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TourMag.com - Vous avez finalement rejoint l'immeuble de l'APST… Comment est né ce projet ?
Georges Colson : Le projet de "regroupement" entre l'APST et le Snav est né il y a fort longtemps, après une discussion avec Olivier Delaire, à l'époque Président de l'APST.
Grâce à Raoul Nabet, nous avons réussi à concrétiser ce projet et je loue maintenant les deux étages dans cet immeuble de l'APST.
Contrairement à ce que vous avez écrit, ce n'est pas un "prix d'ami", mais un tarif basé sur le marché.
Nous avons mis en commun la salle de conférence, notamment et pour une surface de 326m², le Snav paie à l'APST un loyer annuel de 120.000€.
TourMag.com - C'est quand même un prix d'ami ?
Georges Colson : Mon idée est, bien sûr, puisque le Snav est propriétaire des locaux de la Place du Général Catroux, de louer ces locaux plus chers que ce que je paye à l'APST, afin de retirer quelques petites recettes qui permettraient d'équilibrer mieux les comptes du Snav.
Et comme il n'est pas question d'augmenter les cotisations, ce serait un petit plus...
TourMag.com - Vous aimeriez louer vos anciens locaux à quel prix ?
Georges Colson: Idéalement, 200.000€ annuels. Nous devrions arriver, car nous avons un potentiel locataire aux environs de 180.000€.
Bien sûr, nous aurions pu vendre ces locaux, ce qui aurait été beaucoup plus facile. Mais vendre, c'était abandonner un patrimoine qui constitue quand même une jolie réserve financière.
TourMag.com - Finalement, en vous regroupant dans les mêmes locaux que l'APST, vous réalisez quelques économies de taille ?
Georges Colson : Mais oui. D'ailleurs, cela nous permet aussi de mutualiser certains personnels, notamment au niveau de la médiation. Cela représente une belle économie d'échelle, d'autant que nous avons de nouveaux adhérents dans la médiation…
Et nous avons dans l'idée, avec Raoul Nabet (président de l'APST, ndlr) de partager certaines compétences en termes de ressources humaines.
TourMag.com - Justement Georges, vous parlez beaucoup d'avenir…
Georges Colson :Je vais laisser un "outil", bien que le terme ne soit pas tout à fait exact, dans un état pour le moins satisfaisant. Mais n'oublions pas que mon mandat ne se termine que le 23 avril prochain.
TourMag.com - Mais avant de parler d'héritage, essayons de faire une sorte de bilan. Est-ce que le président sortant considère avoir bien fait, mal fait, a-t-il des regrets, des remords…
Georges Colson : Je vais vous décevoir ! Je vais travailler jusqu'au 23 avril prochain, date de la fin de mon mandat. Mais vous comprenez bien que le bilan de toutes ces années, je le ferai lors de notre Assemblée Générale.
Il est encore un peu tôt, mais, rassurez-vous, je commence à le rédiger et j'y pense très souvent.
Georges Colson : Le projet de "regroupement" entre l'APST et le Snav est né il y a fort longtemps, après une discussion avec Olivier Delaire, à l'époque Président de l'APST.
Grâce à Raoul Nabet, nous avons réussi à concrétiser ce projet et je loue maintenant les deux étages dans cet immeuble de l'APST.
Contrairement à ce que vous avez écrit, ce n'est pas un "prix d'ami", mais un tarif basé sur le marché.
Nous avons mis en commun la salle de conférence, notamment et pour une surface de 326m², le Snav paie à l'APST un loyer annuel de 120.000€.
TourMag.com - C'est quand même un prix d'ami ?
Georges Colson : Mon idée est, bien sûr, puisque le Snav est propriétaire des locaux de la Place du Général Catroux, de louer ces locaux plus chers que ce que je paye à l'APST, afin de retirer quelques petites recettes qui permettraient d'équilibrer mieux les comptes du Snav.
Et comme il n'est pas question d'augmenter les cotisations, ce serait un petit plus...
TourMag.com - Vous aimeriez louer vos anciens locaux à quel prix ?
Georges Colson: Idéalement, 200.000€ annuels. Nous devrions arriver, car nous avons un potentiel locataire aux environs de 180.000€.
Bien sûr, nous aurions pu vendre ces locaux, ce qui aurait été beaucoup plus facile. Mais vendre, c'était abandonner un patrimoine qui constitue quand même une jolie réserve financière.
TourMag.com - Finalement, en vous regroupant dans les mêmes locaux que l'APST, vous réalisez quelques économies de taille ?
Georges Colson : Mais oui. D'ailleurs, cela nous permet aussi de mutualiser certains personnels, notamment au niveau de la médiation. Cela représente une belle économie d'échelle, d'autant que nous avons de nouveaux adhérents dans la médiation…
Et nous avons dans l'idée, avec Raoul Nabet (président de l'APST, ndlr) de partager certaines compétences en termes de ressources humaines.
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