Hubert Moineau et Marie-Pierre Thomas, les deux fondateurs d'Ilandra Travel (© Pierrot Muller/Ilandra Travel)
De grandes baies vitrées, des bureaux spacieux et élégants. Ilanda Travel, nouvelle agence de voyages de luxe créée en 2023, à Paris, loge dans la cour d'un immeuble de la rue Oberkampf, dans le 11e arrondissement, non loin du prestigieux Cirque d'hiver des Bouglione.
Ce n'est a priori pas dans ce quartier jadis populaire mais désormais prisé des "bobos", que l'on attendrait une agence de voyages de luxe, mais plutôt dans ce qu'il est convenu d'appeler les "beaux quartiers" des 7e, 8e, 16e voire 17e arrondissements.
Idée préconçue, semble-t-il. "Il y a vingt ans, les clients venaient souvent en agence. Aujourd'hui, nous les recevons très peu sur place. A l'heure du numérique, il n'y en a plus besoin", explique Hubert Moineau, l'un des deux fondateurs de Ilanda Travel.
Tout comme la co-fondatrice, Marie-Pierre Thomas, Hubert Moineau habite dans le quartier Oberkamp à Paris. C'est donc par commodité personnelle qu'ils y ont installé leur agence.
La création de cette agence est l'aboutissement d'un long cheminement personnel qui les a conduits, l'un comme l'autre, à se spécialiser peu à peu dans les voyages sur-mesure haut de gamme.
Tous deux ont (longtemps) travaillé pour d'autres opérateurs ou agences de voyage, jusqu'à sauter le pas pour se lancer ensemble dans l'aventure d'Ilanda Travel, chacun avec sa spécialité : Marie-Pierre Thomas gère l'agence et les clients au quotidien ; Hubert Moineau se charge du marketing, du développement et notamment de la recherche de nouveaux clients y compris à l'étranger et multiplie les déplacements et court les salons.
Le terme "agence de voyages", Marie-Pierre Thomas le recuse cependant. Elle lui préfère celui "d'assistante personnelle de voyage". "C'est cela que je suis", insiste-t-elle.
"Evidemment, nous créons des voyage sur mesure à l'étranger, pour nos clients français", poursuit-elle. Cependant, "avant même d'ébaucher un programme de voyage, je questionne le client sur ses goûts, ses hobbies, ses souhaits. La première ébauche du voyage ne comprend aucune indication de prix.
C'est seulement lorsque j'ai bien compris ses requêtes, lorsque ma première ébauche est validée, que j'aborde la question tarifaire".
La co-créatrice de Ilanda Travel poursuit : "Une fois à destination, le client peut toujours nous contacter pour des changements de dernière minute, s'il en souhaite. C'est la raison pour laquelle nous avons, ici, chez Ilanda Travel, un service conciergerie".
Ce n'est a priori pas dans ce quartier jadis populaire mais désormais prisé des "bobos", que l'on attendrait une agence de voyages de luxe, mais plutôt dans ce qu'il est convenu d'appeler les "beaux quartiers" des 7e, 8e, 16e voire 17e arrondissements.
Idée préconçue, semble-t-il. "Il y a vingt ans, les clients venaient souvent en agence. Aujourd'hui, nous les recevons très peu sur place. A l'heure du numérique, il n'y en a plus besoin", explique Hubert Moineau, l'un des deux fondateurs de Ilanda Travel.
Tout comme la co-fondatrice, Marie-Pierre Thomas, Hubert Moineau habite dans le quartier Oberkamp à Paris. C'est donc par commodité personnelle qu'ils y ont installé leur agence.
La création de cette agence est l'aboutissement d'un long cheminement personnel qui les a conduits, l'un comme l'autre, à se spécialiser peu à peu dans les voyages sur-mesure haut de gamme.
