Parmi les atouts majeurs de la musique en général : elle fait du bien. Il est désormais acquis que la musique a des vertus curatives, apaisantes tout au moins ou euphorisantes - Depositphotos.com monkeybusiness
Les Francofolies auront lieu. La nouvelle est excellente.
Tout aussi excellente, l’annonce de la tenue des Vieilles Charrues, du Delta à Marseille, du Festival Interceltique de Lorient, de Chorus à Boulogne-Billancourt, Jazz à Marciac, les Nuits de Fourvière…
Certes, quelques-uns ont renoncé, comme le Hellfest ou Solidays, ou les Eurockéennes (en partie) ou encore les très attendus concerts de Lady Gaga et d’Alicia Keys.
Ajoutés à ces majors, toutes sortes de petits concerts et soirées musicales annoncent aussi leur retour et l’on espère bien qu’ainsi, malgré les menaces, l’été aura ce délicieux goût de bonheur retrouvé grâce au retour en force de la musique sur les scènes estivales françaises.
En effet, de nombreuses communes programment dans leurs agendas de l’été, quelques jolis moments musicaux pour le plus grand plaisir du public et d’intermittents condamnés à un chômage un peu trop prolongé.
D’autant que, selon l’étude « Spring » menée par l’Assistance Publique, il n’existe pas de risques de surinfection dans les concerts y compris en salles fermées, à condition d’être debout et masqué.
Les tests pratiqués sur les 3917 participants au concert d’Indochine, après l’événement, ont en effet révélé qu’il n’y avait pas plus de contaminations sur ce groupe de population que sur les 2000 volontaires n’ayant pas assisté au concert.
Une nouvelle rassurante qui a remis du baume au cœur des organisateurs de spectacles musicaux. Des spectacles dominant l’activité estivale et lui fournissant toutes sortes d’avantages ? Lesquels ?
Tout aussi excellente, l’annonce de la tenue des Vieilles Charrues, du Delta à Marseille, du Festival Interceltique de Lorient, de Chorus à Boulogne-Billancourt, Jazz à Marciac, les Nuits de Fourvière…
Certes, quelques-uns ont renoncé, comme le Hellfest ou Solidays, ou les Eurockéennes (en partie) ou encore les très attendus concerts de Lady Gaga et d’Alicia Keys.
Ajoutés à ces majors, toutes sortes de petits concerts et soirées musicales annoncent aussi leur retour et l’on espère bien qu’ainsi, malgré les menaces, l’été aura ce délicieux goût de bonheur retrouvé grâce au retour en force de la musique sur les scènes estivales françaises.
En effet, de nombreuses communes programment dans leurs agendas de l’été, quelques jolis moments musicaux pour le plus grand plaisir du public et d’intermittents condamnés à un chômage un peu trop prolongé.
D’autant que, selon l’étude « Spring » menée par l’Assistance Publique, il n’existe pas de risques de surinfection dans les concerts y compris en salles fermées, à condition d’être debout et masqué.
Les tests pratiqués sur les 3917 participants au concert d’Indochine, après l’événement, ont en effet révélé qu’il n’y avait pas plus de contaminations sur ce groupe de population que sur les 2000 volontaires n’ayant pas assisté au concert.
Une nouvelle rassurante qui a remis du baume au cœur des organisateurs de spectacles musicaux. Des spectacles dominant l’activité estivale et lui fournissant toutes sortes d’avantages ? Lesquels ?
Un public très large
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Côté public tout d’abord, quelques éléments : les amateurs de festivals de musique se recrutent parmi tous les segments de la société et toutes les générations malgré des différences selon les genres musicaux : la chanson et les musiques actuelles étant les genres les plus populaires alors que jazz et musique classique sont plus élitistes.
Autres éléments intéressants sur les publics : le public des festivals est majoritairement féminin, confirmant une féminisation des pratiques culturelles visible dans tous les domaines.
