Apparemment, fin de la surprenante aventure de la SNCM, des épisodes pour le moins étranges et finalement, de la mainmise de nos bons amis corses sur cette compagnie maritime, plus connue pour ses grèves dignes de la SNCF et des pilotes d’Air France réunis et surtout pour le gouffre financier que le bon contribuable français aura comblé sans moufter.
Mais après tout l’état achète bien des trains, je ne vois pas pourquoi il n’aurait pas cédé des bateaux à cette île magnifique.
Faut bien qu’il y en ait pour tout le monde…
En attendant, va quand même falloir maintenant que les nouveaux proprios, lesquels par un autre tour de magie, se retrouvent proprios à égalité avec ceux qui, au départ, possédaient 100% du capital !
Roooh. Je n’ai pas tout compris, mais ces histoires corsues, faut manier ça avec la délicatesse du cochon sauvage, n’est-il pas ?
Mais après tout l’état achète bien des trains, je ne vois pas pourquoi il n’aurait pas cédé des bateaux à cette île magnifique.
Faut bien qu’il y en ait pour tout le monde…
En attendant, va quand même falloir maintenant que les nouveaux proprios, lesquels par un autre tour de magie, se retrouvent proprios à égalité avec ceux qui, au départ, possédaient 100% du capital !
Roooh. Je n’ai pas tout compris, mais ces histoires corsues, faut manier ça avec la délicatesse du cochon sauvage, n’est-il pas ?
Bon, toujours est-il que maintenant, c’est bien beau, mais va falloir aussi rentabiliser l’affaire, sans trop fourguer les bijoux de famille.
Je remarque quand même que deux bateaux vont être vendus à « prix d’ami » à l’Office des Transports de Corse !
Après avoir subis quand même pour 20 briques de travaux de rénovation. Cherchez l’erreur !
Mais tout ceci ne nous regarde pas, u populu rigolu et tout le monde est content…
Sauf que depuis maintenant deux ans, c’est le tout petit challenger, celui aux bateaux jaunes, qui a repris quasi tout le marché entre le continent et la Corse.
Oui, Corsica Ferries, celui qui a ramé (pardon) durant de longues années face au monopole outrageux (et outrageant) de la SNCM.
Et que, visiblement, cette compagnie n’est pas décidée à se laisser à nouveau « couler » par la Línea Corsica.
Cette dernière vise 15% de parts de marché à l’horizon 2017 et 30% à terme… non précisé !
Bon, au moins, on ne peut pas dire que ce soient des objectifs particulièrement ambitieux, mais après tout, tant que ça flotte. En revanche, pour avoir (par journaliste interposé) assisté à la conférence tenue par Corsica Línea hier, je ne vois pas beaucoup d’objectifs de rentabilité.
Je remarque quand même que deux bateaux vont être vendus à « prix d’ami » à l’Office des Transports de Corse !
Après avoir subis quand même pour 20 briques de travaux de rénovation. Cherchez l’erreur !
Mais tout ceci ne nous regarde pas, u populu rigolu et tout le monde est content…
Sauf que depuis maintenant deux ans, c’est le tout petit challenger, celui aux bateaux jaunes, qui a repris quasi tout le marché entre le continent et la Corse.
Oui, Corsica Ferries, celui qui a ramé (pardon) durant de longues années face au monopole outrageux (et outrageant) de la SNCM.
Et que, visiblement, cette compagnie n’est pas décidée à se laisser à nouveau « couler » par la Línea Corsica.
Cette dernière vise 15% de parts de marché à l’horizon 2017 et 30% à terme… non précisé !
Bon, au moins, on ne peut pas dire que ce soient des objectifs particulièrement ambitieux, mais après tout, tant que ça flotte. En revanche, pour avoir (par journaliste interposé) assisté à la conférence tenue par Corsica Línea hier, je ne vois pas beaucoup d’objectifs de rentabilité.
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Certes, Línea annonce une baisse des tarifs d’environ 15% (sur la basse saison), ce qui va bien entendu réjouir fortement le consommateur.
Quant à la reconquête des groupes auprès des agences de voyages, va aussi surement falloir ramer et séduire les distributeurs et les tour-opérateurs.
A moins, bien évidemment, de leur faire des propositions qu’ils ne pourront pas refuser… mais que je me refuse à seulement imaginer !
Allez, nous allons arrêter d’imaginer des choses qui ne se produisent qu’au cinéma !
N’empêche que, là aussi, va falloir instaurer la confiance. Décidément, Jean-Marc Janaillac, qui avait présidé aux destinées de feu SNCM, semble faire des émules.
Mais, à choisir, je crois qu’il a mieux fait de tenter l’aventure aérienne. Entre deux maux (mots aussi), faut choisir le moindre !
Quant à la reconquête des groupes auprès des agences de voyages, va aussi surement falloir ramer et séduire les distributeurs et les tour-opérateurs.
A moins, bien évidemment, de leur faire des propositions qu’ils ne pourront pas refuser… mais que je me refuse à seulement imaginer !
Allez, nous allons arrêter d’imaginer des choses qui ne se produisent qu’au cinéma !
N’empêche que, là aussi, va falloir instaurer la confiance. Décidément, Jean-Marc Janaillac, qui avait présidé aux destinées de feu SNCM, semble faire des émules.
Mais, à choisir, je crois qu’il a mieux fait de tenter l’aventure aérienne. Entre deux maux (mots aussi), faut choisir le moindre !