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Le guide conférencier et les plates-formes numériques

réponse du SPGIC à Cariboo


A la suite de la publication d'un article sur la levée de fonds de Cariboo, le syndicat professionnel des guides interprètes conférenciers (SPGIC) a tenu à réagir et nous a adressé le texte suivant.


Rédigé par le Mardi 9 Février 2016

Devons-nous le rappeler "Guider est un métier" ? - Photo P.C.
Devons-nous le rappeler "Guider est un métier" ? - Photo P.C.
Le SPGIC pense nécessaire une petite mise au point. Certains créateurs de plates-formes de « mise en relation de guides et de touristes » considèrent qu’ils sont innovants et s’étonnent que les guides-conférenciers soient réticents à s’y inscrire.

Ces plates-formes sont peut-être innovantes ; ceci reste à prouver. Elles prennent surtout des commissions souvent élevées et parfois extravagantes pour cette seule « innovation » que serait la « mise en relation directe sur internet d’un touriste avec un guide ».

En cela, elles mettent à mal tout un réseau d’agences, petites ou grandes, qui jusqu’à présent sont les employeurs principaux et essentiels des guides conférenciers. Un guide devrait donc être heureux de trouver là du travail rémunéré correctement pendant qu’il en perd ailleurs ?

Car là surgit le deuxième problème posé par ces plates-formes : le mélange des genres et les tarifications. Ces plates-formes parlent de « guides », de « guides locaux » mais elles proposent quelques rares guides-conférenciers, diplômés, ainsi que tout un chacun, décidant de s’improviser guide.

En dehors de la tromperie au consommateur que peut constituer ce mélange des genres, il induit une tarification low-cost. On voit donc sur ces sites, des propositions de visites de 8 à 20€ par personne pour 2 à 3 heures ; visites qui seront assurées même à partir d’une personne parfois !

3 heures de travail pour 20 euros

Trois heures de travail - car devons-nous le rappeler : "guider est un métier" - pour 20€, ce n’est même pas le SMIC alors qu’il s’agit d’une facturation que normalement le dit guide devra déclarer dans le cadre d’une auto-entreprise.

On peut en douter et s’étonner du soutien de l’Etat par l’intermédiaire de la DGE à ce qui se transforme souvent en travail au noir.

Alors, oui, les guides-conférenciers, officiels, diplômés, qui prétendent vivre de ce métier, sont réticents à servir de caution à des plates-formes qui rabaissent leur profession au détriment de leur propre activité.

En plus, les guides-conférenciers doivent répondre aux mensonges de certains créateurs de plates-formes qui osent prétendre, comme l’a fait Cariboo, que les guides gagnent 200 € de l’heure alors qu’un guide-conférencier gagnant 20 € de l’heure est déjà satisfait.

Il y a de grandes disparités tarifaires dans ce métier mais les plates-formes sont en train de tirer les prix vers le bas parce qu’elles tirent la qualité vers le bas.

C’est dire la méconnaissance que ces prétendus innovateurs ont d’une profession qu’ils prétendent aider alors que leurs plates-formes – pour l’instant – les mènent à une plus grande précarité. Leur présence lors des concertations, à la demande de la DGE, a permis de clarifier, s’il en était besoin, la volonté de cette dernière d’aller vers le low-cost en matière de guidage.

On comprend alors pourquoi elles revendiquent ce soutien de la DGE. Les guides-conférenciers se battent pour la reconnaissance de leurs qualifications et ces plates-formes constituent bien souvent pour eux un poignard dans le dos.

Le SPGIC a expliqué les réticences des guides-conférenciers, non contre le principe des plates-formes en général, mais bien contre celles qui ne respectent pas leur profession, comme Cariboo ou Meetrip et il continuera à alerter les guides-conférenciers contre ces « sirènes » à qui il faudrait servir de faire-valoir. Les guides-conférenciers ne veulent pas brader leur savoir-faire.

Tout ce qui a la couleur du progrès et de l’innovation, n’en est pas forcément ; tout dépend de ce qu’on fait de l’outil, de comment on l’utilise et à quelle fin.

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Commentaires

1.Posté par Serge LACROIX le 10/02/2016 08:49 | Alerter
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Bonjour à tous. Hormis pour quelques grandes villes d'Europe et de France, l'offre proposée par les plateformes évoquées dans l'article reste très pauvre.

2.Posté par Georges le 10/02/2016 16:42 | Alerter
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Je tiens à réagir vivement à ce message. Je trouve au combien déplacé ce texte. Cariboo est une plateforme qui met en relation des guides et des consommateurs. Je ne vois pas la tromperie. De plus, leur activité est parfaitement légale. Seule une agence de voyage organisant un forfait touristique doit faire appel à un guide conférencier et uniquement des les monuments historiques.