De plus, il est âgé de 48 ans en moyenne, est très diplômé (56% ont des Bac +3 au moins) et affiche des pratiques culturelles nettement plus intensives que celles de la moyenne des Français (visites de musées, spectacles, cinéma), Mieux, parmi ces publics 27% font de la musique instrumentale en amateur.
Par ailleurs, certains festivals attirent les foules : autour de 200 000 spectateurs pour les Vieilles Charrues ou Les Eurockéennes. De quoi leur permettre de s’autofinancer en grande partie.
Mais, notons enfin que les festivals sont en général fréquentés par deux catégories de publics : les « amateurs » ( qui viennent pour la qualité des musiciens et chanteurs, prennent leurs places à l’avance, et fréquentent plusieurs spectacles : 2.4 en moyenne) et les « opportunistes » qui cherchent à assister à un événement et à s’y associer pour vivre un moment exceptionnel, mais sont moins regardants sur le programme.
D’ailleurs, une étude de SoFest le confirme : 48% des spectateurs d’un festival ne connaissent pas les artistes programmés contre 52% qui les connaissent. Étonnant non ? Mais, pour la chanson et les musiques actuelles, le pourcentage des connaisseurs grimpe à 70%.
Enfin, sur le plan quantitatif, les chiffres récents proposés par le Département des Études, de la Prospective et de la Statistique (DEPS) du ministère de la Culture, établissent à 19% la part des Français de plus de 15 ans (58 millions) ayant fréquenté un festival dans l’année 2019 et à 13% ceux qui ont assisté à un festival de musique.
Ce qui représente respectivement 11,02 millions de spectateurs dont 7,54 millions de musiciens et au global, un total d’entrées dans les festivals du domaine culturel de 26,45 millions dont 18,1 millions d’entrées pour les festivals musicaux.
Bémol : les publics étrangers ne sont pas recensés dans ce calcul. Souvent surévalués, ils ne représenteraient en fait que 4 à 5% du public. Excepté dans le cas de l’art lyrique où ils sont plus nombreux. Draguant une clientèle de proximité, les festivals sont effectivement faits pour celle-ci en priorité.
Autres éléments intéressants sur les publics : le public des festivals est majoritairement féminin, confirmant une féminisation des pratiques culturelles visible dans tous les domaines.
De plus, il est âgé de 48 ans en moyenne, est très diplômé (56% ont des Bac +3 au moins) et affiche des pratiques culturelles nettement plus intensives que celles de la moyenne des Français (visites de musées, spectacles, cinéma), Mieux, parmi ces publics 27% font de la musique instrumentale en amateur.
Par ailleurs, certains festivals attirent les foules : autour de 200 000 spectateurs pour les Vieilles Charrues ou Les Eurockéennes. De quoi leur permettre de s’autofinancer en grande partie.
Mais, notons enfin que les festivals sont en général fréquentés par deux catégories de publics : les « amateurs » ( qui viennent pour la qualité des musiciens et chanteurs, prennent leurs places à l’avance, et fréquentent plusieurs spectacles : 2.4 en moyenne) et les « opportunistes » qui cherchent à assister à un événement et à s’y associer pour vivre un moment exceptionnel, mais sont moins regardants sur le programme.
D’ailleurs, une étude de SoFest le confirme : 48% des spectateurs d’un festival ne connaissent pas les artistes programmés contre 52% qui les connaissent. Étonnant non ? Mais, pour la chanson et les musiques actuelles, le pourcentage des connaisseurs grimpe à 70%.
Enfin, sur le plan quantitatif, les chiffres récents proposés par le Département des Études, de la Prospective et de la Statistique (DEPS) du ministère de la Culture, établissent à 19% la part des Français de plus de 15 ans (58 millions) ayant fréquenté un festival dans l’année 2019 et à 13% ceux qui ont assisté à un festival de musique.
Ce qui représente respectivement 11,02 millions de spectateurs dont 7,54 millions de musiciens et au global, un total d’entrées dans les festivals du domaine culturel de 26,45 millions dont 18,1 millions d’entrées pour les festivals musicaux.
