Pour éviter la faillite d'Adria Airways, l'état slovène semble prêt à mettre la main au portefeuille. On estime qu'il va injecter près de 50 millions d'euros dans l'entreprise. Certains avancent même un hypothétique rachat par Lufthansa - DR
C'est un des derniers vols d'Adria Airways vers Ljubljana que nous allons tester aujourd'hui.
En effet, suite à ses difficultés financières, la compagnie va certainement supprimer sa desserte de Paris à partir du 6 novembre 2011. Londres, Varsovie ou encore Istanbul devraient également être touchés.
Elle compte aussi réduire sa flotte et vendre trois appareils Airbus et un Bombardier.
Depuis quelques temps, Adria ne parvient plus à lutter contre la concurrence qui fait drastiquement baisser les prix, notamment avec l'arrivée d'Easy Jet.
Pour éviter la faillite, l'Etat semble prêt à mettre la main au portefeuille. On estime qu'il va injecter près de 50 millions d'euros dans l'entreprise.
Certains avancent même un hypothétique rachat par Lufthansa. La compagnie allemande lui prête déjà ses comptoirs pour l'enregistrement à Charles de Gaulle.
En effet, suite à ses difficultés financières, la compagnie va certainement supprimer sa desserte de Paris à partir du 6 novembre 2011. Londres, Varsovie ou encore Istanbul devraient également être touchés.
Elle compte aussi réduire sa flotte et vendre trois appareils Airbus et un Bombardier.
Depuis quelques temps, Adria ne parvient plus à lutter contre la concurrence qui fait drastiquement baisser les prix, notamment avec l'arrivée d'Easy Jet.
Pour éviter la faillite, l'Etat semble prêt à mettre la main au portefeuille. On estime qu'il va injecter près de 50 millions d'euros dans l'entreprise.
Certains avancent même un hypothétique rachat par Lufthansa. La compagnie allemande lui prête déjà ses comptoirs pour l'enregistrement à Charles de Gaulle.
Mauvaise impression
Pour ceux qui auraient prévu un voyage avant la fermeture de la ligne, ou qui espèrent l'emprunter à sa réouverture en mars prochain, voici un petit aperçu du service à bord.
Le voyage ne démarre pas sous les meilleurs auspices puisqu'il s'affiche déjà avec plus de 15 minutes de retard. Une broutille comparée aux deux heures d'attente pour le vol du retour...
Mais c'est là un manque de ponctualité assez récurrent d'après certains Slovènes. Nous embarquons à bord d'un bombardier régional Jet CRJ 900, d'une capacité de 86 passagers, configuré en 2 rangées de deux sièges. On compte seulement une vingtaine de passagers.
La déception se poursuit avec le repas : un minuscule sandwich caoutchouteux accompagné d'un tout petit gâteau au lointain goût de chocolat.
Un encas bien léger pour un vol qui devait décoller à 21h20. Un avant goût des restrictions budgétaires ? En tout cas l'appareil est très propre et les hôtesses plutôt souriantes. Les sièges sont confortables de taille standard. Dans la pochette, le magazine en anglais de la compagnie est fort bien rédigé.
Après une 1h40 de voyage, l'avion atterrit sans encombre et rattrape un peu son retard. Mais le sentiment général reste assez médiocre.
Une bien mauvaise première impression pour la Slovénie, un petit pays alpin qui possède pourtant un très fort potentiel de développement touristique, et qui mérite qu'on s'y intéresse.
Le voyage ne démarre pas sous les meilleurs auspices puisqu'il s'affiche déjà avec plus de 15 minutes de retard. Une broutille comparée aux deux heures d'attente pour le vol du retour...
Mais c'est là un manque de ponctualité assez récurrent d'après certains Slovènes. Nous embarquons à bord d'un bombardier régional Jet CRJ 900, d'une capacité de 86 passagers, configuré en 2 rangées de deux sièges. On compte seulement une vingtaine de passagers.
La déception se poursuit avec le repas : un minuscule sandwich caoutchouteux accompagné d'un tout petit gâteau au lointain goût de chocolat.
Un encas bien léger pour un vol qui devait décoller à 21h20. Un avant goût des restrictions budgétaires ? En tout cas l'appareil est très propre et les hôtesses plutôt souriantes. Les sièges sont confortables de taille standard. Dans la pochette, le magazine en anglais de la compagnie est fort bien rédigé.
Après une 1h40 de voyage, l'avion atterrit sans encombre et rattrape un peu son retard. Mais le sentiment général reste assez médiocre.
Une bien mauvaise première impression pour la Slovénie, un petit pays alpin qui possède pourtant un très fort potentiel de développement touristique, et qui mérite qu'on s'y intéresse.