La coupe du monde de rugby est probablement le plus gros événement sportif français de l’année 2023.
Avec plus de 600 000 visiteurs internationaux attendus, cet événement représente un enjeu économique majeur pour le pays.
Cependant, le Syndicat national des contrôleurs du trafic aérien (SNCTA) appelle les contrôleurs aériens à la grève le vendredi 15 septembre, en plein milieu de la coupe du monde.
Retour sur les revendications du mouvement.
Avec plus de 600 000 visiteurs internationaux attendus, cet événement représente un enjeu économique majeur pour le pays.
Cependant, le Syndicat national des contrôleurs du trafic aérien (SNCTA) appelle les contrôleurs aériens à la grève le vendredi 15 septembre, en plein milieu de la coupe du monde.
Retour sur les revendications du mouvement.
Une grève des contrôleurs aériens pour une hausse des salaires
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Le comité national critique le manque d’action de la DGAC face à l'inflation, malgré les nombreuses mises en garde du SNCTA.
Le comité souligne le fait que le contrôle aérien français est soumis à des plans de performance européens, comme tous les fournisseurs de services européens. Ces plans prévoient un ajustement du taux de redevance pour compenser l'inflation, et donc un ajustement des recettes.
L’appel à la grève des contrôleurs aériens vise donc à acter le rattrapage de l’inflation et mettre en place les négociations annuelles obligatoires visant à réguler les salaires en fonction de l’inflation. Le syndicat accuse les Pouvoirs publics de “dogmatisme injustifiable qui accentue le décrochage vis-à-vis des homologues européens et dévalue tant la performance que le pouvoir d’achat des contrôleurs aériens”, selon le communiqué du SNCTA.
Le préavis de grève des contrôleurs aériens est donc posé pour le vendredi 15 septembre, une date qui n’a rien d'aléatoire, puisqu’elle se situe en plein milieu de la coupe du monde de rugby.
Le comité souligne le fait que le contrôle aérien français est soumis à des plans de performance européens, comme tous les fournisseurs de services européens. Ces plans prévoient un ajustement du taux de redevance pour compenser l'inflation, et donc un ajustement des recettes.
L’appel à la grève des contrôleurs aériens vise donc à acter le rattrapage de l’inflation et mettre en place les négociations annuelles obligatoires visant à réguler les salaires en fonction de l’inflation. Le syndicat accuse les Pouvoirs publics de “dogmatisme injustifiable qui accentue le décrochage vis-à-vis des homologues européens et dévalue tant la performance que le pouvoir d’achat des contrôleurs aériens”, selon le communiqué du SNCTA.
Le préavis de grève des contrôleurs aériens est donc posé pour le vendredi 15 septembre, une date qui n’a rien d'aléatoire, puisqu’elle se situe en plein milieu de la coupe du monde de rugby.
De nombreux visiteurs internationaux attendus
A l’occasion de la coupe du monde de rugby, de nombreux vols ont été mis en place afin de permettre aux visiteurs étrangers de se rendre en France pour assister aux différents matchs.
Pas moins de 9 stades répartis en France se sont organisés pour accueillir tous les matchs de la coupe du monde.
De Paris à Marseille en passant par Saint-Etienne ou encore Toulouse, de nombreux vols à destination des grandes villes de France doivent permettre aux fans de se rendre sur place.
La grève des contrôleurs aériens pourrait donc avoir un fort impact sur la circulation du trafic aérien européen et sur l’événement.
Parmi les quelque 600 000 voyageurs internationaux attendus cette saison, notamment en provenance de l’Australie et de l’Afrique du Sud, certains pourraient avoir de mauvaises surprises.
Pas moins de 9 stades répartis en France se sont organisés pour accueillir tous les matchs de la coupe du monde.
De Paris à Marseille en passant par Saint-Etienne ou encore Toulouse, de nombreux vols à destination des grandes villes de France doivent permettre aux fans de se rendre sur place.
La grève des contrôleurs aériens pourrait donc avoir un fort impact sur la circulation du trafic aérien européen et sur l’événement.
Parmi les quelque 600 000 voyageurs internationaux attendus cette saison, notamment en provenance de l’Australie et de l’Afrique du Sud, certains pourraient avoir de mauvaises surprises.