Bémol : les publics étrangers ne sont pas recensés dans ce calcul. Souvent surévalués, ils ne représenteraient en fait que 4 à 5% du public. Excepté dans le cas de l’art lyrique où ils sont plus nombreux. Draguant une clientèle de proximité, les festivals sont effectivement faits pour celle-ci en priorité.
Les bienfaits économiques des festivals
Sur le plan économique, où en est-on ? Selon une étude récente de France Festival, les retombées sont indéniables.
On arrive en effet à une dépense moyenne de 53 euros par personne y compris la billetterie. Avec des écarts importants entre les festivals d’art lyrique par exemple et de petits festivals de chansons. Néanmoins, selon cette même étude, si l’on prend en compte les festivals de musique soit 2640 événements ( en 2018), on aurait une fourchette haute de 1.9 milliards d’euros et basse de 535 millions d’euros. Car tous les festivals n’ont pas les mêmes budgets.
Alors qu’un millier de festivals affichent moins de 20 000 euros, les autres disposent de budgets répartis comme suit :
- 3% de festivals (80) ont des budgets dépassant 1,4 millions d’euros ;
-13% de festivals (344) ont des budgets situés entre 270 000 et 1,4 millions d’euros ;
- 47% de festivals (1 240) seraient situés entre 20 000 et 270 000 d’euros.
Quant au nombre d’emplois générés par ces manifestations musicales, il est de l’ordre de 243 000 à 153 000.
On arrive en effet à une dépense moyenne de 53 euros par personne y compris la billetterie. Avec des écarts importants entre les festivals d’art lyrique par exemple et de petits festivals de chansons. Néanmoins, selon cette même étude, si l’on prend en compte les festivals de musique soit 2640 événements ( en 2018), on aurait une fourchette haute de 1.9 milliards d’euros et basse de 535 millions d’euros. Car tous les festivals n’ont pas les mêmes budgets.
Alors qu’un millier de festivals affichent moins de 20 000 euros, les autres disposent de budgets répartis comme suit :
- 3% de festivals (80) ont des budgets dépassant 1,4 millions d’euros ;
-13% de festivals (344) ont des budgets situés entre 270 000 et 1,4 millions d’euros ;
- 47% de festivals (1 240) seraient situés entre 20 000 et 270 000 d’euros.
Quant au nombre d’emplois générés par ces manifestations musicales, il est de l’ordre de 243 000 à 153 000.
Une ambiance inimitable
Autre atout majeur de la musique en général : elle fait du bien. Il est désormais acquis que la musique a des vertus curatives, apaisantes tout au moins ou euphorisantes.
Elle est donc devenue une thérapie. Mais, elle est aussi et de plus en plus utilisée comme un outil de marketing pour une marque ou pour draguer la clientèle d’un centre commercial.
Pourquoi ? Parce que ses capacités à s’incruster dans la mémoire avec beaucoup plus de facilité et de rapidité que n’importe quel visuel, ont été démontrées. N’importe qui d’ailleurs, même ceux qui déclarent ne pas mémoriser la moindre musique, en ont au moins 400 gravés dans leurs neurones !
Les bienfaits des festivals sur l’ambiance
La spécificité majeure de la musique et des festivals de musique, celle qui fait que ceux- ci survivront à toutes les catastrophes, réside cependant aussi dans leurs capacités à transformer l’atmosphère d’un lieu et à la transformer de manière festive. Dans le mot festival, il y a fête. Ne l’oublions pas. Ainsi, si l’on prend l’exemple de Jazz in Marciac, c’est un village de 1200 habitants tout entier, investi par la population qui se met aux couleurs de l’événement : merchandising, restauration, musique dans la rue… Marciac pendant 15 jours change totalement de visage.
Ce qui contribue grandement à son attractivité. Un excellent point car, selon l’étude SoFest réalisée pour France Festival : « l’ambiance, arrive en seconde position dans les motivations derrière la programmation et se pose comme un élément central de motivation ».
