Certifiée par le ministère des maladies mentales
On ne leur a pas dit aux fabricants de t-shirts que dans les agences, on doit avoir genre 26 ans de moyenne d’âge et qu’on est attentives à notre look (et qu’on fait du S) ?
Ben on va quand même te prendre un L pour Isa’… parce qu’elle, on imagine bien qu’elle n’a pas de mâle pour la réchauffer…
2 – On est invitées à des voyages d‘étude. Qu’est-ce que vous croyez ? Un fois identifiées comme « spécialistes », on nous bichonne !
Bien sûr, vu le nombre de certifiés sur la Polynésie ou la Nouvelle Calédonie, ne rêvez pas les filles !
Mais les pays tordus qui n’intéressent personne, ça peut marcher… L’air de rien, c’est grâce à mon statut d’Aussie Specialist que je suis allée deux fois en Australie… (à l’occasion, penser à ne jamais s’inscrire au programme de certification du Kazakhstan dés fois qu’ils aient envie de m’envoyer là bas).
Note pour les lecteurs pointilleux : Il n’existe pas… j’ai vérifié… (ouf !) De toute façon, plutôt que de me revendiquer « spécialiste destinations », je préfère me définir comme « spécialiste des clients à la c...».
Je souhaite donc être certifiée par le ministère des maladies mentales comme spécialiste des pathologies suivantes :
- Les voyageurs de noce qui devraient renoncer au mariage : s’ils n’arrivent pas à se mettre d’accord sur la destination de leur lune de miel, c’est mal barré pour passer la crise des 7 ans !
- Les gens qui veulent « un voyage très original axés sur les rencontres avec les indigènes » mais « en groupe en guidé en français »
(Bien sûr, pour aller au Panama, la meilleure solution, c’est les départs garantis de FRAM à 50 pax dans le bus)
- Les clients qui connaissent mieux que tout le monde les systèmes de tarification et de yield management (ceux là, au bon d’un moment, je les regarde bêtement, je leur dis que je ne suis pas assez qualifiée pour leur demande « trop pointue »
Quelquefois, être blonde, c’est bien pratique… Et je leur envoie Max’ qui parle très très vite et explique tout dans un jargon pas possible que même nous, on a du mal à suivre…
Ben on va quand même te prendre un L pour Isa’… parce qu’elle, on imagine bien qu’elle n’a pas de mâle pour la réchauffer…
2 – On est invitées à des voyages d‘étude. Qu’est-ce que vous croyez ? Un fois identifiées comme « spécialistes », on nous bichonne !
Bien sûr, vu le nombre de certifiés sur la Polynésie ou la Nouvelle Calédonie, ne rêvez pas les filles !
Mais les pays tordus qui n’intéressent personne, ça peut marcher… L’air de rien, c’est grâce à mon statut d’Aussie Specialist que je suis allée deux fois en Australie… (à l’occasion, penser à ne jamais s’inscrire au programme de certification du Kazakhstan dés fois qu’ils aient envie de m’envoyer là bas).
Note pour les lecteurs pointilleux : Il n’existe pas… j’ai vérifié… (ouf !) De toute façon, plutôt que de me revendiquer « spécialiste destinations », je préfère me définir comme « spécialiste des clients à la c...».
Je souhaite donc être certifiée par le ministère des maladies mentales comme spécialiste des pathologies suivantes :
- Les voyageurs de noce qui devraient renoncer au mariage : s’ils n’arrivent pas à se mettre d’accord sur la destination de leur lune de miel, c’est mal barré pour passer la crise des 7 ans !
- Les gens qui veulent « un voyage très original axés sur les rencontres avec les indigènes » mais « en groupe en guidé en français »
(Bien sûr, pour aller au Panama, la meilleure solution, c’est les départs garantis de FRAM à 50 pax dans le bus)
- Les clients qui connaissent mieux que tout le monde les systèmes de tarification et de yield management (ceux là, au bon d’un moment, je les regarde bêtement, je leur dis que je ne suis pas assez qualifiée pour leur demande « trop pointue »
Quelquefois, être blonde, c’est bien pratique… Et je leur envoie Max’ qui parle très très vite et explique tout dans un jargon pas possible que même nous, on a du mal à suivre…