Tous deux ont (longtemps) travaillé pour d'autres opérateurs ou agences de voyage, jusqu'à sauter le pas pour se lancer ensemble dans l'aventure d'Ilanda Travel, chacun avec sa spécialité : Marie-Pierre Thomas gère l'agence et les clients au quotidien ; Hubert Moineau se charge du marketing, du développement et notamment de la recherche de nouveaux clients y compris à l'étranger et multiplie les déplacements et court les salons.
Le terme "agence de voyages", Marie-Pierre Thomas le recuse cependant. Elle lui préfère celui "d'assistante personnelle de voyage". "C'est cela que je suis", insiste-t-elle.
"Evidemment, nous créons des voyage sur mesure à l'étranger, pour nos clients français", poursuit-elle. Cependant, "avant même d'ébaucher un programme de voyage, je questionne le client sur ses goûts, ses hobbies, ses souhaits. La première ébauche du voyage ne comprend aucune indication de prix.
C'est seulement lorsque j'ai bien compris ses requêtes, lorsque ma première ébauche est validée, que j'aborde la question tarifaire".
La co-créatrice de Ilanda Travel poursuit : "Une fois à destination, le client peut toujours nous contacter pour des changements de dernière minute, s'il en souhaite. C'est la raison pour laquelle nous avons, ici, chez Ilanda Travel, un service conciergerie".
L'Egypte et le Bouthan, des destinations qui ont le vent en poupe
Ilandra Travel et ses quatre collaborateurs (bientôt 5) ont pour clients des professions libérales, des chefs d'entreprise, des cadres supérieurs et leurs familles (âge moyen : 45/50 ans). Combien ?
"Il est difficile d'afficher un nombre de clients, il ne serait pas significatif. Opérationnels seulement depuis juillet dernier, nous sommes encore en phase de lancement", mais, "l'objectif est d'avoir à terme plusieurs centaines de clients. Avec, si possible, beaucoup d'habitués".
"Bon nombre de nos clients font trois ou quatre voyages par an", observent Hubert Moineau et Marie-Pierre Thomas. Et si beaucoup partent en couple, beaucoup voyagent aussi avec leurs enfants et, désormais, également, de plus en plus, avec plusieurs générations. Et aussi avec des amis.
Le panier moyen par voyage et par personne ? "Cela dépend des destinations, explique Marie-Pierre Thomas. Pour l'Afrique Australe comme pour le Bouthan, il faut compter 12000 € ; pour l'Egypte, en ce moment, compte tenu de la hausse de l'aérien et de l'augmentation des prestations sur place, 10 000 € en moyenne".
L'Egypte, est-ce une destination qui marche, malgré la guerre au Proche-Orient ? "Il y a une grosse demande en ce moment, rétorque Hubert Moineau. Après, un temps d'expectative lorsque la guerre a démarré".
Et le Bouthan ? "Cette destination a le vent en poupe", assure Marie-Pierre Thomas, qui en est une inconditionnelle.
"Ce pays se prête à des voyages introspectifs, spirituels, qui conviennent bien aux amateurs de slow travel. Bien sûr, il ne faut pas avoir peur de la solitude. C'est aussi une destination très secure. Une femme peut y voyager seule", assure-t-elle. C'est aussi une destination qui, comme le Bostwana ou le Rwanda, a fait le choix d'un tourisme de qualité. Le visa coûte quelque 150 € par jour, les tarifs des hôtels sont également élevés.
Autres destinations appréciées par leurs clients français : le Maroc, les Iles de l'Océan indien (Maurice, les Seychelles, les Maldives) et aussi Zanzibar. Et toujours un peu l'Europe, en particulier Minorque, Formentera, les petites Cyclades, le Portugal, les "grands classiques" (Rome, Florence, etc.) de l'Italie mais aussi les Dolomites et les Pouilles.
Et aussi, en Amérique latine, la Colombie et l'Argentine. Et enfin, Dubaï et Abu-Dhabi, et même l'antique ville nabatéenne d'Al-'Ula, en Arabie Saoudite où, tout de même, "l'exclusion de l'alcool reste un frein pour les Occidentaux".