Autre qualité, le festival est un événement d’une durée limitée. Il possède donc une dimension exceptionnelle qui en renforce l’attractivité. On peut rater un concert. On ne peut pas rater une soirée de festival car elle est perçue comme unique.
La contagion émotionnelle crée une alchimie
Enfin, si le festival de musique parvient à de telles prouesses, c’est grâce aux incroyables aptitudes de la musique à transformer les comportements et les humeurs des festivaliers. Lesquelles ont été et sont toujours étudiées par des chercheurs en neurosciences.
Ainsi, une étude australienne parue en 2019, souligne que même si le spectateur ne partage pas son émotion de manière volontaire, il est un vecteur d’émotion via la contagion émotionnelle inévitable qui se produit entre festivaliers. Tout d’abord, la musique l’incite à bouger et à danser. Ce qui d’ores et déjà produit une décontraction du corps et de l’esprit.
Elle peut aussi l’inviter à chanter en même temps que les artistes sur scène. Un autre moyen de débrider et euphoriser le public. Mieux qu’un spectacle de théâtre par exemple, elle est donc un vecteur de communication entre tous les membres d’un public soudain émancipés par l’écoute d’une musique.
Ces transferts d’émotions, soulignent les chercheurs, produisent des émotions collectives qui sont vécues de façon quasi simultanée bien que résultant d’expériences différentes. Pour les sociologues, les émotions collectives, en tant que concept, sont l’évolution de ce que Durkheim (1912) appelait les « efferversences collectives » qui faisaient suite à une intensification émotionnelle dans le groupe ou dans la foule. Des idées reprises par le sociologue Michel Maffesoli qui voyait dans le renouveau de la fête un besoin très contemporain de grandes émotions.
Mieux, si l’importance des échanges émotionnels entre les artistes et le public a été étudiée et validée, l’analyse globale de l’expérience émotionnelle des festivaliers montre que ces dynamiques touchent aussi l’ensemble des acteurs de l’événement : les organisateurs et l’ensemble du personnel recruté ainsi que les innombrables prestataires gravitant autour du festival, en particulier les commerçants et autres restaurateurs. Le festival de musique est donc un fait social total, impliquant toute une population, tout un territoire et surtout tous les sens de l’humain et pas seulement l’ouïe et le regard.
Coup de baguette magique, il fait exploser le corps et l’esprit et libère l’affectivité. Source de plaisir et de joie, il est le plus efficace des événements festifs dont nos sociétés brisées par une trop longue pandémie ont besoin cette année et auront toujours besoin par la suite.
« Sans musique, la vie n’est qu’un néant, un chaos » disait F. Nietzsche. Fort à propos. Quant à moi, j’insiste sur le fait que plus de musique, mieux utilisée et exploitée par le secteur touristique, lui ferait le plus grand bien.
*Lire : En avant la musique. Josette Sicsic. Editions L’Harmattan. 2018
http://www.editions-harmattan.fr
Elle est donc devenue une thérapie. Mais, elle est aussi et de plus en plus utilisée comme un outil de marketing pour une marque ou pour draguer la clientèle d’un centre commercial.
Pourquoi ? Parce que ses capacités à s’incruster dans la mémoire avec beaucoup plus de facilité et de rapidité que n’importe quel visuel, ont été démontrées. N’importe qui d’ailleurs, même ceux qui déclarent ne pas mémoriser la moindre musique, en ont au moins 400 gravés dans leurs neurones !
Les bienfaits des festivals sur l’ambiance
La spécificité majeure de la musique et des festivals de musique, celle qui fait que ceux- ci survivront à toutes les catastrophes, réside cependant aussi dans leurs capacités à transformer l’atmosphère d’un lieu et à la transformer de manière festive. Dans le mot festival, il y a fête. Ne l’oublions pas. Ainsi, si l’on prend l’exemple de Jazz in Marciac, c’est un village de 1200 habitants tout entier, investi par la population qui se met aux couleurs de l’événement : merchandising, restauration, musique dans la rue… Marciac pendant 15 jours change totalement de visage.
