Au Cédiv au moins, comme je le disais hier, on est nettement plus pragmatiques et quand l'occasion se présente, il est urgent de la saisir. C'est ce qu'ils ont fait, permettant au patron de Marietton d'accéder ainsi au Conseil - Fotolia Auteur : Matthias Enter
Mais trêve de balivernes et billevesées. Un fait marquant et qui mérite toute attention en ce jour, c’est l’émergence de petits réseaux, modestes mais extrêmement actifs.
Avec, bien évidemment, et je le soulignais pas plus tard qu’hier (comme le temps passe), l’élection quasi triomphale du Patron du Groupe Marietton en tant qu’administrateur du Cediv.
Une belle revanche, face à la timorerie (cherchez pas, c’est encore un nouveau mot) des électeurs du réseau Selectour Afat, le plus gros réseau de France.
Pour ceux qui n’ont pas de mémoire, grâce à ses différentes acquisitions, le groupe Marietton représente quasi un tiers de la confrérie Selectour.
A juste titre, et fort de sa bonne volonté et surtout ses idées qui pourraient enfin faire évoluer ces modèles de distribution, Abitbol s’était présenté aux élections, pensant ainsi participer activement à la vie de ce réseau.
Et son « poids » lui permettait peut-être de conduire certaines innovations inéluctables et indispensables, pour le plus grand bien de tous.
Avec, bien évidemment, et je le soulignais pas plus tard qu’hier (comme le temps passe), l’élection quasi triomphale du Patron du Groupe Marietton en tant qu’administrateur du Cediv.
Une belle revanche, face à la timorerie (cherchez pas, c’est encore un nouveau mot) des électeurs du réseau Selectour Afat, le plus gros réseau de France.
Pour ceux qui n’ont pas de mémoire, grâce à ses différentes acquisitions, le groupe Marietton représente quasi un tiers de la confrérie Selectour.
A juste titre, et fort de sa bonne volonté et surtout ses idées qui pourraient enfin faire évoluer ces modèles de distribution, Abitbol s’était présenté aux élections, pensant ainsi participer activement à la vie de ce réseau.
Et son « poids » lui permettait peut-être de conduire certaines innovations inéluctables et indispensables, pour le plus grand bien de tous.
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D'autant que, déjà à l'époque, se profilait la perspective chinoise et l'investissement vers cette belle dame qui décadence… Fram !
Pour qui d'ailleurs Abitbol aurait pu avoir certaines idées. Qui sait d'ailleurs si une "place" au conseil de surveillance n'aurait pas été envisagée.
Las, les électeurs de Selectourie n'ont pas suivis, à moins que d'obscurs "lâchages" de dernière minute n'aient altérés ces projets.
Au Cédiv au moins, comme je le disais hier, on est nettement plus pragmatiques et quand l'occasion se présente, il est urgent de la saisir.
C'est ce qu'ils ont fait, permettant au patron de Marietton d'accéder ainsi au Conseil et d'enfin détenir une place conséquente dans ce "nouveau monde de la distribution" qui est en train de se dessiner… à touches feutrées !
Et Laurent Abitbol aura été élu avec une proportion de voix conséquentes, même si l'on peut regretter que deux administrateurs, compétents et dynamiques n'aient pas remporté les suffrages espérés.
Pour qui d'ailleurs Abitbol aurait pu avoir certaines idées. Qui sait d'ailleurs si une "place" au conseil de surveillance n'aurait pas été envisagée.
Las, les électeurs de Selectourie n'ont pas suivis, à moins que d'obscurs "lâchages" de dernière minute n'aient altérés ces projets.
Au Cédiv au moins, comme je le disais hier, on est nettement plus pragmatiques et quand l'occasion se présente, il est urgent de la saisir.
C'est ce qu'ils ont fait, permettant au patron de Marietton d'accéder ainsi au Conseil et d'enfin détenir une place conséquente dans ce "nouveau monde de la distribution" qui est en train de se dessiner… à touches feutrées !
Et Laurent Abitbol aura été élu avec une proportion de voix conséquentes, même si l'on peut regretter que deux administrateurs, compétents et dynamiques n'aient pas remporté les suffrages espérés.
C'est aussi le prix de la démocratie.
D'autant plus et n'oublions jamais que l'acquisition du réseau Havas, même si l'on en est encore à peaufiner l'accord définitif, lequel porte plus sur des considérations de détails, pourrait peser de tout son poids dans les "rapports", pour le moment cordiaux, qui lient Selectour et Cediv.
Il est maintenant urgent d'attendre.
Rien n'est encore totalement arrêté dans cette grande partie qui se joue actuellement. Le sort de Fram est aussi un élément important dans la stratégie de Selectour Afat et rien n'est joué. Si, comme je le soupçonne, l'audit mené par les chinois a révélé quelques incohérences, aucune décision n'a été prise.
Une source proche du dossier, optimiste par nature, me confiait que le "bon signe était que ces chinois n'avaient certes pas indiqué leur position", signifiant ainsi que le dossier n'avait pas été refermé… et clos.
Sans oublier quand même que le rôle du CIRI, théoriquement "indicatif", n'est pas totalement clair dans cette histoire et qu'il va falloir très surement s'attendre encore à quelques rebondissements.
J'ai quand même une pensée sincère pour tous les salariés du voyagiste qui s'angoissent, tandis que, dans le même temps, les pilotes d'Air France n'ont rien trouvé de mieux que de rompre les négociations en cours.
Ainsi que le disait ce vieux Lao Tseu, "chacun sa m..." !
A méditer…
D'autant plus et n'oublions jamais que l'acquisition du réseau Havas, même si l'on en est encore à peaufiner l'accord définitif, lequel porte plus sur des considérations de détails, pourrait peser de tout son poids dans les "rapports", pour le moment cordiaux, qui lient Selectour et Cediv.
Il est maintenant urgent d'attendre.
Rien n'est encore totalement arrêté dans cette grande partie qui se joue actuellement. Le sort de Fram est aussi un élément important dans la stratégie de Selectour Afat et rien n'est joué. Si, comme je le soupçonne, l'audit mené par les chinois a révélé quelques incohérences, aucune décision n'a été prise.
Une source proche du dossier, optimiste par nature, me confiait que le "bon signe était que ces chinois n'avaient certes pas indiqué leur position", signifiant ainsi que le dossier n'avait pas été refermé… et clos.
Sans oublier quand même que le rôle du CIRI, théoriquement "indicatif", n'est pas totalement clair dans cette histoire et qu'il va falloir très surement s'attendre encore à quelques rebondissements.
J'ai quand même une pensée sincère pour tous les salariés du voyagiste qui s'angoissent, tandis que, dans le même temps, les pilotes d'Air France n'ont rien trouvé de mieux que de rompre les négociations en cours.
Ainsi que le disait ce vieux Lao Tseu, "chacun sa m..." !
A méditer…