordre 500 millions de nuitées touristiques en France (-32%) correspondant à un déficit de
consommation touristique d’environ 60 milliards d’euros*. L’impact sur les activités touristiques prises en compte dans le cadre de l’étude est présenté dans le tableau ci-dessous.
consommation touristique d’environ 60 milliards d’euros*. L’impact sur les activités touristiques prises en compte dans le cadre de l’étude est présenté dans le tableau ci-dessous.