Ce qui contribue grandement à son attractivité. Un excellent point car, selon l’étude SoFest réalisée pour France Festival : « l’ambiance, arrive en seconde position dans les motivations derrière la programmation et se pose comme un élément central de motivation ».
Autre qualité, le festival est un événement d’une durée limitée. Il possède donc une dimension exceptionnelle qui en renforce l’attractivité. On peut rater un concert. On ne peut pas rater une soirée de festival car elle est perçue comme unique.
La contagion émotionnelle crée une alchimie
Enfin, si le festival de musique parvient à de telles prouesses, c’est grâce aux incroyables aptitudes de la musique à transformer les comportements et les humeurs des festivaliers. Lesquelles ont été et sont toujours étudiées par des chercheurs en neurosciences.
Ainsi, une étude australienne parue en 2019, souligne que même si le spectateur ne partage pas son émotion de manière volontaire, il est un vecteur d’émotion via la contagion émotionnelle inévitable qui se produit entre festivaliers. Tout d’abord, la musique l’incite à bouger et à danser. Ce qui d’ores et déjà produit une décontraction du corps et de l’esprit.
Elle peut aussi l’inviter à chanter en même temps que les artistes sur scène. Un autre moyen de débrider et euphoriser le public. Mieux qu’un spectacle de théâtre par exemple, elle est donc un vecteur de communication entre tous les membres d’un public soudain émancipés par l’écoute d’une musique.
Ces transferts d’émotions, soulignent les chercheurs, produisent des émotions collectives qui sont vécues de façon quasi simultanée bien que résultant d’expériences différentes. Pour les sociologues, les émotions collectives, en tant que concept, sont l’évolution de ce que Durkheim (1912) appelait les « efferversences collectives » qui faisaient suite à une intensification émotionnelle dans le groupe ou dans la foule. Des idées reprises par le sociologue Michel Maffesoli qui voyait dans le renouveau de la fête un besoin très contemporain de grandes émotions.
Mieux, si l’importance des échanges émotionnels entre les artistes et le public a été étudiée et validée, l’analyse globale de l’expérience émotionnelle des festivaliers montre que ces dynamiques touchent aussi l’ensemble des acteurs de l’événement : les organisateurs et l’ensemble du personnel recruté ainsi que les innombrables prestataires gravitant autour du festival, en particulier les commerçants et autres restaurateurs. Le festival de musique est donc un fait social total, impliquant toute une population, tout un territoire et surtout tous les sens de l’humain et pas seulement l’ouïe et le regard.
Coup de baguette magique, il fait exploser le corps et l’esprit et libère l’affectivité. Source de plaisir et de joie, il est le plus efficace des événements festifs dont nos sociétés brisées par une trop longue pandémie ont besoin cette année et auront toujours besoin par la suite.
« Sans musique, la vie n’est qu’un néant, un chaos » disait F. Nietzsche. Fort à propos. Quant à moi, j’insiste sur le fait que plus de musique, mieux utilisée et exploitée par le secteur touristique, lui ferait le plus grand bien.
*Lire : En avant la musique. Josette Sicsic. Editions L’Harmattan. 2018
http://www.editions-harmattan.fr
Journaliste, consultante, conférencière, Josette Sicsic observe depuis plus de 25 ans, les mutations du monde afin d’en analyser les conséquences sur le secteur du tourisme.
Après avoir développé pendant plus de 20 ans le journal Touriscopie, elle est toujours sur le pont de l’actualité où elle décode le présent pour prévoir le futur. Sur le site www.tourmag.com, rubrique Futuroscopie, elle publie plusieurs fois par semaine les articles prospectifs et analytiques.
Contact : 06 14 47 99 04
Mail : touriscopie@gmail.com
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