A noter que les lieux et les hôtels réputés "bling-bling" ne rencontrent pas un gros succès auprès de la clientèle française d'Ilanda Travel, pas pas plus que les jets privés en location.
"Nos clients ont un certain niveau de vie, mais ils restent très humbles", observe Hubert Moineau. Ils sont aussi très sensibles aux questions environnementales, au tourisme durable". De ce fait, ils apprécient les hébergements faisant appel à l'énergie solaire, à des produits locaux, les programmes de plantations d'arbres, les projets bénéficiant aux populations locales.
S'inquiètent-ils des gaz à effet émis par leurs voyages en avion ? "Sur l'aérien, leur prise de conscience est plus modeste", euphémise Hubert Moineau.
"Il est difficile d'afficher un nombre de clients, il ne serait pas significatif. Opérationnels seulement depuis juillet dernier, nous sommes encore en phase de lancement", mais, "l'objectif est d'avoir à terme plusieurs centaines de clients. Avec, si possible, beaucoup d'habitués".
"Bon nombre de nos clients font trois ou quatre voyages par an", observent Hubert Moineau et Marie-Pierre Thomas. Et si beaucoup partent en couple, beaucoup voyagent aussi avec leurs enfants et, désormais, également, de plus en plus, avec plusieurs générations. Et aussi avec des amis.
Le panier moyen par voyage et par personne ? "Cela dépend des destinations, explique Marie-Pierre Thomas. Pour l'Afrique Australe comme pour le Bouthan, il faut compter 12000 € ; pour l'Egypte, en ce moment, compte tenu de la hausse de l'aérien et de l'augmentation des prestations sur place, 10 000 € en moyenne".
L'Egypte, est-ce une destination qui marche, malgré la guerre au Proche-Orient ? "Il y a une grosse demande en ce moment, rétorque Hubert Moineau. Après, un temps d'expectative lorsque la guerre a démarré".
Et le Bouthan ? "Cette destination a le vent en poupe", assure Marie-Pierre Thomas, qui en est une inconditionnelle.
"Ce pays se prête à des voyages introspectifs, spirituels, qui conviennent bien aux amateurs de slow travel. Bien sûr, il ne faut pas avoir peur de la solitude. C'est aussi une destination très secure. Une femme peut y voyager seule", assure-t-elle. C'est aussi une destination qui, comme le Bostwana ou le Rwanda, a fait le choix d'un tourisme de qualité. Le visa coûte quelque 150 € par jour, les tarifs des hôtels sont également élevés.
Autres destinations appréciées par leurs clients français : le Maroc, les Iles de l'Océan indien (Maurice, les Seychelles, les Maldives) et aussi Zanzibar. Et toujours un peu l'Europe, en particulier Minorque, Formentera, les petites Cyclades, le Portugal, les "grands classiques" (Rome, Florence, etc.) de l'Italie mais aussi les Dolomites et les Pouilles.
Et aussi, en Amérique latine, la Colombie et l'Argentine. Et enfin, Dubaï et Abu-Dhabi, et même l'antique ville nabatéenne d'Al-'Ula, en Arabie Saoudite où, tout de même, "l'exclusion de l'alcool reste un frein pour les Occidentaux".
A noter que les lieux et les hôtels réputés "bling-bling" ne rencontrent pas un gros succès auprès de la clientèle française d'Ilanda Travel, pas pas plus que les jets privés en location.
"Nos clients ont un certain niveau de vie, mais ils restent très humbles", observe Hubert Moineau. Ils sont aussi très sensibles aux questions environnementales, au tourisme durable". De ce fait, ils apprécient les hébergements faisant appel à l'énergie solaire, à des produits locaux, les programmes de plantations d'arbres, les projets bénéficiant aux populations locales.
S'inquiètent-ils des gaz à effet émis par leurs voyages en avion ? "Sur l'aérien, leur prise de conscience est plus modeste", euphémise Hubert Moineau.
