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Au sommaire de la revue de presse de la semaine du 17 février 2025 :
2024 : annus horribilis pour le tourisme en Nouvelle-Calédonie
Le groupe hôtelier britannique IHG n'atteindra pas son objectif de réduction de 46% de CO2 d'ici 2030
L'image de surpopulation pèse déjà sur le choix de destination des voyageurs
En Inde, l'agence de voyages en ligne MakeMyTrip veut devenir une « Travel Superapp »
Insolite : Les vidéos générées par IA sur le voyage dans le temps font un tabac sur TikTok
2024 : Annus horribilis pour le tourisme en Nouvelle-Calédonie

En 2024, la fréquentation touristique a chuté de 53% en Nouvelle-Calédonie - DepositPhotos.com, LisaStrachan
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La chute a été particulièrement marquée après les violences de mai-juin, avec une fréquentation en recul de plus de 70% sur la seconde moitié de l’année.
Seuls les visiteurs métropolitains et océaniens ont permis de maintenir un faible afflux. Une reprise s’amorce toutefois : la croisière a redémarré en novembre après six mois d’arrêt, tandis que le tourisme aérien connaît une reprise plus lente, amorcée timidement en décembre.
Un article de la1ere.francetvinfo.fr
IHG n'atteindra pas son objectif de réduction de 46% de CO2 d'ici 2030

Le groupe hôtelier IHG ne sera pas en mesure d’atteindre son objectif de réduction de 46% d’émissions carbone d'ici 2030 - DepositPhotos.com, VadimVasenin
Le groupe hôtelier IHG a annoncé qu’il ne pourra pas atteindre son objectif de réduction de 46% des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030.
Pire : depuis 2019, les émissions de ses 6 700 établissements, dont Holiday Inn, ont augmenté de 7,2%. Catherine Dolton, responsable du développement durable d’IHG, explique que des facteurs externes, comme le faible recours aux énergies renouvelables et l’absence de politiques nationales de neutralité carbone, freinent les progrès.
Un mauvais signal alors que les grandes entreprises de voyages ont le pouvoir de provoquer un réel changement en exigeant des chaînes d'approvisionnement plus écologiques et en faisant de la durabilité la norme du secteur.
Un des défis majeurs pour IHG est qu’il ne possède pas la majorité de ses hôtels, limitant son contrôle sur les budgets. Face à ces obstacles, le Groupe prévoit de réévaluer ses objectifs climatiques en se concentrant sur ce qu’il peut réellement contrôler.
Un article de skift.com
Pire : depuis 2019, les émissions de ses 6 700 établissements, dont Holiday Inn, ont augmenté de 7,2%. Catherine Dolton, responsable du développement durable d’IHG, explique que des facteurs externes, comme le faible recours aux énergies renouvelables et l’absence de politiques nationales de neutralité carbone, freinent les progrès.
Un mauvais signal alors que les grandes entreprises de voyages ont le pouvoir de provoquer un réel changement en exigeant des chaînes d'approvisionnement plus écologiques et en faisant de la durabilité la norme du secteur.
Un des défis majeurs pour IHG est qu’il ne possède pas la majorité de ses hôtels, limitant son contrôle sur les budgets. Face à ces obstacles, le Groupe prévoit de réévaluer ses objectifs climatiques en se concentrant sur ce qu’il peut réellement contrôler.
Un article de skift.com
L'image de surpopulation pèse déjà sur le choix de destination des voyageurs

La surpopulation touristique influence le choix des voyageurs selon une étude du cabinet allemand Simon-Kucher - DepositPhotos.com, fotokon
La surpopulation touristique influence le choix des voyageurs, plus de 50% évitant les destinations bondées.
Une étude du cabinet de conseil Simon-Kucher révèle cette tendance, poussant les touristes à privilégier des lieux plus calmes et authentiques. Ainsi, plus de 20% des voyageurs ont annulé ou modifié leurs projets de voyage en raison de la perception d'une surpopulation à destination.
Face à ce défi, certaines destinations adoptent des mesures : taxes touristiques aux Baléares, en Catalogne et à Venise, limitation des croisières à Dubrovnik, ou taxation accrue à Amsterdam.
Selon l’étude, améliorer les infrastructures et impliquer les communautés sont des solutions appréciées. Seuls 14% des personnes interrogées seraient favorables à une augmentation des prix, tandis que 18% seraient favorables à une augmentation des taxes de séjour.
A lire sur le site du média espagnol hosteltur.com
Une étude du cabinet de conseil Simon-Kucher révèle cette tendance, poussant les touristes à privilégier des lieux plus calmes et authentiques. Ainsi, plus de 20% des voyageurs ont annulé ou modifié leurs projets de voyage en raison de la perception d'une surpopulation à destination.
Face à ce défi, certaines destinations adoptent des mesures : taxes touristiques aux Baléares, en Catalogne et à Venise, limitation des croisières à Dubrovnik, ou taxation accrue à Amsterdam.
Selon l’étude, améliorer les infrastructures et impliquer les communautés sont des solutions appréciées. Seuls 14% des personnes interrogées seraient favorables à une augmentation des prix, tandis que 18% seraient favorables à une augmentation des taxes de séjour.
A lire sur le site du média espagnol hosteltur.com
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MakeMyTrip, la plus grande agence de voyages en ligne d'Inde, ambitionne de devenir une « Travel Superapp » en intégrant vols, hôtels et transports dans une expérience fluide et connectée.
Son PDG, Rajesh Magow, insiste sur une stratégie de service à guichet unique pour capter une plus grande part des dépenses des voyageurs. L’entreprise mise sur la fidélisation en unifiant des services fragmentés.
L’entreprise diversifie ses services avec myBiz, MyPartner, et des acquisitions comme BookMyForex et Savaari. Elle investit aussi dans l’IA pour personnaliser l’expérience client.
Malgré sa forte croissance et son expansion internationale, notamment au Moyen-Orient, MakeMyTrip doit relever le défi de l’intégration sans faille et de la concurrence accrue.
Un article de skift.com
Son PDG, Rajesh Magow, insiste sur une stratégie de service à guichet unique pour capter une plus grande part des dépenses des voyageurs. L’entreprise mise sur la fidélisation en unifiant des services fragmentés.
L’entreprise diversifie ses services avec myBiz, MyPartner, et des acquisitions comme BookMyForex et Savaari. Elle investit aussi dans l’IA pour personnaliser l’expérience client.
Malgré sa forte croissance et son expansion internationale, notamment au Moyen-Orient, MakeMyTrip doit relever le défi de l’intégration sans faille et de la concurrence accrue.
Un article de skift.com
Insolite : les vidéos de voyage dans le temps font un tabac sur TikTok
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Les historiens regrettent que l’IA soit utilisée de manière paresseuse, sans rigueur historique - DepositPhotos.com, 1StunningArt
Les vidéos générées par une intelligence artificielle IA de voyage dans le temps cartonnent sur TikTok, mais irritent les historiens par leurs clichés et anachronismes.
Des vidéos « POV » montrent des journées « typiques » dans des époques passées, souvent remplies d’erreurs flagrantes, comme des vitres inexistantes en 1 400 ou des tranchées en 39-45.
Malgré leur manque de réalisme, elles fascinent les internautes par leur immersion. Les historiens regrettent que l’IA soit utilisée de manière paresseuse, sans rigueur historique, alors qu’elle pourrait servir à produire du contenu éducatif de qualité sur la vie quotidienne des époques passées.
A lire sur huffingtonpost.fr
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