Pour le moment, contrairement à ce qui circule dans les allées des pouvoirs respectifs, rien n’est encore bouclé et, même si Laurent Abitbol aimerait bien atteindre le sommet suprême, il hésite encore un tout petit peu... - Depositphotos.com rfphoto
Thomas Cook France, dans deux jours, ce sera plié et les dépouilles du voyagiste seront réparties entre les principaux repreneurs, dont bien entendu Havas, associé à quelques « mastodontes » du tourisme français.
Parmi eux d’ailleurs, Laurent Abitbol, lequel devrait, outre les agences de voyages, devrait aussi récupérer la marque Jet tours, ce qui lui permettrait de mailler son réseau de façon particulièrement futée.
En revanche, les choses devraient également se préciser du côté de TUI Groupe, lequel et je vous l’annonçais avant l’été,envisage de plus en plus fortement de se séparer de se séparer de sa filiale française.
Ce n’est également plus qu’un secret de Polichinelle que le Groupe Marietton, présidé encore et toujours par Laurent Abitbol, s’est largement positionné pour la reprise de cette filiale.
Fred Joussen et Laurent Abitbol se sont rencontrés à plusieurs reprises et discutent… très âprement.
Certes, sur le principe, le bon Joussen est d’accord, seulement ayant déjà perdu une flopée d’argent en France, il souhaiterait quand même se retirer… avec les honneurs et plus prosaïquement, ne pas y laisser toutes ses plumes.
Ceci même s’il a promis "d’accompagner" durant trois ans, financièrement, le passage de TUI France dans les bras de Marietton.
Parmi eux d’ailleurs, Laurent Abitbol, lequel devrait, outre les agences de voyages, devrait aussi récupérer la marque Jet tours, ce qui lui permettrait de mailler son réseau de façon particulièrement futée.
En revanche, les choses devraient également se préciser du côté de TUI Groupe, lequel et je vous l’annonçais avant l’été,envisage de plus en plus fortement de se séparer de se séparer de sa filiale française.
Ce n’est également plus qu’un secret de Polichinelle que le Groupe Marietton, présidé encore et toujours par Laurent Abitbol, s’est largement positionné pour la reprise de cette filiale.
Fred Joussen et Laurent Abitbol se sont rencontrés à plusieurs reprises et discutent… très âprement.
Certes, sur le principe, le bon Joussen est d’accord, seulement ayant déjà perdu une flopée d’argent en France, il souhaiterait quand même se retirer… avec les honneurs et plus prosaïquement, ne pas y laisser toutes ses plumes.
Ceci même s’il a promis "d’accompagner" durant trois ans, financièrement, le passage de TUI France dans les bras de Marietton.
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Ce que l’on peut comprendre aisément… sauf que le patron de Marietton qui, non content "d’acheter", façon d’écrire, environ 45% de TUI France (dans un premier temps), n’aimerait pas traîner avec lui les « dettes » maison.
Dettes dont je ne connais pas précisément le montant, mais qui consistent principalement à payer auprès de la maison-mère les innombrables sièges avions mis sur le marché depuis deux ans, invendus pour beaucoup dus à la filiale française…
Mais, je pense qu’entre gens de bonne compagnie, Joussen et Bitbol devraient trouver un accord. Allez, on leur laisse encore jusqu’à la mi-janvier…
Car, pour le moment, contrairement à ce qui circule dans les allées des pouvoirs respectifs, rien n’est encore bouclé et, même si Laurent Abitbol aimerait bien atteindre le sommet suprême, il hésite encore un tout petit peu.
Car, avaler le morceau TUI France, c’est-à-dire Marmara, Nouvelles Frontières, Passions des Iles et quelques bricoles, ce ne sera pas de la tarte non plus.
Certes, il pourrait, je crois même qu’ils en ont parlé, faire appel à Nicolas Delord et quelques membres de sa garde rapprochée, tels Jérôme Delente ou la belle Louisa pour "prendre les rênes" de cette entité qui devient le cauchemar de Joussen.
