Chez TUI France, depuis plusieurs semaines, c'était le grand silence.
Et pas d'écoutes possibles, pas de "conseiller" enregistreur des grands secrets… Rien.
Pourtant, à l'intérieur, ça bouge, on stratégie sec…
Le nouveau Plan de départ volontaire promettait d'être un "succès", du moins pour les grands stratèges grands bretons germains.
Las, il manque encore des volontaires, malgré les initiatives innovantes de la direction France concernant le "reclassement" des volontaires au départ…
Oui, le compte n'y est pas : il manque des volontaires, peu désireux de quitter, par les temps qui courent, un emploi difficile à retrouver.
Et moins de candidats que prévu pour reprendre des franchises qui risqueraient de ne pas être suffisamment rentables malgré des promesses de contrats juteux… Il est vrai que l’entrepreneuriat en France est loin d'être une chose facile !
Du coup, le Plan va être prolongé jusqu'au 2 avril prochain. Bon, mais avec de nouvelles propositions de la part de TUI ? Du moins, peut-on le supposer, parce que, sinon, ça sert pas à grand-chose…
Et, s'il n'y a pas de nouveaux volontaires, il est bien évident qu'un nouveau plan de départ non volontaire devra être mis en place…
Avec des conséquences financières et sociales non négligeables…
Mais, néanmoins, un besoin inéluctable dans la mesure où TUI France entend bien "renouveler" son modèle de distribution…
Et pas d'écoutes possibles, pas de "conseiller" enregistreur des grands secrets… Rien.
Pourtant, à l'intérieur, ça bouge, on stratégie sec…
Le nouveau Plan de départ volontaire promettait d'être un "succès", du moins pour les grands stratèges grands bretons germains.
Las, il manque encore des volontaires, malgré les initiatives innovantes de la direction France concernant le "reclassement" des volontaires au départ…
Oui, le compte n'y est pas : il manque des volontaires, peu désireux de quitter, par les temps qui courent, un emploi difficile à retrouver.
Et moins de candidats que prévu pour reprendre des franchises qui risqueraient de ne pas être suffisamment rentables malgré des promesses de contrats juteux… Il est vrai que l’entrepreneuriat en France est loin d'être une chose facile !
Du coup, le Plan va être prolongé jusqu'au 2 avril prochain. Bon, mais avec de nouvelles propositions de la part de TUI ? Du moins, peut-on le supposer, parce que, sinon, ça sert pas à grand-chose…
Et, s'il n'y a pas de nouveaux volontaires, il est bien évident qu'un nouveau plan de départ non volontaire devra être mis en place…
Avec des conséquences financières et sociales non négligeables…
Mais, néanmoins, un besoin inéluctable dans la mesure où TUI France entend bien "renouveler" son modèle de distribution…
Enfin, plus exactement chercher quel modèle de distribution va convenir à ses intérêts.
Et, dans ce cas précis, c'est plutôt la nébuleuse, la grande valse-hésitation...
On se souvient, bien entendu, de l'appel de Rome, lancé par Pascal de Izaguirre, lors du Congrès Manor. "Fini le diktat de la distribution indépendante", avait-il lancé en substance (bizarre cette expression journaleuse, la substance, trouvez pas?).
"On veut bien vous rétribuer si vous nous vendez, mais pour ça, faut faire des efforts".
En clair, vendez-nous d'abord et vous serez considérés !
Faut dire aussi qu'à l'époque, le Basque avait sur le dos (façon de parler naturellement), une Suédoise venue directement des hautes sphères de l'actionnariat germano-grandbreton qui avait une vision "politiquement correcte" sur la façon de manœuvrer en France…
Depuis, et parce que, (quoi qu'en pense mon pote Rial), la distribution en France est encore puissante, les choses ont bien changé…
TUI France, tout en tentant le grand passage à la vente directe, a fini par se débarrasser de la blonde venue du Nord et renoue des liens avec les grands réseaux…
Ne manquait d'ailleurs à la panoplie que Selectour Afat.
Enfin, juste pour Nouvelles Frontières, la marque (encore ?) phare du groupe.
Si j'en crois mon gros nez, c'est jeudi que le Basque et le Toulousain vont annoncer la reprise de relations basées sur une confiance mutuelle et réciproque (j'écris comme je veux, c'est comme ça), dans la plus parfaite harmonie.
A quel taux ? Gagnant-gagnant, répondrons les bons adeptes du César d'un autre temps…
Peut-être… à condition que la marque Nouvelles Frontières représente encore une valeur sûre dans l'esprit du consommateur.
En tout cas, un bon coup pour JP Mas qui affine ses ambitions politiques et une couleuvre de plus pour le Basque qui prépare son boulot de dans deux ans...
Et, dans ce cas précis, c'est plutôt la nébuleuse, la grande valse-hésitation...
On se souvient, bien entendu, de l'appel de Rome, lancé par Pascal de Izaguirre, lors du Congrès Manor. "Fini le diktat de la distribution indépendante", avait-il lancé en substance (bizarre cette expression journaleuse, la substance, trouvez pas?).
"On veut bien vous rétribuer si vous nous vendez, mais pour ça, faut faire des efforts".
En clair, vendez-nous d'abord et vous serez considérés !
Faut dire aussi qu'à l'époque, le Basque avait sur le dos (façon de parler naturellement), une Suédoise venue directement des hautes sphères de l'actionnariat germano-grandbreton qui avait une vision "politiquement correcte" sur la façon de manœuvrer en France…
Depuis, et parce que, (quoi qu'en pense mon pote Rial), la distribution en France est encore puissante, les choses ont bien changé…
TUI France, tout en tentant le grand passage à la vente directe, a fini par se débarrasser de la blonde venue du Nord et renoue des liens avec les grands réseaux…
Ne manquait d'ailleurs à la panoplie que Selectour Afat.
Enfin, juste pour Nouvelles Frontières, la marque (encore ?) phare du groupe.
Si j'en crois mon gros nez, c'est jeudi que le Basque et le Toulousain vont annoncer la reprise de relations basées sur une confiance mutuelle et réciproque (j'écris comme je veux, c'est comme ça), dans la plus parfaite harmonie.
A quel taux ? Gagnant-gagnant, répondrons les bons adeptes du César d'un autre temps…
Peut-être… à condition que la marque Nouvelles Frontières représente encore une valeur sûre dans l'esprit du consommateur.
En tout cas, un bon coup pour JP Mas qui affine ses ambitions politiques et une couleuvre de plus pour le Basque qui prépare son boulot de dans deux ans...
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