Super soleil en Avignon lors de cette ouverture du Ditex.
Ce salon professionnel qui s'achève ce jeudi 30 mars 2017 devrait, en principe, rassembler les patrons d’agences de voyages du Sud de la France et les patrons des grands opérateurs de voyage.
Serait-ce cette année la dernière édition de cet événement, selon la formule chère à son concepteur, Jean-François Alexandre ?
Il vous faudra encore attendre quelques heures, ce dernier ayant décidé de faire sa grande annonce lors du cocktail de clôture en milieu d'après-midi.
Las, je serai à ct'heure là dans ce magnifique TGV de retour vers Paris. En espérant que les caténaires tiendront le coup…
Plus sérieusement, au bout d’une première journée, on ne peut pas dire que les agences de voyages se bousculent au portillon. Sans doute le doux soleil qui réchauffe les âmes et distrait les visiteurs vers des contrées moins travailleuses.
Encore que dans l’après-midi, après la sieste réparatrice, on constatait un certain mouvement dans les allées du salon.
Ne nous y trompons cependant pas. Certes, ce salon reste extrêmement convivial, on s’y tape dans le dos à bras raccourcis et les grandes instances professionnelles participent très activement.
Je remarque au passage qu’un « espace conseil » réservé aux agences de voyage fait bonne figure… Sans pour autant rencontrer autant de visiteurs qu’il aurait fallu.
On y remarque également la présence de nombreux fournisseurs, lesquels semblent tenir congrès entre eux, en attendant l’éventuel chaland…
Ce salon professionnel qui s'achève ce jeudi 30 mars 2017 devrait, en principe, rassembler les patrons d’agences de voyages du Sud de la France et les patrons des grands opérateurs de voyage.
Serait-ce cette année la dernière édition de cet événement, selon la formule chère à son concepteur, Jean-François Alexandre ?
Il vous faudra encore attendre quelques heures, ce dernier ayant décidé de faire sa grande annonce lors du cocktail de clôture en milieu d'après-midi.
Las, je serai à ct'heure là dans ce magnifique TGV de retour vers Paris. En espérant que les caténaires tiendront le coup…
Plus sérieusement, au bout d’une première journée, on ne peut pas dire que les agences de voyages se bousculent au portillon. Sans doute le doux soleil qui réchauffe les âmes et distrait les visiteurs vers des contrées moins travailleuses.
Encore que dans l’après-midi, après la sieste réparatrice, on constatait un certain mouvement dans les allées du salon.
Ne nous y trompons cependant pas. Certes, ce salon reste extrêmement convivial, on s’y tape dans le dos à bras raccourcis et les grandes instances professionnelles participent très activement.
Je remarque au passage qu’un « espace conseil » réservé aux agences de voyage fait bonne figure… Sans pour autant rencontrer autant de visiteurs qu’il aurait fallu.
On y remarque également la présence de nombreux fournisseurs, lesquels semblent tenir congrès entre eux, en attendant l’éventuel chaland…
Dominique Gobert et chien Charly - DR
D’ailleurs, le prochain congrès du CEDIV abordera cette thématique ô combien importante lors de sa prochaine convention à Cuba, début juin.
« A la recherche du client perdu », un très joli thème que devraient étudier attentivement ces fournisseurs à la recherche de leurs distributeurs, légèrement en retrait…
Curieusement, mais c’est la preuve de cette nouvelle tendance, une part importante du salon est occupée par ces réceptifs, parfois venus de très loin… Une initiative à renouveler.
Bon, on y croise aussi ces éternels improbables, toujours à l’affut de nouvelles opportunités, pour qui un salon est l’occasion de passer de stand en stand, histoire de boire un coup gratos ou de grappiller quelques goodies…
Bien évidemment, tout le monde dit à tout le monde que « tout va très bien ». Tant mieux, mais force est quand même de constater que cette année, le nombre des exposants s’est encore réduit.
