Raoul Nabet, en arrivant à la présidence de l’APST, avait en très peu de temps et malgré une opposition peu habituée aux changements, conduit cette association indispensable au bon fonctionnement du métier, à un niveau digne des enjeux de cette profession.
Dame Philippon (petit patapon, désolé mais ça me fait rire à chaque fois) aura su, avec l’opiniâtreté qui la caractérise, poursuivre la "rénovation" de l’association et maintenir un cap qui va, incontestablement, dans le bon sens.
Et que ce qui avait été annoncé lors du renouvèlement de direction est conforme à la réalité : le premier trimestre 2017 est conforme aux objectifs, tant en termes financiers qu’en engagements sur la communication.
Le plan « Ensemble pour 2020 » se poursuit et c’est bien. Pas de soucis sur le plan financier, peu de sinistres…
Si ce n’est la défaillance, peut-être un peu bizarre, de Boiloris, dont le coût "estimé" serait quand même de l’ordre de 2.5 millions d’euros.
LIRE : Reprise de Boiloris : une nébuleuse de plus en plus opaque...
Mais, là encore, l’APST n’a pas l’intention de laisser ses membres se faire plumer par un personnage qui ne respecterait pas ses engagements.
Comme je vous l’avais narré il y a peu, les contre-garanties fournies par l’ex-patron de Boiloris, Didier Munin, auraient été, dès la faillite du groupe connue, très intelligemment cédées à des membres de son entourage proche.
Dame Philippon (petit patapon, désolé mais ça me fait rire à chaque fois) aura su, avec l’opiniâtreté qui la caractérise, poursuivre la "rénovation" de l’association et maintenir un cap qui va, incontestablement, dans le bon sens.
Et que ce qui avait été annoncé lors du renouvèlement de direction est conforme à la réalité : le premier trimestre 2017 est conforme aux objectifs, tant en termes financiers qu’en engagements sur la communication.
Le plan « Ensemble pour 2020 » se poursuit et c’est bien. Pas de soucis sur le plan financier, peu de sinistres…
Si ce n’est la défaillance, peut-être un peu bizarre, de Boiloris, dont le coût "estimé" serait quand même de l’ordre de 2.5 millions d’euros.
LIRE : Reprise de Boiloris : une nébuleuse de plus en plus opaque...
Mais, là encore, l’APST n’a pas l’intention de laisser ses membres se faire plumer par un personnage qui ne respecterait pas ses engagements.
Comme je vous l’avais narré il y a peu, les contre-garanties fournies par l’ex-patron de Boiloris, Didier Munin, auraient été, dès la faillite du groupe connue, très intelligemment cédées à des membres de son entourage proche.
"Hors de question de faire payer les adhérents, me confiait Alix Philipon, nous irons jusqu’au bout". Et de déposer plainte illico afin de faire rendre gorge à l’indélicat.
Il semblerait d’ailleurs que ce dernier, et l’APST me le confirmait, veuille décidément rester "sur le marché" en reprenant, par le biais d’un prête-nom (que je ne peux citer pour le moment) une agence de voyage à Paris. Du côté du 15" arrondissement....
Comme quoi, quand y’a plus de fric, finalement, y’en a encore. Suffit de bien savoir ou le placer !
Fin de la digression, qui concerne cependant tous les adhérents.
Fidèle à ses engagements, l’équipe de l’APST poursuit son plan.
La communication est désormais une "priorité", tant envers les adhérents qu’envers le grand public, de même que l’ouverture vers les "jeunes professionnels", parce qu'"une profession n’existe et ne montre sa vitalité que par la venue de jeunes et nouveaux entrepreneurs dans son secteur".
Il semblerait d’ailleurs que ce dernier, et l’APST me le confirmait, veuille décidément rester "sur le marché" en reprenant, par le biais d’un prête-nom (que je ne peux citer pour le moment) une agence de voyage à Paris. Du côté du 15" arrondissement....
Comme quoi, quand y’a plus de fric, finalement, y’en a encore. Suffit de bien savoir ou le placer !
Fin de la digression, qui concerne cependant tous les adhérents.
Fidèle à ses engagements, l’équipe de l’APST poursuit son plan.
La communication est désormais une "priorité", tant envers les adhérents qu’envers le grand public, de même que l’ouverture vers les "jeunes professionnels", parce qu'"une profession n’existe et ne montre sa vitalité que par la venue de jeunes et nouveaux entrepreneurs dans son secteur".
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De ce côté-là, apparemment, c’est quasi gagné : quelque 400 "jeunes entrepreneurs" (moins de 41 ans), participent de plus en plus activement à l’activité du secteur. Ils deviennent également de plus en plus autonomes, tout en bénéficiant, pour ceux qui le veulent bien sûr, des conseils avisés de "tuteurs".
Et ça marche. Le Cercle des Nouveaux Acteurs du Tourisme, initié en début d’année 2017, fonctionne quasi à plein régime. Ils ont moins de 40 ans, échangent leurs expériences, les pratiques, bonnes ou mauvaises et, petit à petit, vont former la nouvelle génération de ce marché, destiné à évoluer inéluctablement.
L’APST continuera à les accompagner dans ce parcours avant de laisser la place…
Bien évidemment, la communication grand public, indispensable, est également à l’ordre du jour, en partenariat avec BFM TV principalement et une campagne télé et radio plutôt futée. Pour avoir eu le privilège d’écouter le premier message "radio", c’est intelligent et sympa.
Faut dire que ceci a été le fruit d’une longue et démocratique étude qui devrait faire comprendre aux clients les avantages de s’adresser à un professionnel membre de l’APST !
Reste maintenant à aborder le second semestre 2017 : jusqu’ici, tout va bien, il va falloir envisager la refonte des statuts et le règlement intérieurs, qui datent de 2010.
Histoire de s’adapter aux nouvelles normes prudentielles… sans oublier la future adhésion de la Caisse de Solidarité à cette Confédération des Professionnels du Tourisme !
Et ça marche. Le Cercle des Nouveaux Acteurs du Tourisme, initié en début d’année 2017, fonctionne quasi à plein régime. Ils ont moins de 40 ans, échangent leurs expériences, les pratiques, bonnes ou mauvaises et, petit à petit, vont former la nouvelle génération de ce marché, destiné à évoluer inéluctablement.
L’APST continuera à les accompagner dans ce parcours avant de laisser la place…
Bien évidemment, la communication grand public, indispensable, est également à l’ordre du jour, en partenariat avec BFM TV principalement et une campagne télé et radio plutôt futée. Pour avoir eu le privilège d’écouter le premier message "radio", c’est intelligent et sympa.
Faut dire que ceci a été le fruit d’une longue et démocratique étude qui devrait faire comprendre aux clients les avantages de s’adresser à un professionnel membre de l’APST !
Reste maintenant à aborder le second semestre 2017 : jusqu’ici, tout va bien, il va falloir envisager la refonte des statuts et le règlement intérieurs, qui datent de 2010.
Histoire de s’adapter aux nouvelles normes prudentielles… sans oublier la future adhésion de la Caisse de Solidarité à cette Confédération des Professionnels du Tourisme !