La Guadeloupe accueillera le voyage de préparation des candidates au titre de Miss France 2023. Elles seront accueillies par Indira Ampiot, qui fêtait ses 18 ans la veille de l'ouverture de l'IFTM. Elle a été honorée par Sonia Taillepierre, présidente du CTIG - DR
Présidente du Comité du tourisme des îles de Guadeloupe (CTIG), Sonia Taillepierre a profité de sa présence à Paris, lundi 19 septembre 2022, devant les journalistes et les professionnels du tourisme, pour déjà apporter toute sa « solidarité » à ceux qui ont été touchés par la tempête Fiona.
Et, aussi, pour démontrer que l’archipel, « qui sait faire preuve de résilience », était résolument tourné vers l’avenir et prêt à renouer avec les chiffres de 2019.
« A chaque fois qu’il est possible de venir en Guadeloupe, on vient », note les responsables du Comité du tourisme qui se satisfont des 994 138 voyageurs accueillis entre janvier et juin 2022, soit une chute contenue de 24,6% par rapport à la même période l’année dernière malgré les confinements et les manifestations.
« Les tendances sont positives avec déjà, en 2023, un chiffre d’affaires de 900 000 euros enregistré par les hôteliers ».
A noter que les visiteurs, en 2022, réservent en dernière minute, entre 15 et 29 jours avant le départ, contre 120 jours en 2020.
L’inflation ne semble pas décourager les visiteurs mais pourrait entraîner un changement de typologie avec l’arrivée de touristes plus aisés.
Et, aussi, pour démontrer que l’archipel, « qui sait faire preuve de résilience », était résolument tourné vers l’avenir et prêt à renouer avec les chiffres de 2019.
« A chaque fois qu’il est possible de venir en Guadeloupe, on vient », note les responsables du Comité du tourisme qui se satisfont des 994 138 voyageurs accueillis entre janvier et juin 2022, soit une chute contenue de 24,6% par rapport à la même période l’année dernière malgré les confinements et les manifestations.
« Les tendances sont positives avec déjà, en 2023, un chiffre d’affaires de 900 000 euros enregistré par les hôteliers ».
A noter que les visiteurs, en 2022, réservent en dernière minute, entre 15 et 29 jours avant le départ, contre 120 jours en 2020.
L’inflation ne semble pas décourager les visiteurs mais pourrait entraîner un changement de typologie avec l’arrivée de touristes plus aisés.
Des connexions depuis Bordeaux et Lyon, retour des croisières
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Dès cet automne, la Guadeloupe sera sous le feu des projecteurs, ce qui devrait lui permettre d’engranger des réservations.
Déjà, elle accueillera grâce à trois villages, les skippers de la route du Rhum qui partiront de Saint-Malo le 6 novembre.
Ensuite, elle accueillera le voyage préparatoire des Miss France qui bénéficie à chaque fois d’une large couverture médiatique, bien au-delà de TF1.
L’archipel n’a jamais été aussi accessible avec une connexion depuis CDG avec Air France et une grosse desserte depuis Orly.
Sans oublier, mi-décembre, des vols hebdomadaires avec Corsair depuis Bordeaux et Lyon. Des vols directs sont aussi possibles depuis Bruxelles (Air Belgium) et l’Amérique du Nord, Montréal (Air Canada, Air Transat) et New York (JetBlue).
Notons, aussi, le retour des croisières avec MSC et Costa qui auront à quai un paquebot pour toute la saison.
Ponant signe aussi son grand retour dans les îles de la Guadeloupe. En tout, comme en 2019, pas moins de 232 escales sont prévues avec quelque 330 000 passagers attendus, « de quoi se réjouir ».
Déjà, elle accueillera grâce à trois villages, les skippers de la route du Rhum qui partiront de Saint-Malo le 6 novembre.
Ensuite, elle accueillera le voyage préparatoire des Miss France qui bénéficie à chaque fois d’une large couverture médiatique, bien au-delà de TF1.
L’archipel n’a jamais été aussi accessible avec une connexion depuis CDG avec Air France et une grosse desserte depuis Orly.
Sans oublier, mi-décembre, des vols hebdomadaires avec Corsair depuis Bordeaux et Lyon. Des vols directs sont aussi possibles depuis Bruxelles (Air Belgium) et l’Amérique du Nord, Montréal (Air Canada, Air Transat) et New York (JetBlue).
Notons, aussi, le retour des croisières avec MSC et Costa qui auront à quai un paquebot pour toute la saison.
Ponant signe aussi son grand retour dans les îles de la Guadeloupe. En tout, comme en 2019, pas moins de 232 escales sont prévues avec quelque 330 000 passagers attendus, « de quoi se réjouir ».
Du nouveau à Pointe-à-Pitre
Sur place, l’offre s’enrichit pour coller aux demandes des visiteurs à la recherche de tourisme durable et responsable. On se ressource « sur les traces des tortues marines ».
On sillonne Marie-Galante à vélo et l’on se repose dans de nouveaux écolodges comme le Konojara, à Sainte-Anne, avec des cabanes cosy de 80 m2.
Côté activités, les enfants pourront s’amuser dès trois ans avec un Jetskid électrique et les familles profiter, au ranch de Moreau, d’une balade à cheval de trois heures à travers la forêt et les bananeraies.
Le spiritourisme est aussi l’un des axes de développement de la Guadeloupe.
« A chaque séjour, on peut faire en Guadeloupe de nouvelles découvertes », affirment, en chœur, les responsables du secteur qui mettent aussi en avant « les visites à pied de Pointe-à-Pitre », des promenades à vélo dans la capitale grâce au Karuvelo, le « Velib guadeloupéen » sans oublier la renaissance du musée Schoelcher qui devient le Musarth.
Un nouveau chapitre s’ouvre pour le tourisme en Guadeloupe.
On sillonne Marie-Galante à vélo et l’on se repose dans de nouveaux écolodges comme le Konojara, à Sainte-Anne, avec des cabanes cosy de 80 m2.
Côté activités, les enfants pourront s’amuser dès trois ans avec un Jetskid électrique et les familles profiter, au ranch de Moreau, d’une balade à cheval de trois heures à travers la forêt et les bananeraies.
Le spiritourisme est aussi l’un des axes de développement de la Guadeloupe.
« A chaque séjour, on peut faire en Guadeloupe de nouvelles découvertes », affirment, en chœur, les responsables du secteur qui mettent aussi en avant « les visites à pied de Pointe-à-Pitre », des promenades à vélo dans la capitale grâce au Karuvelo, le « Velib guadeloupéen » sans oublier la renaissance du musée Schoelcher qui devient le Musarth.
Un nouveau chapitre s’ouvre pour le tourisme en Guadeloupe.