Encore faudrait-il pouvoir disposer de données véritables, ce qui me rappelle cette vieille blague, que me confiait mon bon copain et confrère (taquin) du QdT : « on croise tellement de menteurs que, même lorsqu’ils reconnaissent qu’ils mentent, on ne les croit pas » !
« A la recherche du client perdu », un très joli thème que devraient étudier attentivement ces fournisseurs à la recherche de leurs distributeurs, légèrement en retrait…
Curieusement, mais c’est la preuve de cette nouvelle tendance, une part importante du salon est occupée par ces réceptifs, parfois venus de très loin… Une initiative à renouveler.
Bon, on y croise aussi ces éternels improbables, toujours à l’affut de nouvelles opportunités, pour qui un salon est l’occasion de passer de stand en stand, histoire de boire un coup gratos ou de grappiller quelques goodies…
Bien évidemment, tout le monde dit à tout le monde que « tout va très bien ». Tant mieux, mais force est quand même de constater que cette année, le nombre des exposants s’est encore réduit.
Encore faudrait-il pouvoir disposer de données véritables, ce qui me rappelle cette vieille blague, que me confiait mon bon copain et confrère (taquin) du QdT : « on croise tellement de menteurs que, même lorsqu’ils reconnaissent qu’ils mentent, on ne les croit pas » !
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Mes amis de Cuit, pardon, de TUI, tellement pétés de thunes, sont cependant venus… Faut ratisser large !
Serait-ce vraiment la fin d’une époque ? Peut-être, dans la mesure où beaucoup d’exposants ne jugent plus utile, à l’heure de la communication digitale ou numérique (au choix), d’investir des sommes conséquentes afin de présenter des produits largement diffusés sur le Net ?
Vous me direz que certains, plus malins que les autres, ont décliné la proposition d’exposer sur le salon, mais, à l’instar d’un certain réseau, dirigé par un incertain général (oui, le galon se prend) profitent de l’occasion pour convier leurs meilleurs distributeurs à un petit dîner à l’extérieur.
Histoire de profiter de ce rassemblement sans trop bourse délier… Ce pauvre Jean-François Alexandre en était tout remué et n'en décolérait pas !
De la part d’un gros TO, c’est pas très glop, si je puis me permettre…
Jean-François Alexandre semble vouloir « passer » la main. C’est très raisonnable, car, indéniablement, il faut redonner à ce salon une nouvelle vigueur. Parfois, il faut savoir se retirer tranquillement, en ayant la conscience du devoir accompli !
Reste à savoir qui pourra redonner une nouvelle jeunesse à cette manifestation. A condition, bien sûr, de reconnaître la pertinence de son existence. CQFD !
Serait-ce vraiment la fin d’une époque ? Peut-être, dans la mesure où beaucoup d’exposants ne jugent plus utile, à l’heure de la communication digitale ou numérique (au choix), d’investir des sommes conséquentes afin de présenter des produits largement diffusés sur le Net ?
Vous me direz que certains, plus malins que les autres, ont décliné la proposition d’exposer sur le salon, mais, à l’instar d’un certain réseau, dirigé par un incertain général (oui, le galon se prend) profitent de l’occasion pour convier leurs meilleurs distributeurs à un petit dîner à l’extérieur.
Histoire de profiter de ce rassemblement sans trop bourse délier… Ce pauvre Jean-François Alexandre en était tout remué et n'en décolérait pas !
De la part d’un gros TO, c’est pas très glop, si je puis me permettre…
Jean-François Alexandre semble vouloir « passer » la main. C’est très raisonnable, car, indéniablement, il faut redonner à ce salon une nouvelle vigueur. Parfois, il faut savoir se retirer tranquillement, en ayant la conscience du devoir accompli !
Reste à savoir qui pourra redonner une nouvelle jeunesse à cette manifestation. A condition, bien sûr, de reconnaître la pertinence de son existence. CQFD !