Le SNAV surfe sur la vague écologique. Après la parution du livret vert en 2010, le président de la commission pour le tourisme responsable, Christian Orofino souhaite aujourd'hui lancer un label de tourisme durable.
« Notre activité ne pourra pas échapper longtemps au développement durable » assure-t-il.
Grâce à ce nouveau label, le syndicat souhaiterait transcender les certifications déjà existantes, afin de fédérer les multiples métiers de ses adhérents. Une tâche qui risque d'être compliquée, vu le nombre de métiers que rassemble le syndicat.
Créer un label est en effet un vrai casse-tête. Il faut tout d'abord s'interroger sur la pertinence de ses critères, qui doivent s'appliquer au plus grand nombre.
On peut également se demander qui va payer pour la mise en place d'un tel système ainsi que pour son contrôle, indispensable pour garantir sa crédibilité.
« Notre activité ne pourra pas échapper longtemps au développement durable » assure-t-il.
Grâce à ce nouveau label, le syndicat souhaiterait transcender les certifications déjà existantes, afin de fédérer les multiples métiers de ses adhérents. Une tâche qui risque d'être compliquée, vu le nombre de métiers que rassemble le syndicat.
Créer un label est en effet un vrai casse-tête. Il faut tout d'abord s'interroger sur la pertinence de ses critères, qui doivent s'appliquer au plus grand nombre.
On peut également se demander qui va payer pour la mise en place d'un tel système ainsi que pour son contrôle, indispensable pour garantir sa crédibilité.
Un argument de vente
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Afin de l'accompagner dans son action, le SNAV a demandé l'aide de l'organisation mondiale du tourisme par le biais de Frédéric Pierret, le directeur exécutif de programme et coordination de l'OMT.
Le syndicat pourrait ainsi bénéficier de l'expertise de l'institution et pourquoi pas d'une collaboration.
Reste à convaincre les agents de voyage de l'intérêt de cette démarche. Mais Christian Orofino a déjà sa petite idée.
« Le produit durable est plus complexe et difficile à acheter en direct. Les voyageurs auront donc besoin de conseils et reprendront le chemin des agences », assure-t-il. Un bon moyen de redorer le blason de la profession auprès du grand public.
Toujours dans le même esprit green, le SNAV souhaite également mettre fin à la publication des brochures.
« Il faut tendre vers le zéro papier » martèle Christian Orofino « et utiliser les technologies actuelles pour mettre en ligne les catalogues ».
Une solution écologique encouragée depuis longtemps chez TourMaG grâce au site Brochures en ligne.com
Le syndicat pourrait ainsi bénéficier de l'expertise de l'institution et pourquoi pas d'une collaboration.
Reste à convaincre les agents de voyage de l'intérêt de cette démarche. Mais Christian Orofino a déjà sa petite idée.
« Le produit durable est plus complexe et difficile à acheter en direct. Les voyageurs auront donc besoin de conseils et reprendront le chemin des agences », assure-t-il. Un bon moyen de redorer le blason de la profession auprès du grand public.
Toujours dans le même esprit green, le SNAV souhaite également mettre fin à la publication des brochures.
« Il faut tendre vers le zéro papier » martèle Christian Orofino « et utiliser les technologies actuelles pour mettre en ligne les catalogues ».
Une solution écologique encouragée depuis longtemps chez TourMaG grâce au site Brochures en ligne.com