Pendant que les Thomas Cook, TUI et consorts fourguent leurs agences de voyages, Promovac en achète et installe son réseau…
Parfois, on a envie de se les prendre et de se les mordre…
Enfin, ça dépend de qui on est bien sûr, et ce n'est qu'une image. En tout cas, rien n'est simple et il y a des moments où j'ai du mal à comprendre.
Vous aussi, je suppose ?
Il n'y a pas si longtemps que ça, toute la profession était agitée par le grand spectre d'Internet et surtout de ces grands acteurs virtuels.
De partout dans la sphère du tourisme, ce n'étaient que bruits de défaite et la crainte effroyable qui surgissaient de l'ombre.
C'en est fini des agences de voyages, des tour-opérateurs aussi d'ailleurs, clamaient les mauvais augures, tout va dorénavant se passer sur internet. Vous verrez…
Du coup, les Opodo, Lastminute, Promovacances et j'en oublie, si Easyvoyages aussi, se sont déchainés, sans oublier voyages-sncf.com.
Malheur aux agences de voyages qui ne servent quasiment plus à rien…
Evidemment, dans le maelstrom (c'est beau, non?) de la valse des tendances, les grands groupes, ces industriels du voyage plus habitués à suivre les directives d'actionnaires pas forcément branchés, ont commencé à mouiller leur froc et engager la course à le Web.
En opérant des coupes sombres et drastiques dans leurs réseaux de distributions, ces réseaux qu'ils avaient passé des années à constituer…
Les agences, classiques, habituées elles aussi depuis des années à entendre tout et son contraire, ont fait comme d'habitude: le dos rond, en attendant que ça se passe.
Les tour-opérateurs, classiques eux aussi, ceux dont le fond de production est solide, ceux qui connaissent leurs clients, ont agi de même.
Enfin, ça dépend de qui on est bien sûr, et ce n'est qu'une image. En tout cas, rien n'est simple et il y a des moments où j'ai du mal à comprendre.
Vous aussi, je suppose ?
Il n'y a pas si longtemps que ça, toute la profession était agitée par le grand spectre d'Internet et surtout de ces grands acteurs virtuels.
De partout dans la sphère du tourisme, ce n'étaient que bruits de défaite et la crainte effroyable qui surgissaient de l'ombre.
C'en est fini des agences de voyages, des tour-opérateurs aussi d'ailleurs, clamaient les mauvais augures, tout va dorénavant se passer sur internet. Vous verrez…
Du coup, les Opodo, Lastminute, Promovacances et j'en oublie, si Easyvoyages aussi, se sont déchainés, sans oublier voyages-sncf.com.
Malheur aux agences de voyages qui ne servent quasiment plus à rien…
Evidemment, dans le maelstrom (c'est beau, non?) de la valse des tendances, les grands groupes, ces industriels du voyage plus habitués à suivre les directives d'actionnaires pas forcément branchés, ont commencé à mouiller leur froc et engager la course à le Web.
En opérant des coupes sombres et drastiques dans leurs réseaux de distributions, ces réseaux qu'ils avaient passé des années à constituer…
Les agences, classiques, habituées elles aussi depuis des années à entendre tout et son contraire, ont fait comme d'habitude: le dos rond, en attendant que ça se passe.
Les tour-opérateurs, classiques eux aussi, ceux dont le fond de production est solide, ceux qui connaissent leurs clients, ont agi de même.
Bien sûr, les uns et les autres n'en ont pas, pour autant, négligé la technologie.
Ils s'en sont servis, sans crainte excessive…
Et finalement, ben, on n'a rien vu…
Les joueurs purs (décidément, j'aime bien), après une croissance à deux chiffres, sont, petit à petit, revenus dans le rang, n'hésitant pas souvent à s'appuyer sur les réseaux d'agences physiques.
Et voilà maintenant que la tendance s'inverse, comme tout phénomène de mode d'ailleurs.
Le cas de Promovacances en est un exemple flagrant. Et c'est pourtant, incontestablement, l'un des leaders de cette nouvelle génération du tourisme.
Après avoir pressuré pendant des années les producteurs, leur achetant les "invendus" (ou du moins le surplus de production) à des producteurs inquiets de ne pas pouvoir fourguer tout leur stock, à un tarif usuriers et à la grande colère des agents de voyages classiques, ils se sont aperçus que ce n'était pas forcément la panacée…
Et du coup, se sont mis à produire leurs propres produits. C'est du moins le cas de Promovacances, lequel commence également à se lancer dans le "à la carte". Enfin, un "à la carte" de base…
Et puis, vint ce qui devait arriver: le virtuel, c'est bien, mais la machine n'a pas (encore) remplacé le contact humain, le conseil, la chaleur… et parfois aussi la tendresse.
J'y peux rien, c'est ainsi, même si l'on nous annonce pour bientôt des robots avec qui on pourra faire l'amour (si, authentique !)
Ben, en attendant cette ignominie, et pendant que les Thomas Cook, TUI et consorts fourguent leurs agences de voyages, Promovac en achète et installe son réseau…
Veulent même des franchisés…
Va-t'en comprendre, Charly !
Ils s'en sont servis, sans crainte excessive…
Et finalement, ben, on n'a rien vu…
Les joueurs purs (décidément, j'aime bien), après une croissance à deux chiffres, sont, petit à petit, revenus dans le rang, n'hésitant pas souvent à s'appuyer sur les réseaux d'agences physiques.
Et voilà maintenant que la tendance s'inverse, comme tout phénomène de mode d'ailleurs.
Le cas de Promovacances en est un exemple flagrant. Et c'est pourtant, incontestablement, l'un des leaders de cette nouvelle génération du tourisme.
Après avoir pressuré pendant des années les producteurs, leur achetant les "invendus" (ou du moins le surplus de production) à des producteurs inquiets de ne pas pouvoir fourguer tout leur stock, à un tarif usuriers et à la grande colère des agents de voyages classiques, ils se sont aperçus que ce n'était pas forcément la panacée…
Et du coup, se sont mis à produire leurs propres produits. C'est du moins le cas de Promovacances, lequel commence également à se lancer dans le "à la carte". Enfin, un "à la carte" de base…
Et puis, vint ce qui devait arriver: le virtuel, c'est bien, mais la machine n'a pas (encore) remplacé le contact humain, le conseil, la chaleur… et parfois aussi la tendresse.
J'y peux rien, c'est ainsi, même si l'on nous annonce pour bientôt des robots avec qui on pourra faire l'amour (si, authentique !)
Ben, en attendant cette ignominie, et pendant que les Thomas Cook, TUI et consorts fourguent leurs agences de voyages, Promovac en achète et installe son réseau…
Veulent même des franchisés…
Va-t'en comprendre, Charly !
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