APST, EdV, 2018 c’était bien... 2019 sera encore mieux - Crédit photo : DG
Et j’aime bien...
D’abord parce que, éternel gamin, j’aime Noël et que surtout, le buffet est de qualité. Les boissons sont goûteuses et l’humeur, malgré les difficultés, est enjouée !
Même le vieux Lion, Georges, est venu, c’est dire ! C’est Alix Philipon (je sais jamais si c’est deux « P » ou deux « L ») petit patapon, qui a lancé ses vœux à la foule attendrie et encore sobre. Comme d’habitude, la dame de fer a fait dans la brévitude. C’est comme ça, elle aime pas les discours longs et endormissants (oui, c’est un terme que j’aime bien).
« Poursuivons notre partenariat dans l’harmonie », d’autant que l’année 2018 est encore meilleure pour l’association de solidarité que 2017, laquelle était meilleure que 2016 !
Jugez-en : 3 700 adhérents, un excédent d’environ 6 millions dans les caisses et un fonds de garantie avoisinant les 23 millions d’euros.
De quoi voir venir et faire face à d’éventuelles tempêtes.
Dame Philipon poursuit son vœu perso pour l’APST : réussir le plan 2020, terminer la mise au point de ces nouveaux statuts (afin de complaire aux exigences de ce bon vieux Bercy et poursuivre son but : asseoir l’APST dans une position pérenne !
D’abord parce que, éternel gamin, j’aime Noël et que surtout, le buffet est de qualité. Les boissons sont goûteuses et l’humeur, malgré les difficultés, est enjouée !
Même le vieux Lion, Georges, est venu, c’est dire ! C’est Alix Philipon (je sais jamais si c’est deux « P » ou deux « L ») petit patapon, qui a lancé ses vœux à la foule attendrie et encore sobre. Comme d’habitude, la dame de fer a fait dans la brévitude. C’est comme ça, elle aime pas les discours longs et endormissants (oui, c’est un terme que j’aime bien).
« Poursuivons notre partenariat dans l’harmonie », d’autant que l’année 2018 est encore meilleure pour l’association de solidarité que 2017, laquelle était meilleure que 2016 !
Jugez-en : 3 700 adhérents, un excédent d’environ 6 millions dans les caisses et un fonds de garantie avoisinant les 23 millions d’euros.
De quoi voir venir et faire face à d’éventuelles tempêtes.
Dame Philipon poursuit son vœu perso pour l’APST : réussir le plan 2020, terminer la mise au point de ces nouveaux statuts (afin de complaire aux exigences de ce bon vieux Bercy et poursuivre son but : asseoir l’APST dans une position pérenne !
Dominique Gobert - DR
Avec l’aide de tous ses membres et des petites (et grandes) mains qui travaillent au sein de l’association
Jean-Pierre Mas, l’œil frisant et malicieux, prenait aussi la parole en tant que président des Entreprises du Voyage, avec d’emblée une pointe de malignité envers Dame Patapon : « Quel talent… elle progresse » ! Sourires dans la salle…
Le Syndicat progresse lui aussi, passant cette année de 1 350 adhérents à environ 1 600 et des comptes satisfaisants.
Mais vite fait bien fait, on reconnaissait dans les paroles du président, le ton politique qu’il affectionne particulièrement.
« Avec la nouvelle secrétaire générale, Valérie Boned (le placide Jean-Marc Rozé étant parti à la retraite, ndlr), nous voulons « améliorer encore la qualité de service que nous devons à nos adhérents, uniquement à nos adhérents » soulignant, selon ma traduction totalement libre, que « les non-adhérents qui veulent profiter de ces services sans cotiser n’ont qu’à aller se faire voir ».
En clair, on travaille pour les nôtres, les profiteurs…
Certes, reconnaît en substance Jean-Pierre Mas, l’année 2018 est une bonne année pour nos entreprises.