L'article semble prétendre le contraire. De plus, jusqu'à preuve du contraire tout professionnel est libre de pratiquer le prix qu'il veut. Personne ne force qui que soit.

Et j'aimerai bien savoir en quoi la carte de guide conférencier est un gage de compétences? Seuls les chercheurs sont véritablement compétents. Le reste n'est que distraction passagère.

J'espère réellement que votre carte (qui est un passe- droit injustifié ) vous soit définitivement retirée.

3.Posté par Alain COUTURIER le 10/02/2016 19:32 | Alerter
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Merci Georges pour ce commentaire qui illustre parfaitement votre méconnaissance de ce métier comme par le commun des mortels ainsi que de certains politiques.
Tout un chacun est en effet libre de pratiquer le tarif qu'il veut, à condition de respecter certaines règles: entre autres déclarer ses revenus, régler l'URSSAF, retraite , payer ses impôts etc..., je doute que ceux qui facturent 8€ de l'heure soient dans ce cas.
En ce qui concerne la carte de guide, elle valide un cursus de langues, histoire , histoire de l'art et n'est pas attribuée sans justification de la formation . Par contre il n'y a pas de numerus clausus et toute personne souhaitant acquérir ces compétences sera de fait qualifiée et pourra demander cette carte.
Ce n'est pas un privilège, juste le moyen , comme le permis de conduire, le CAP de coiffure, le BAFA ou pourquoi pas le diplôme de médecine etc...de contrôler le niveau de qualité des professionnels qui entendent exercer ce métier.
J'ai pas mal voyagé, suivi des visites guidées et comme par hasard les guides les plus lamentables exerçaient dans des endroits où aucun contrôle de compétences n'était effectué.
Je ne souhaite pas que cela puisse arriver en France et que l'on soit considéré comme un pays de seconde zone à cause de la mauvaise qualité de son accueil , hôtels , offices de tourisme et guides.3

4.Posté par Riki le 10/02/2016 19:57 | Alerter
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Oh cher Georges, comme vous avez raison!

Cariboo est une entreprise soutenue par la loi, donc irréprochable, tout comme l'est Monsanto pour l'agriculture... Et enlevons cette satanée carte de guide conférencier obtenue à l'issue d'une année d'études qualifiantes à bac + 3, voire sur concours pour les plus anciens, qui apporte une certaine légitimité à exercer ce travail! Et tiens, pendant que nous y sommes, supprimons le permis de conduire aux chauffeurs de bus et leurs diplômes aux infirmières, une simple distraction manuscrite tout ça, un passe-droit!

Quant aux chercheurs (dont vous ne faîtes probablement pas partie), leur travail n'implique aucune médiation culturelle, et c'est précisément à cela que les guides sont formés...

5.Posté par Irina le 10/02/2016 21:21 | Alerter
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merci pour cet article qui explique parfaitement le problème!
En ce qui concerne la réponse de Georges, c'est difficile à comprendre une telle haine envers les gens qui veulent conserver une certaine compétence dans la présentation du patrimoine du pays et en plus voudraient vivre de leur travail. Appeler une carte qui s'obtient par des études un "passe-droit injustifié" c'est soit de la méconnaissance, soit la jalousie de qqn qui n'a pas réussi les dites études. Parce que n'importe qui peut recevoir cette carte ayant fait des études nécessaires. Il n'y a pas de sélection à part le savoir.

6.Posté par GIN'Steve, votre guide de poche le 11/02/2016 00:48 | Alerter
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En quoi la carte de guide conférencier est un gage de compétences ?! C'est une blague j'espère ?

Peut être parce que cette carte est obtenue après une formation à Bac +3 minimum, demandant un certain niveau aussi bien en histoire, en histoire de l'art, en culture générale, en langues... et si il est malheureusement vrai que ce niveau a baissé avec les dernières réformes ayant déjà un peu saccagé notre profession en permettant à une multitude de facs de proposer ce diplome sans veritable harmonisation des formations, jusqu'en 2010/2012 la carte a toujours été un gage de qualité en étant délivrée par une dizaine de centres (pour la carte de guide interprète).
Après bien sûr, comme partout, il y a des bons et des mauvais.

Mais est-ce qu'on s'invente médecin sans passer par la formation ? Je ne crois pas !
Alors certes les clients d'un faux guide sont moins en danger qu'avec un faux médecin (encore que...), mais tout de même, s'il existe une formation, c'est pas pour rien non ? Sinon à quoi bon s'embêter à obtenir ce diplôme si n'importe qui peut pratiquer sans, encouragé par Cariboo et ses amis ?!

