La première école du groupe Vatel a ouvert ses portes à Paris en 1981.
A l'époque, son créateur Alain Sebban considérait qu'il n'y avait pas de formation supérieure qui répondait aux attentes de la profession. Il propose alors des CAP-BEP, puis des Bac professionnels et des BTS.
Aujourd’hui, l’offre de formation a évolué pour coller aux tendances du marché. Les étudiants suivent désormais des licences de manager en hôtellerie internationale ainsi qu’un master directeur d'hôtellerie internationale. Deux diplômes inscrits au répertoire français des formations professionnelles et certifiés par Eurhodip¹.
Cette augmentation du niveau de diplôme répond à une attente des professionnels. « Depuis quelques années, nous observons une demande importante de managers au niveau bac + 5 » remarque Véronique Hasselweiler, la responsable communication.
Certes, les entreprises ont toujours besoin de serveurs et de cuisiniers, mais dans un contexte mondialisé, les groupes recrutent aujourd’hui des responsables aptes à diriger une équipe regroupant plusieurs corps de métier.
A l'époque, son créateur Alain Sebban considérait qu'il n'y avait pas de formation supérieure qui répondait aux attentes de la profession. Il propose alors des CAP-BEP, puis des Bac professionnels et des BTS.
Aujourd’hui, l’offre de formation a évolué pour coller aux tendances du marché. Les étudiants suivent désormais des licences de manager en hôtellerie internationale ainsi qu’un master directeur d'hôtellerie internationale. Deux diplômes inscrits au répertoire français des formations professionnelles et certifiés par Eurhodip¹.
Cette augmentation du niveau de diplôme répond à une attente des professionnels. « Depuis quelques années, nous observons une demande importante de managers au niveau bac + 5 » remarque Véronique Hasselweiler, la responsable communication.
Certes, les entreprises ont toujours besoin de serveurs et de cuisiniers, mais dans un contexte mondialisé, les groupes recrutent aujourd’hui des responsables aptes à diriger une équipe regroupant plusieurs corps de métier.
Se glisser dans la peau de ses futurs employés
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Ainsi, chaque centre Vatel possède un restaurant d'application, où le public peut venir le midi et parfois le soir déguster des plats gastronomiques servis par les élèves. Dans certaines écoles, on trouve même un hôtel voire un spa dans l’antenne de Nîmes.
Les jeunes se glissent alors dans la peau d'un serveur ou d'un réceptionniste, afin de mieux comprendre les missions d’un personnel qu’il sera amené à diriger plus tard. « C'est un très bon équilibre entre la pratique et la théorie » assure Véronique Hasselweiler.
Une fois diplômés, les «Vatéliens» sont très prisés par le secteur du luxe. L'une d'entre elle a d'ailleurs récemment été embauchée chez Roche Bobois (meubles français haut de gamme) à New York.
Mais qu'ils se destinent à la restauration industrielle ou à l'hôtellerie moyenne gamme, tous obtiendront un poste à responsabilité.
Le taux d’insertion, 75% signent CDI un an après la fin du Bachelor, est également très bons. Certainement dû en partie au réseau d'anciens élèves, fort de 20 000 personnes à travers le monde.
Vatel possède en effet des écoles en Europe, mais également en Asie, au Magreb et aux Amériques. Des ouvertures sont programmées à Nantes, Asuncion (Paraguay) et à Miami. Ces centres à l’étranger ont permis à certains étudiants de classe moyenne de pouvoir suivre son enseignement tout en restant dans leur pays.
« Autrefois, seuls les enfants de riches familles pouvaient venir étudier en Europe » rappelle Véronique Hasselweiler. Ces antennes internationales offrent également la possibilité aux Français de faire des stages aux quatre coins du monde, pour mieux se préparer à une carrière internationale.
¹ Zurhodip : Association des écoles hôtelières en Europe qui réunit aujourd'hui 135 membres en provenance de 30 pays et délivre des diplômes reconnus dans toute l'Europe.
Les jeunes se glissent alors dans la peau d'un serveur ou d'un réceptionniste, afin de mieux comprendre les missions d’un personnel qu’il sera amené à diriger plus tard. « C'est un très bon équilibre entre la pratique et la théorie » assure Véronique Hasselweiler.
Une fois diplômés, les «Vatéliens» sont très prisés par le secteur du luxe. L'une d'entre elle a d'ailleurs récemment été embauchée chez Roche Bobois (meubles français haut de gamme) à New York.
Mais qu'ils se destinent à la restauration industrielle ou à l'hôtellerie moyenne gamme, tous obtiendront un poste à responsabilité.
Le taux d’insertion, 75% signent CDI un an après la fin du Bachelor, est également très bons. Certainement dû en partie au réseau d'anciens élèves, fort de 20 000 personnes à travers le monde.
Vatel possède en effet des écoles en Europe, mais également en Asie, au Magreb et aux Amériques. Des ouvertures sont programmées à Nantes, Asuncion (Paraguay) et à Miami. Ces centres à l’étranger ont permis à certains étudiants de classe moyenne de pouvoir suivre son enseignement tout en restant dans leur pays.
« Autrefois, seuls les enfants de riches familles pouvaient venir étudier en Europe » rappelle Véronique Hasselweiler. Ces antennes internationales offrent également la possibilité aux Français de faire des stages aux quatre coins du monde, pour mieux se préparer à une carrière internationale.
¹ Zurhodip : Association des écoles hôtelières en Europe qui réunit aujourd'hui 135 membres en provenance de 30 pays et délivre des diplômes reconnus dans toute l'Europe.