La décadence de Thomas Cook France aura été pour Austral Lagon l'opportunité à ne pas rater, d'autant que finalement, la reprise (ou l'abandon) du TO aura, pour une fois, donné un véritable accord gagnant-gagnant aux deux parties.
Helion de Villeneuve, le re-patron d'Austral Lagons, aura avalé quand même quelques couleuvres depuis la cession de sa boite à Thomas Cook France.
C'est vrai qu'il aura fallu subir ce remarquable Denis Wathier et voir petit à petit Austral Lagons (comme quelques autres marques "reprises" par Thomas Cook), sombrer petit à petit dans une torpeur placardesque.
Malin ? Opportuniste ?
Hélion et ses amis ont joué la patience, peut-être aussi ont-ils su anticiper les mutations de ce monde du tourisme et des changements de comportements de la clientèle.
La décadence de Thomas Cook France aura été pour Austral Lagon l'opportunité à ne pas rater, d'autant que finalement, la reprise (ou l'abandon) du TO aura, pour une fois, donné un véritable accord gagnant-gagnant aux deux parties.
Thomas Cook se débarrasse ainsi d'une marque qui ne correspond plus à son "main stream" (je déteste vraiment cette appellation).
De son côté Hélion reprend, pour vraisemblablement un montant très raisonnable, une marque qui ne demande qu'à revivre et qui devrait, si tout va bien, retrouver sa place dans le PTF (Paysage Touristique Français, oui, c'est comme ça !).
Curieusement d'ailleurs, vous remarquerez que lorsqu'un TO se "lance" (ou se relance) sa première préoccupation est, systématiquement, de se tourner vers la distribution.
C'est vrai qu'il aura fallu subir ce remarquable Denis Wathier et voir petit à petit Austral Lagons (comme quelques autres marques "reprises" par Thomas Cook), sombrer petit à petit dans une torpeur placardesque.
Malin ? Opportuniste ?
Hélion et ses amis ont joué la patience, peut-être aussi ont-ils su anticiper les mutations de ce monde du tourisme et des changements de comportements de la clientèle.
La décadence de Thomas Cook France aura été pour Austral Lagon l'opportunité à ne pas rater, d'autant que finalement, la reprise (ou l'abandon) du TO aura, pour une fois, donné un véritable accord gagnant-gagnant aux deux parties.
Thomas Cook se débarrasse ainsi d'une marque qui ne correspond plus à son "main stream" (je déteste vraiment cette appellation).
De son côté Hélion reprend, pour vraisemblablement un montant très raisonnable, une marque qui ne demande qu'à revivre et qui devrait, si tout va bien, retrouver sa place dans le PTF (Paysage Touristique Français, oui, c'est comme ça !).
Curieusement d'ailleurs, vous remarquerez que lorsqu'un TO se "lance" (ou se relance) sa première préoccupation est, systématiquement, de se tourner vers la distribution.
Etonnant, n'est-il pas ? Je sais, mon ami Rial va encore pousser des cris d'orfraie (une orfraie est un "taxon", si si, j'invente rien), un rapace qui pousse des cris afin d'effrayer ses proies.
Parmi les orfraies, citons les pygargues à queue blanche ou le balbuzard. C'était la minute encyclopédique de Tonton Dom, remerciez pas…).
Or donc, malgré la propension que semblent manifester les TO à vouloir se débarrasser des distributeurs, dès que l'un pénètre sur le marché, il tient à "trouver la confiance des agences de voyages". Eh oui.
Pour Austral Lagon, pas de Secret non plus (si je peux me permettre) : séduire les agences fait partie des objectifs.
TourCom et Manor auraient signé avec Austral Lagon, Havas y réfléchit.
Pour Selectour Afat, va falloir y aller aussi, non ? C'est vrai que là, y'a des concurrents qui ne devraient pas voir d'un très bon œil l'arrivée d'un petit nouveau dans le Top 14… Mais, y'a le Top 15, non?
Autre constat, amusant et qui est très tendance en ce moment : c'est le besoin de rassurer sur le niveau de trésorerie d'un TO.
Austral ne manque pas de le souligner, lui aussi. Et c'est vrai que la tréso, pour les TO, ça devient de plus en plus compliqué…
Pour faire bonne mesure, Austral va consacrer un budget important au développement d'un site B to B. Va falloir quand même avoir les reins solides, parce que ça, ça coûte beaucoup de pognon !
Et, last but not least, Austral Lagons fournira de "vrais" carnets de voyages…
Finalement rien ne se crée, rien ne se perd… tout se transforme !
Parmi les orfraies, citons les pygargues à queue blanche ou le balbuzard. C'était la minute encyclopédique de Tonton Dom, remerciez pas…).
Or donc, malgré la propension que semblent manifester les TO à vouloir se débarrasser des distributeurs, dès que l'un pénètre sur le marché, il tient à "trouver la confiance des agences de voyages". Eh oui.
Pour Austral Lagon, pas de Secret non plus (si je peux me permettre) : séduire les agences fait partie des objectifs.
TourCom et Manor auraient signé avec Austral Lagon, Havas y réfléchit.
Pour Selectour Afat, va falloir y aller aussi, non ? C'est vrai que là, y'a des concurrents qui ne devraient pas voir d'un très bon œil l'arrivée d'un petit nouveau dans le Top 14… Mais, y'a le Top 15, non?
Autre constat, amusant et qui est très tendance en ce moment : c'est le besoin de rassurer sur le niveau de trésorerie d'un TO.
Austral ne manque pas de le souligner, lui aussi. Et c'est vrai que la tréso, pour les TO, ça devient de plus en plus compliqué…
Pour faire bonne mesure, Austral va consacrer un budget important au développement d'un site B to B. Va falloir quand même avoir les reins solides, parce que ça, ça coûte beaucoup de pognon !
Et, last but not least, Austral Lagons fournira de "vrais" carnets de voyages…
Finalement rien ne se crée, rien ne se perd… tout se transforme !
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