Parler de "distraction passagère", de "passe droit injustifié", ça non, en tant que guide s'étant battu pour obtenir ma carte, je ne suis pas d'accord. Surtout que le "passe-droit" en question l'est de moins en moins beaucoup de musées ne l'acceptant plus apparemment (n'étant pas dans la région parisienne je suis moins concerné, mais les collègues parisiens pourront confirmer/infirmer ce point).

7.Posté par Kognak le 11/02/2016 02:40 | Alerter
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Tout à fait d'accord avec Georges. J'ajouterai que, souvent, ce sont les mauvais guides qui se sentent menacés par ces changements et qui souvent d'ailleurs comprennent mal ce qu'il se passe, notamment parce qu'ils comprennent mal leur clientèle et encore plus celle qu'ils n'ont pas.

Les bons guides, conférenciers ou non, n'ont pas peur du low cost, des plates formes et n'ont pas besoin d'une soit disante valorisation de leur métier par l'Etat.

Quand on a des syndicats aussi aigris et à courte-vue, arc-boutés sur des privilèges, on n'a pas besoin d'ennemis pour nuire à l'image d'une profession. Mettez-vous à la place du client et relisez cet article....

8.Posté par Ayla le 11/02/2016 07:38 | Alerter
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@ Alain Couturier :
"Par contre il n'y a pas de numerus clausus et toute personne souhaitant acquérir ces compétences sera de fait qualifiée et pourra demander cette carte."
Faux, j'ai tenté de faire la formation et ai été rejetée car je n'ai pas de diplôme français. Je n'avais QUE un diplôme de guide du ministère du tourisme d’Israël, formation connue pour être une des plus difficile dans ce métier, et 20 ans (à l'époque) d'expérience en tant que guide conférencière, non seulement en Israël mais en Egypte, Jordanie et Syrie. Je précise que je suis française, donc il ne s'agissait pas de nationalité.
Les critères d'acceptation étaient très (trop!) stricts... sans diplôme français, passez votre chemin...
Si je suis d'accord sur le maintien d'une carte professionnelle, il faudrait que ce métier s'ouvre un peu plus et soit moins "élitiste". À trop vouloir protéger son bout de jardin, on finit par le perdre apparemment.
Je souhaite quand même bonne chance à mes collègues français...

9.Posté par EVAL le 11/02/2016 11:09 | Alerter
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la question est de savoir sur quels critères et comment on évalue un guide .... : pour un médecin , il y a un "minimum " de savoir commun (et ce mini est trés haut , avec xx années d'étude) et ensuite il y a des bons et des moins bons (et le "bouche à oreille " fonctionne ) ; pour un guide ce "minimum " me semble beaucoup plus bas et facile à acquérir, et donc la difference entre "bons et mauvais" se joue essentiellement sur d'autres critères (connaissance pointue du sujet, capacitè à interesser le public , pédagogie ...etc ...) plus compliqués à évaluer : à quand un tripadvisor des guides ???? : même si le systeme n'est pas parfait (faux avis) et par essence subjectif, au moins ça aiderait le client à faire le tri et à faire ressortir les meilleurs .....

10.Posté par Clémence le 11/02/2016 11:13 | Alerter
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Je pense que vous vous trompez à mettre Meetrip.com dans le même sac. Ils travaillent exclusivement avec des guides professionnels en France et demande l'équivalent de la carte professionnel dans les pays du monde où ils sont présents
Il s'y engagent: https://meetrip.com/meetrip-guide-job

11.Posté par Georges le 11/02/2016 13:03 | Alerter
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L'argument selon lequel on compare un guide "touristique" avec un médecin ou un pilote d'avion m'apparaît comme ridicule au plus haut point. Les responsabilités entre les prescriptions d'un médecin et ceux énormes d'un pilote de ligne sont incomparables avec une visite touristique d'une heure ou deux. Vous plaisantez j'espère...
Et pour ma part j'ai eu de bonnes expériences de visites avec des guides avec et sans cette fameuse carte et d'autres moins bonnes. Je pense que seuls l'expérience, le sérieux dans les recherches ainsi qu'une bonne élocution sont gages d'un bon guide et je doute que tout le monde possède ces qualités... Seul le consommateur final décide. Lui imposer des personnes qui pensent tout maîtriser avec un bac+3 n'est pas dans l'intérêt de votre profession...
d'ailleurs les Français et surtout les jeunes sont ceux qui prennent le moins de visites , peut-être ont-ils eu à faire dans leur scolarité à des guides qui leur été imposés (avec carte bien sûr)...

