Vous pensez, émoi à l'Elysée. Comment ? Une taxe, qui concerne quand même un peu le tourisme, qui n'a pas bougé depuis 2006. Mais qu'est-ce donc ? /photo dr
Entre deux tranches de saucisson, une bibine et un petit sandwich rillettes cornichons, Jacques Chirac, grand voyageur, (souvent à l'oeil) avait eu une idée de génie : une taxe sur les billets d'avions, précisément et judicieusement baptisée Taxe Chirac.
Attention, cette taxe ne concernait (et ne concerne toujours d'ailleurs) que les pays qui se sont engagés à l'appliquer… Ils sont pas nombreux !
Mais, c'était pour une bonne cause, puisqu'il s'agissait, avec les fonds récoltés, de participer à la lutte contre le Sida, particulièrement dans les pays d'Afrique.
Unitaid, l'organisme international présidé par Douste-Blazy, un ministre qui a brillé dans tous les postes qu'il a occupé, (mais il a sûrement dû apercevoir la vierge lorsqu'il était maire de Lourdes), était chargé de recevoir les fonds et d'en faire bon usage.
C'est vrai que le transport aérien est un grand pourvoyeur de taxes, diverses et variées, sans parler des taxes de surcharge carburant et autres ponctions réalisées sur le dos des passagers. Parfois aussi sur celui des compagnies...
Attention, cette taxe ne concernait (et ne concerne toujours d'ailleurs) que les pays qui se sont engagés à l'appliquer… Ils sont pas nombreux !
Mais, c'était pour une bonne cause, puisqu'il s'agissait, avec les fonds récoltés, de participer à la lutte contre le Sida, particulièrement dans les pays d'Afrique.
Unitaid, l'organisme international présidé par Douste-Blazy, un ministre qui a brillé dans tous les postes qu'il a occupé, (mais il a sûrement dû apercevoir la vierge lorsqu'il était maire de Lourdes), était chargé de recevoir les fonds et d'en faire bon usage.
C'est vrai que le transport aérien est un grand pourvoyeur de taxes, diverses et variées, sans parler des taxes de surcharge carburant et autres ponctions réalisées sur le dos des passagers. Parfois aussi sur celui des compagnies...
Or donc, notre bon président normal qui voit la reprise à sa porte, vient de faire une grande découverte.
La fameuse taxe Chirac n'a pas été augmentée depuis… 2006.
Vous pensez, émoi à l'Elysée. Comment ? Une taxe, qui concerne quand même un peu le tourisme, qui n'a pas bougé depuis 2006. Mais qu'est-ce donc ?
Car, oui, je vous le dis haut et fort, le tourisme, c'est pas cher, c'est pas fatigant et ça peut rapporter gros.
Encore une fois, si cette taxe est réellement instaurée pour lutter contre sida, paludisme et tuberculose on peut pas trop s'insurger.
Encore que, si vous voulez quand même mon avis, au lieu de dépenser des milliards de milliards en armes et engins de destruction, on investissait dans le bien-être des populations, ce serait peut-être mieux, non ?
Utopie, dites-vous ? Hélas, oui, je le crois. N'empêche que c'est pas beau et que finalement, la "revalorisation" de cette taxe ne servira pas à grand-chose.
Dommage. Mais il est vrai que la solidarité, c'est un peu de notre culture à nous, en France.
Reste plus à savoir de combien l'Elysée va décider de gonfler la taxe… avant de s'attaquer aux hôtels de luxe. Faut aussi penser à nos colonies de vacances, quand même !
La fameuse taxe Chirac n'a pas été augmentée depuis… 2006.
Vous pensez, émoi à l'Elysée. Comment ? Une taxe, qui concerne quand même un peu le tourisme, qui n'a pas bougé depuis 2006. Mais qu'est-ce donc ?
Car, oui, je vous le dis haut et fort, le tourisme, c'est pas cher, c'est pas fatigant et ça peut rapporter gros.
Encore une fois, si cette taxe est réellement instaurée pour lutter contre sida, paludisme et tuberculose on peut pas trop s'insurger.
Encore que, si vous voulez quand même mon avis, au lieu de dépenser des milliards de milliards en armes et engins de destruction, on investissait dans le bien-être des populations, ce serait peut-être mieux, non ?
Utopie, dites-vous ? Hélas, oui, je le crois. N'empêche que c'est pas beau et que finalement, la "revalorisation" de cette taxe ne servira pas à grand-chose.
Dommage. Mais il est vrai que la solidarité, c'est un peu de notre culture à nous, en France.
Reste plus à savoir de combien l'Elysée va décider de gonfler la taxe… avant de s'attaquer aux hôtels de luxe. Faut aussi penser à nos colonies de vacances, quand même !
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