Jean-Pierre Mas, l’œil frisant et malicieux, prenait aussi la parole en tant que président des Entreprises du Voyage, avec d’emblée une pointe de malignité envers Dame Patapon : « Quel talent… elle progresse » ! Sourires dans la salle…
Le Syndicat progresse lui aussi, passant cette année de 1 350 adhérents à environ 1 600 et des comptes satisfaisants.
Mais vite fait bien fait, on reconnaissait dans les paroles du président, le ton politique qu’il affectionne particulièrement.
« Avec la nouvelle secrétaire générale, Valérie Boned (le placide Jean-Marc Rozé étant parti à la retraite, ndlr), nous voulons « améliorer encore la qualité de service que nous devons à nos adhérents, uniquement à nos adhérents » soulignant, selon ma traduction totalement libre, que « les non-adhérents qui veulent profiter de ces services sans cotiser n’ont qu’à aller se faire voir ».
En clair, on travaille pour les nôtres, les profiteurs…
Certes, reconnaît en substance Jean-Pierre Mas, l’année 2018 est une bonne année pour nos entreprises.
Autres articles
-
L'Albanie veut devenir une championne du tourisme à l’horizon 2030 (vidéo)
-
Yvon Peltanche : "l’IA offre des opportunités considérables" 🔑
-
Laurent Abitbol (APST) : "Je ne conçois pas qu’on donne sa vie privée en caution" 🔑
-
À la tête des EdV, Valérie Boned obtient déjà des avancées
-
Atout France, Travel Planner... des réformes en stand-by ? 🔑
Mais ne négligeons jamais ces quelques nuages qui planent au-dessus de nos têtes et qui pourraient rapidement se transformer en orages… et désespoir ! (Pardon).
La désintermédiation qui prend de l’ampleur, ces « millennials » pour qui une agence de voyages s’apparente à la Belle inconnue.
Sans parler de la bête noire de Mas : Bercy et ses fonctionnaires « totalement coupés des réalités, hors-sol qui nous rendent la vie épouvantable ».
Des combats, en parfaite entente avec le Seto et l’APST, il en a gagné. Il en a aussi perdu, notamment sur cette transposition de la Directive Européenne.
En revanche, il n’a pas rendu encore les armes face à IATA et les relations qui s’avèrent toujours « très compliquées » !
Restons vigilants, terminera-t-il. Les problèmes géopolitiques demeurent, d’autant que nous avons deux va-t’en-guerre, l’un à Moscou, l’autre à Washington qui sont dangereux.
L’effet du sur-tourisme avance, l’empreinte carbone des avions pourrait donner quelques idées de taxes supplémentaires à qui de droit, ce qui finirait par réserver le tourisme à une certaine élite !
Mais cet éternel optimiste finira par rassurer : 2019 sera une très bonne année, restons vigilants et tachons de prévenir les mauvais coups.
Dans la sérénité et la solidarité !
La désintermédiation qui prend de l’ampleur, ces « millennials » pour qui une agence de voyages s’apparente à la Belle inconnue.
Sans parler de la bête noire de Mas : Bercy et ses fonctionnaires « totalement coupés des réalités, hors-sol qui nous rendent la vie épouvantable ».
Des combats, en parfaite entente avec le Seto et l’APST, il en a gagné. Il en a aussi perdu, notamment sur cette transposition de la Directive Européenne.
En revanche, il n’a pas rendu encore les armes face à IATA et les relations qui s’avèrent toujours « très compliquées » !
Restons vigilants, terminera-t-il. Les problèmes géopolitiques demeurent, d’autant que nous avons deux va-t’en-guerre, l’un à Moscou, l’autre à Washington qui sont dangereux.
L’effet du sur-tourisme avance, l’empreinte carbone des avions pourrait donner quelques idées de taxes supplémentaires à qui de droit, ce qui finirait par réserver le tourisme à une certaine élite !
Mais cet éternel optimiste finira par rassurer : 2019 sera une très bonne année, restons vigilants et tachons de prévenir les mauvais coups.
Dans la sérénité et la solidarité !