Ilanda Travel : réceptif pour la clientèle étrangère
Ilanda Travel ne se contente pas d'organiser des voyages pour des Français à l'étranger. Elle travaille aussi comme agence réceptive en France où elle organise, en direct, (avec des guides, des hôtels, des prestataires en tous genres), des séjours pour des "clients étrangers haut de gamme". Ceux-ci sont principalement Américains, Indiens, Brésiliens, Mexicains.
Que demandent ces clients étrangers ? Paris, bien sûr. La Côte d'Azur évidemment. Le Mont Saint-Michel. La Champagne (en "One day tour"), le Val de Loire (mais moins qu'avant). Et aussi les Alpes françaises (et suisses).
Cette même clientèle étrangère est friande de séjours dans le vignoble bordelais. "Pour notre part, nous poussons beaucoup la Bourgogne. Pour nous différencier des autres agences. Et aussi parce que les étrangers ayant déjà voyagé en France, cherchent des lieux qu'ils ne connaissent pas encore", explique Hubert Moineau.
"La clientèle indienne est demanderesse de la montagne l'été mais aussi, désormais, l'hiver, car Bollywood y va", raconte Hubert Moineau. Il détaille : "les Indiens font souvent des voyages multigénérationnels. Ils viennent aussi désormais pour des voyages de noce. Quand ils viennent à Paris, c'est souvent pour faire du shopping. Les Américains, eux, iront sur les plages de Normandie, surtout cette année, pour les 80 ans du débarquement ; ils opteront volontiers pour la Bourgogne à vélo, ils s'intéressent à Napoléon, à Fontainebleu, un peu à l'impressionnisme.
Ils sont surtout davantage dans l'expérientiel : ils sont amateurs de cours de cuisine, d'ateliers "d'art de vivre à la française" pour apprendre, notamment, comment dresser une table ou quelles sont les règles de la galanterie".
Pour leur "éviter la foule", les deux animateurs de Ilanda Travel organisent "des moments rares et précieux" pour leurs clients. Autrement dit des visites privées de Versailles après la fermeture, par exemple. Des rencontres, en Champagne ou en Bourgogne, avec de petits producteurs plutôt qu'avec de grandes maisons. L'attention est la même pour les Français qui souhaitent découvrir les Pyramides ou Angkor Vat.
Evidemment, les références des clients varient selon leurs nationalités. Si les Américains s'offrent volontiers des palaces, de préférence d'enseignes américaines, les Indiens qui, chez eux, sont "habitués au grand luxe pour des sommes encore modestes" tombent de haut lorsqu'ils découvrent les tarifs européens. "Nous devons faire un grand travail d'accompagnement de cette clientèle qui, souvent, va se contenter de 4* + ou de 5*" .
Et les JO ? "Ils attirent et, en même temps, font peur. Au final, ils suscitent peu de demandes de notre clientèle étrangère", expliquent Marie-Pierre Thomas et Hubert Moineau qui, observent, en revanche, une demande accrue pour des chalets l'hiver et des villas l'été. Et aussi pour des voiliers avec skipper.
Que demandent ces clients étrangers ? Paris, bien sûr. La Côte d'Azur évidemment. Le Mont Saint-Michel. La Champagne (en "One day tour"), le Val de Loire (mais moins qu'avant). Et aussi les Alpes françaises (et suisses).
Cette même clientèle étrangère est friande de séjours dans le vignoble bordelais. "Pour notre part, nous poussons beaucoup la Bourgogne. Pour nous différencier des autres agences. Et aussi parce que les étrangers ayant déjà voyagé en France, cherchent des lieux qu'ils ne connaissent pas encore", explique Hubert Moineau.
"La clientèle indienne est demanderesse de la montagne l'été mais aussi, désormais, l'hiver, car Bollywood y va", raconte Hubert Moineau. Il détaille : "les Indiens font souvent des voyages multigénérationnels. Ils viennent aussi désormais pour des voyages de noce. Quand ils viennent à Paris, c'est souvent pour faire du shopping. Les Américains, eux, iront sur les plages de Normandie, surtout cette année, pour les 80 ans du débarquement ; ils opteront volontiers pour la Bourgogne à vélo, ils s'intéressent à Napoléon, à Fontainebleu, un peu à l'impressionnisme.
