"rien n'arrête le Rachid Temal, lequel a fini par obtenir (alors qu'il précisait n'avoir aucun objectif de carrière), le poste de Directeur Général Adjoint du CRT Ile de France" - Capture d'écran
C'est notre confrère Marianne qui, dans son édition de la semaine dernière titrait "Rififi socialiste sur le front du tourisme". Mazette.
Et, parmi les protagonistes de cette belle histoire (que je vous laisse découvrir chez mon confrère) qui trouve-t-on par les protagonistes ? Savez pas ? Eh bien je vais vous le dire.
Souvenez-vous, les plus anciens du moins. C'était sous la Présidence du bon César, puis sous celle du Vieux Lion, au Znav.
Y'avait un Secrétaire Général, Rachid Temal, lequel pensait davantage à son avenir politique au sein du PS, mais qui avait trouvé que le Znav, c'était un bon tremplin.
Comme quoi, le tourisme, hein…
Or donc (toujours pour faire plaisir à mon ami Plotard), le bon Rachid avait "fait" ses cinq ans au sein du Znav. Comme me le racontaient certains collaborateurs qui l'avaient pratiqué au Syndicat, "c'était un bon soldat. Il appliquait les ordres de ses Présidents successifs".
Et, parmi les protagonistes de cette belle histoire (que je vous laisse découvrir chez mon confrère) qui trouve-t-on par les protagonistes ? Savez pas ? Eh bien je vais vous le dire.
Souvenez-vous, les plus anciens du moins. C'était sous la Présidence du bon César, puis sous celle du Vieux Lion, au Znav.
Y'avait un Secrétaire Général, Rachid Temal, lequel pensait davantage à son avenir politique au sein du PS, mais qui avait trouvé que le Znav, c'était un bon tremplin.
Comme quoi, le tourisme, hein…
Or donc (toujours pour faire plaisir à mon ami Plotard), le bon Rachid avait "fait" ses cinq ans au sein du Znav. Comme me le racontaient certains collaborateurs qui l'avaient pratiqué au Syndicat, "c'était un bon soldat. Il appliquait les ordres de ses Présidents successifs".
Perfides, certains m'ont confié que l'on pouvait "l'aimer autant qu'il pouvait exaspérer", ajoutant, perfides, que le secrétaire Général "n'était pas très élaboré" !
Bon. Perso, je ne l'ai connu que durant la dernière campagne présidentielle, durant laquelle les rares fois où le candidat socialiste normal a causé de tourisme, il s'agitait tel le derviche tourneur auprès des médias pros.
Mais, en 2007, Rachid Temal mettait fin à ses fonctions au Znav. A croire les grimoires que j'ai retrouvés de l'époque, c'est pratiquement lui tout seul qui avait fait fonctionner le syndicat.
"Il m'est impossible, écrivait-il, de résumer en quelques lignes l’intensité du travail, les chantiers impulsés et les dossiers traités au service des adhérents, de la profession, de ses métiers, des entreprises et de leurs collaborateurs".
Bref, il avait tout fait, bon Rachid.
A tel point que, grâce à lui, la Fédération du Voyage était une affaire de quelques semaines et je re-cite son écrit d'avril 2007 : "Rien ne peut donc empêcher, aujourd’hui, la mise en place de l’Union des Entreprises du Voyage et du Tourisme au 1er octobre 2007".
Bon. Perso, je ne l'ai connu que durant la dernière campagne présidentielle, durant laquelle les rares fois où le candidat socialiste normal a causé de tourisme, il s'agitait tel le derviche tourneur auprès des médias pros.
Mais, en 2007, Rachid Temal mettait fin à ses fonctions au Znav. A croire les grimoires que j'ai retrouvés de l'époque, c'est pratiquement lui tout seul qui avait fait fonctionner le syndicat.
"Il m'est impossible, écrivait-il, de résumer en quelques lignes l’intensité du travail, les chantiers impulsés et les dossiers traités au service des adhérents, de la profession, de ses métiers, des entreprises et de leurs collaborateurs".
Bref, il avait tout fait, bon Rachid.
A tel point que, grâce à lui, la Fédération du Voyage était une affaire de quelques semaines et je re-cite son écrit d'avril 2007 : "Rien ne peut donc empêcher, aujourd’hui, la mise en place de l’Union des Entreprises du Voyage et du Tourisme au 1er octobre 2007".
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Eh bien, on a vu. On attend encore d'ailleurs, mais rien n'arrête le Rachid Temal, lequel a fini par obtenir (alors qu'il précisait n'avoir aucun objectif de carrière), le poste de Directeur Général Adjoint du CRT Ile-de-France.
Mais, damned, si j'en crois mes confrères de Marianne, "le comité du Tourisme Île-de-France, menacé d'une défaite de la gauche en 2015, prend l'eau".
Et, si j'en crois mes confrères, Rachid Temal aimerait bien quitter le navire avant qu'il ne sombre. Un peu comme le capitaine Schettino, en quelque sorte.
Sauf que, partir, c'est bien, c'est courageux, mais faut quand même quelques sous pour vivre. Et du coup, juste après la "réorganisation du CRT", Rachid met le CRT aux prud’hommes pour "licenciement sans cause".
Du coup, on sait plus s'il part ou s'il est viré ? Mais bon.
Et comme rien n'est simple, Temal Rachid (oui je sais, mais c'est rigolo) réclame à ce pauvre Huchon, patron du Conseil Régional auquel est rattaché le CRT, la bagatelle de 330 000€ !
Là, je ne peux résister à citer à nouveau Marianne qui écrit : "Cher payé pour quelqu'un qu'on voyait peu au bureau, persifle un fin connaisseur du CRT" !
Ah, Rachid, (comme dirait l'huile, désolé, je peux pas m'empêcher), c'est vraiment mal !
Mais, dans l'histoire, nous au Znav, on a gagné le placide Rozé… Avec lui, pas de vagues !
PS : le grimoire de Rachid envoyé à la profession lors de son départ.
Mais, damned, si j'en crois mes confrères de Marianne, "le comité du Tourisme Île-de-France, menacé d'une défaite de la gauche en 2015, prend l'eau".
Et, si j'en crois mes confrères, Rachid Temal aimerait bien quitter le navire avant qu'il ne sombre. Un peu comme le capitaine Schettino, en quelque sorte.
Sauf que, partir, c'est bien, c'est courageux, mais faut quand même quelques sous pour vivre. Et du coup, juste après la "réorganisation du CRT", Rachid met le CRT aux prud’hommes pour "licenciement sans cause".
Du coup, on sait plus s'il part ou s'il est viré ? Mais bon.
Et comme rien n'est simple, Temal Rachid (oui je sais, mais c'est rigolo) réclame à ce pauvre Huchon, patron du Conseil Régional auquel est rattaché le CRT, la bagatelle de 330 000€ !
Là, je ne peux résister à citer à nouveau Marianne qui écrit : "Cher payé pour quelqu'un qu'on voyait peu au bureau, persifle un fin connaisseur du CRT" !
Ah, Rachid, (comme dirait l'huile, désolé, je peux pas m'empêcher), c'est vraiment mal !
Mais, dans l'histoire, nous au Znav, on a gagné le placide Rozé… Avec lui, pas de vagues !
PS : le grimoire de Rachid envoyé à la profession lors de son départ.