Laurent en aura-t-il la volonté ? Parce que le fric, ce n’est pas un problème, telle est la question ?
Dettes dont je ne connais pas précisément le montant, mais qui consistent principalement à payer auprès de la maison-mère les innombrables sièges avions mis sur le marché depuis deux ans, invendus pour beaucoup dus à la filiale française…
Mais, je pense qu’entre gens de bonne compagnie, Joussen et Bitbol devraient trouver un accord. Allez, on leur laisse encore jusqu’à la mi-janvier…
Car, pour le moment, contrairement à ce qui circule dans les allées des pouvoirs respectifs, rien n’est encore bouclé et, même si Laurent Abitbol aimerait bien atteindre le sommet suprême, il hésite encore un tout petit peu.
Car, avaler le morceau TUI France, c’est-à-dire Marmara, Nouvelles Frontières, Passions des Iles et quelques bricoles, ce ne sera pas de la tarte non plus.
Certes, il pourrait, je crois même qu’ils en ont parlé, faire appel à Nicolas Delord et quelques membres de sa garde rapprochée, tels Jérôme Delente ou la belle Louisa pour "prendre les rênes" de cette entité qui devient le cauchemar de Joussen.
Laurent en aura-t-il la volonté ? Parce que le fric, ce n’est pas un problème, telle est la question ?
Les difficultés, hormis le simple fait de penser que la « reprise » pourrait devenir rentable, sont immenses. Sur le plan social en premier lieu et là, faut pas se leurrer : il faudra obligatoirement procéder à (nouveau) un plan social, lequel avait poussé Pascal de Izaguirre à démissionner.
Mais ce plan est toujours dans les tiroirs… Inéluctable, hélas. Abitbol n’est pas coutumier de ce genre d’opération et, sincèrement, je crois qu’il n’aime vraiment pas ça. Même si ce n’est pas un modèle de gestion sociale.
Il faudra également « réajuster » toute la production, couper dans ces engagements aériens stupides et coûteux, faire un ménage fastidieux…
Faudra également affronter la « résistance » de ses nombreux concurrents qui voient d’un œil très inquiet l’hégémonie Bitbolesque qui se dessine sur le paysage touristique français.
Lire : Mariage TUI France-Marietton : les syndicats et les fournisseurs se font du mouron !
D’ailleurs, certains de ses concurrents risqueraient fort de ne pas s’en relever.
Et si, c’est bien Nicolas Delord, comme je le subdore, qui prend en charge l’opération, (si l’affaire est conclue) encore faura-t-il qu'il ait les reins assez solides ?
Certes, c’est le seul disponible sur le marché… Pour le moment !
Bref, les aléas ne manquent pas dans ce qui pourrait être la consécration ou le rachat de trop pour le patron de Marietton...
Mais ce plan est toujours dans les tiroirs… Inéluctable, hélas. Abitbol n’est pas coutumier de ce genre d’opération et, sincèrement, je crois qu’il n’aime vraiment pas ça. Même si ce n’est pas un modèle de gestion sociale.
Il faudra également « réajuster » toute la production, couper dans ces engagements aériens stupides et coûteux, faire un ménage fastidieux…
Faudra également affronter la « résistance » de ses nombreux concurrents qui voient d’un œil très inquiet l’hégémonie Bitbolesque qui se dessine sur le paysage touristique français.
Lire : Mariage TUI France-Marietton : les syndicats et les fournisseurs se font du mouron !
D’ailleurs, certains de ses concurrents risqueraient fort de ne pas s’en relever.
Et si, c’est bien Nicolas Delord, comme je le subdore, qui prend en charge l’opération, (si l’affaire est conclue) encore faura-t-il qu'il ait les reins assez solides ?
Certes, c’est le seul disponible sur le marché… Pour le moment !
Bref, les aléas ne manquent pas dans ce qui pourrait être la consécration ou le rachat de trop pour le patron de Marietton...