Avec 25.000 réservations en ligne en 2005 pour un volume de 23,5 ME, Abcroisière.com s’adjuge 10 % des ventes de croisières en France.
Outre Patrick Gaudfrin, l’équipe se compose de Pauline Hasen, directrice vente qui vient de l’hôtellerie et de Frédéric Ledieu, directeur technique en charge du développement du site en Interne épaulé par une équipe de deux ingénieurs. »
TourMaG.com - Quelle est la situation d’Abcroisière.com ?
Patrick Gaudfrin : « Pour faire face à la croissance de notre activité, nous avons du déménager il y a un an dans de nouveaux locaux (400 m2 dans le centre de Nice). Mais ils sont déjà insuffisants pour héberger dans de bonnes conditions l’équipe de 45 salariés que va encore s’accroître cette année avec l’embauche prévue d’une trentaine de technico-commerciaux.
On recherche des gens capables de vendre la croisière en ligne. Je rappelle qu’en volume, et avec un seul point de vente (le site Abcroisière.com) on s’affiche premier en Europe et en France. Je dis souvent, il faut le prendre comme une boutade, qu’avec 25.000 clients nous sommes troisième acteur du marché de la croisière derrière Costa (116.000) et Msc (29.000). »
T.M.com - Comment évolue le marché de la croisière ?
P.G. : « On reste dans une tendance classique avec 60 % des clients pour des circuits en Méditerranée où les prix baissent avec un rajeunissement de la clientèle, et 22 % pour les Caraïbes avec un petit effritement du à la nécessité du visa. Le reste se partage sur les croisières dans les pays nordiques et l’Amérique du Sud.
Notre clientèle reste francophone avec les Français mais aussi des Belges et des Suisses ou encore des francophones installés à l’étranger. Quant au comportement, on observe que la clientèle de l’été aime les offres de dernière minute alors que l’hiver elle est plus sélective et souhaite profiter des offres promotionnelles à long terme des compagnies . »
T.M.com - Où en est votre « marque blanche » ?
P.G. : « Je rappelle que notre marque blanche consiste à fournir à d’autres sites de vente en ligne de produits touristiques un accès direct à notre base de données de produits croisières. Nous reversons à ces sites une commission en fonction des ventes effectuées.
C’est un moyen efficace de décupler nos ventes croisière via d’autres sites. D’autant que nous offrons un produit clés en main. Actuellement près de 317 sites francophones ont adhéré à notre produit marque blanche dont le plus célèbre est Opodo.
Le pourcentage de vente par marque blanche est passé de 5 % en 2004 à 10 % en 2005 une croissance exponentielle puisque je vous rappelle que le chiffre d’affaires d’Abcroisière.com a augmenté de 100 % en 2005. »
T.M.com - Quels sont vos projets pour 2006 ?
P.G. : « On étudie la création d’un site destiné à la clientèle d’Europe du Sud et notamment en Espagne et en Italie. Nous avons également un plan de communication, essentiellement par Internet, très ambitieux avec des messages humoristiques pour briser l’image de la croisière réservée à des personnes âgées.
A ce titre, l’arrivée en 2005 d’Easycruise a permis de changer l’image même si ce type de concept de croisières côtières à bas prix restera un produit marginal sur le marché. »
Outre Patrick Gaudfrin, l’équipe se compose de Pauline Hasen, directrice vente qui vient de l’hôtellerie et de Frédéric Ledieu, directeur technique en charge du développement du site en Interne épaulé par une équipe de deux ingénieurs. »
TourMaG.com - Quelle est la situation d’Abcroisière.com ?
Patrick Gaudfrin : « Pour faire face à la croissance de notre activité, nous avons du déménager il y a un an dans de nouveaux locaux (400 m2 dans le centre de Nice). Mais ils sont déjà insuffisants pour héberger dans de bonnes conditions l’équipe de 45 salariés que va encore s’accroître cette année avec l’embauche prévue d’une trentaine de technico-commerciaux.
On recherche des gens capables de vendre la croisière en ligne. Je rappelle qu’en volume, et avec un seul point de vente (le site Abcroisière.com) on s’affiche premier en Europe et en France. Je dis souvent, il faut le prendre comme une boutade, qu’avec 25.000 clients nous sommes troisième acteur du marché de la croisière derrière Costa (116.000) et Msc (29.000). »
T.M.com - Comment évolue le marché de la croisière ?
P.G. : « On reste dans une tendance classique avec 60 % des clients pour des circuits en Méditerranée où les prix baissent avec un rajeunissement de la clientèle, et 22 % pour les Caraïbes avec un petit effritement du à la nécessité du visa. Le reste se partage sur les croisières dans les pays nordiques et l’Amérique du Sud.
Notre clientèle reste francophone avec les Français mais aussi des Belges et des Suisses ou encore des francophones installés à l’étranger. Quant au comportement, on observe que la clientèle de l’été aime les offres de dernière minute alors que l’hiver elle est plus sélective et souhaite profiter des offres promotionnelles à long terme des compagnies . »
T.M.com - Où en est votre « marque blanche » ?
P.G. : « Je rappelle que notre marque blanche consiste à fournir à d’autres sites de vente en ligne de produits touristiques un accès direct à notre base de données de produits croisières. Nous reversons à ces sites une commission en fonction des ventes effectuées.
C’est un moyen efficace de décupler nos ventes croisière via d’autres sites. D’autant que nous offrons un produit clés en main. Actuellement près de 317 sites francophones ont adhéré à notre produit marque blanche dont le plus célèbre est Opodo.
Le pourcentage de vente par marque blanche est passé de 5 % en 2004 à 10 % en 2005 une croissance exponentielle puisque je vous rappelle que le chiffre d’affaires d’Abcroisière.com a augmenté de 100 % en 2005. »
T.M.com - Quels sont vos projets pour 2006 ?
P.G. : « On étudie la création d’un site destiné à la clientèle d’Europe du Sud et notamment en Espagne et en Italie. Nous avons également un plan de communication, essentiellement par Internet, très ambitieux avec des messages humoristiques pour briser l’image de la croisière réservée à des personnes âgées.
A ce titre, l’arrivée en 2005 d’Easycruise a permis de changer l’image même si ce type de concept de croisières côtières à bas prix restera un produit marginal sur le marché. »