Ils sont surtout davantage dans l'expérientiel : ils sont amateurs de cours de cuisine, d'ateliers "d'art de vivre à la française" pour apprendre, notamment, comment dresser une table ou quelles sont les règles de la galanterie".
Pour leur "éviter la foule", les deux animateurs de Ilanda Travel organisent "des moments rares et précieux" pour leurs clients. Autrement dit des visites privées de Versailles après la fermeture, par exemple. Des rencontres, en Champagne ou en Bourgogne, avec de petits producteurs plutôt qu'avec de grandes maisons. L'attention est la même pour les Français qui souhaitent découvrir les Pyramides ou Angkor Vat.
Evidemment, les références des clients varient selon leurs nationalités. Si les Américains s'offrent volontiers des palaces, de préférence d'enseignes américaines, les Indiens qui, chez eux, sont "habitués au grand luxe pour des sommes encore modestes" tombent de haut lorsqu'ils découvrent les tarifs européens. "Nous devons faire un grand travail d'accompagnement de cette clientèle qui, souvent, va se contenter de 4* + ou de 5*" .
Et les JO ? "Ils attirent et, en même temps, font peur. Au final, ils suscitent peu de demandes de notre clientèle étrangère", expliquent Marie-Pierre Thomas et Hubert Moineau qui, observent, en revanche, une demande accrue pour des chalets l'hiver et des villas l'été. Et aussi pour des voiliers avec skipper.
Last minute et long terme
"Aujourd'hui, pour privatiser un Dahabieh sur le Nil, mieux s'y prendre huit mois à l'avance" (© Ilandra Travel)
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"Aujourd'hui, nous recevons soit des demandes last minute, soit des demandes très très en amont, pour 2024 ou même pour 2025, ce qui n'arrivait jamais avant le Covid", observent Marie-Pierre Thomas et Hubert Moineau.
"C'est une bonne idée, insiste Hubert Moineau, car les tarifs de l'aérien ont tendance à s'envoler. En réservant à l'avance, les tarifs seront plus intéressants. Et puis si un client veut, pour une date très précise, privatiser un Dahabieh pour une croisière sur le Nil, il lui faut, aujourd'hui, s'y prendre au moins huit mois à l'avance".
"D'une manière générale, le coût des voyages augmente et devrait continuer à augmenter", pronostiquent encore les deux fondateurs de Ilanda Travel qui estiment avoir fait le bon choix en misant sur "une clientèle aisée qui entend voyager dans des conditions confortables".
Les évolutions en cours les confortent dans leur positionnement, eux qui ont mis sur la page d'ouverture du site internet d'Ilanda Travel, cette phrase de l'acteur Philippe Noiret : “Le voyage est court. Essayons de le faire en première classe”.
"C'est une bonne idée, insiste Hubert Moineau, car les tarifs de l'aérien ont tendance à s'envoler. En réservant à l'avance, les tarifs seront plus intéressants. Et puis si un client veut, pour une date très précise, privatiser un Dahabieh pour une croisière sur le Nil, il lui faut, aujourd'hui, s'y prendre au moins huit mois à l'avance".
"D'une manière générale, le coût des voyages augmente et devrait continuer à augmenter", pronostiquent encore les deux fondateurs de Ilanda Travel qui estiment avoir fait le bon choix en misant sur "une clientèle aisée qui entend voyager dans des conditions confortables".
Les évolutions en cours les confortent dans leur positionnement, eux qui ont mis sur la page d'ouverture du site internet d'Ilanda Travel, cette phrase de l'acteur Philippe Noiret : “Le voyage est court. Essayons de le faire en première classe”.
Publié par Paula Boyer Responsable rubrique LuxuryTravelMaG - TourMaG.com
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