Big-boss veut garder les sociétés
Big-boss et Isa ont connu les dinosaures.
Et la carte kiwi de la SNCF. On en reparlera une autre fois.
En tout cas, à l’époque bénie où Big-boss avait des cheveux et Isa était encore fraiche (moi, j’avais des petites robes roses à smocks et des barrettes pour discipliner mes bouclettes), vendre des billets d’avion aux entreprises rapportait de l’argent.
Maintenant, ça rapporte à peine 10% des revenus de l’agence alors que sur 5 vendeurs, y’en a un (Max) qui ne fait que ça, que Sonia passe son temps à dépanner Max sur les sociétés, et qu’Isa se prend la tête à pointer des états de caisse SNCF.
(A l’occasion, essayer de comprendre pourquoi c’est si long parce que je la soupçonne grave de lire les magasines people en loucdé au lieu de travailler, celle là).
Big-boss veut garder les sociétés parce qu’en fin d’année, notre tête de réseau nous reverse plein de thunes en rétro-commissions parce qu’on a vendu les compagnies référencées.
Genre : on ne gagne rien toute l’année, et le jour où ça tombe, Big-boss est content… Mouais… moi, j’suis pas convaincue… mais j’adore Max, il refuse de vendre du tourisme et veut garder ses sociétés.
Alors, je ne vais pas la ramener genre « les sociétés, ça nous rapporte rien, pourquoi on s’emmerde avec les secrétaires mémères alors qu’on pourrait avoir une fille de plus au tourisme qui rapporterait beaucoup plus » (là, Isa me regarderait par en dessous, me répondrait que je me mêle de ce qui ne me regarde pas, et elle me soupçonnerait même de savoir compter…) la pauvre…
Chez nous, « la suppression des commissions de la part des compagnies et le développement des comparateurs tarifaires sur le web ont fait vachement de mal à notre chiffre billetterie ».
Là, je viens de citer Big-boss, qui s’est servi de ce prétexte pour nous baisser notre salaire il y a 5 ans et en nous promettant qu’on gagnerait au moins autant grâce à un système de commission sur nos ventes.
Du coup, on a tous les mois des papiers bizarres avec des tableaux alambiqués sur des commissions sur nos ventes, qu’on n’arrive pas à calculer toutes seules et qu’Isa nous imprime en caractère 1.
Et la carte kiwi de la SNCF. On en reparlera une autre fois.
En tout cas, à l’époque bénie où Big-boss avait des cheveux et Isa était encore fraiche (moi, j’avais des petites robes roses à smocks et des barrettes pour discipliner mes bouclettes), vendre des billets d’avion aux entreprises rapportait de l’argent.
Maintenant, ça rapporte à peine 10% des revenus de l’agence alors que sur 5 vendeurs, y’en a un (Max) qui ne fait que ça, que Sonia passe son temps à dépanner Max sur les sociétés, et qu’Isa se prend la tête à pointer des états de caisse SNCF.
(A l’occasion, essayer de comprendre pourquoi c’est si long parce que je la soupçonne grave de lire les magasines people en loucdé au lieu de travailler, celle là).
Big-boss veut garder les sociétés parce qu’en fin d’année, notre tête de réseau nous reverse plein de thunes en rétro-commissions parce qu’on a vendu les compagnies référencées.
Genre : on ne gagne rien toute l’année, et le jour où ça tombe, Big-boss est content… Mouais… moi, j’suis pas convaincue… mais j’adore Max, il refuse de vendre du tourisme et veut garder ses sociétés.
Alors, je ne vais pas la ramener genre « les sociétés, ça nous rapporte rien, pourquoi on s’emmerde avec les secrétaires mémères alors qu’on pourrait avoir une fille de plus au tourisme qui rapporterait beaucoup plus » (là, Isa me regarderait par en dessous, me répondrait que je me mêle de ce qui ne me regarde pas, et elle me soupçonnerait même de savoir compter…) la pauvre…
Chez nous, « la suppression des commissions de la part des compagnies et le développement des comparateurs tarifaires sur le web ont fait vachement de mal à notre chiffre billetterie ».
Là, je viens de citer Big-boss, qui s’est servi de ce prétexte pour nous baisser notre salaire il y a 5 ans et en nous promettant qu’on gagnerait au moins autant grâce à un système de commission sur nos ventes.
Du coup, on a tous les mois des papiers bizarres avec des tableaux alambiqués sur des commissions sur nos ventes, qu’on n’arrive pas à calculer toutes seules et qu’Isa nous imprime en caractère 1.