12.Posté par GRAND le 12/02/2016 12:09 | Alerter
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Une profession précaire ET précarisée depuis plusieurs années, qui n'est pas soutenue par le gouvernement, ne devrait-elle pas se sentir menacée par des offres low-cost ?

Vous n'êtes pas guide, comment pouvez-vous connaitre le quotidien de ce métier ?
Quand on le choisit, c'est nécessairement une passion car il n'est pas particulièrement rémunérateur, demande beaucoup de travail personnel et de motivation, surtout quand on voit le manque de considération de certaines personnes telles que vous !

Vous appelez "guides" de simples particuliers qui s'improvisent guides touristiques, alors que c'est un métier et une formation. Je ne dis pas qu'il n'y en a pas de bons chez certains, et de mauvais avec la carte, comme partout, mais notre carte est un gage de qualité. Du coup cette offre low-cost rabaisse la profession car le visiteur met tout le monde dans le même panier.
Avez-vous suivi la formation pour pouvoir dire qu'elle n'est pas un gage de compétences et parler de distraction passagère ? Comment peut-on dire une chose pareille sans connaitre le métier ? C'est nous traiter d'amateurs.

En ce qui concerne le passe-droit injustifié, c'est normal de mériter les entrées gratuites dans les musées pour pouvoir préparer les interventions, c'est la moindre des choses.
C'est tout ce que notre travail nous offre. Et quand on voit à quel point il est mal rémunéré, ce n'est pas cher payé.
Ce sont vos propos qui sont déplacés, pas cet article.

13.Posté par guide (conférencière) et fière de l''''être le 13/02/2016 18:18 | Alerter
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En fait tout dépend si on considère que guider est un vrai métier, Georges, Kognak et les autres...
Allez, bref, je retourne à ma tour de verre, aux gens de ma caste.
Ah si pardon, on vous a payé cher pour écrire des horreurs pareilles, pour espérer qu'on nous retire notre "passe-droit injustifié", pour parler de "distraction passagère", de syndicats "arc-boutés sur des privilèges", etc... ?

14.Posté par Aurélie le 14/02/2016 00:50 | Alerter
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Georges et Kognac ont bien raison. Il n'y a pas assez de guides !
Et tout le monde n'a pas la fortune à Rotschild pour se payer les services d'un guide-conférencier à 150 euros pour une visite de 2 heures à Montmartre ! Certains architectes ne gagnent pas autant !
Et le diplôme d'architecte est autrement plus difficile à avoir que celui d'un guide-conférencier.
Donc ouvrons la voie à des guides qui feront payer moins cher,20 euros de l'heure c'est déjà pas mal ! Et si c'est déclaré, il n'y a rien à redire.

15.Posté par GRAND le 15/02/2016 09:36 | Alerter
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150 euros...Allez, vous avez raison, vous avez la science infuse. On va vous laisser vous écouter parler.

16.Posté par Bernard le 18/02/2016 22:34 | Alerter
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Prétendre qu'il faut la carte de guide conférencier pour guider dans un musée est comme dire qu'il faut un CAP pour être coiffeur ou cuisinier ou une licence en fac pour donner des cours de maths. Chacun sait bien que ce sont là des services qui sont mesurés par les clients et donc s'autorégulent naturellement avec l'usage puis l'élimination des mauvais et que le métier s'apprend en pratiquant et pas sur les bancs de l'école. le gouvernement a donc bien raison de toiletter ces vestiges d'un autre age et de privilèges acquis mais les corporations ont la vie dure et le venin mortel.
Bernard

17.Posté par Helene le 19/02/2016 02:18 | Alerter
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Georges et Aurélie, apprenez d'abord à parler et à écrire d'ans un français correct avant de prétendre donner des leçons aux guides !
Je vous cite: Aurélie "la fortune à Rotschild"?? et Georges :"ils ont probablement eu à faire à des guides qui leur été imposés"...😂 lol !
C'est quoi ce charabia bourré de fautes d'orthographe?? Vous n'êtes pas crédibles!
Un conseil: retournez à l'école, on peut apprendre à tout âge...et ne soyez pas aussi amers et jaloux de la situation précaire des guides conférenciers qui sont avant tout des passionnés!

18.Posté par guide (conférencière) et fière de l'être le 19/02/2016 09:21 | Alerter
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2 solutions : soit Bernard n'a pas d'enfants, soit il croit vraiment en ce futur-là et c'est vraiment vraiment vraiment effrayant. Supprimons TOUS les diplômes ! Tout s'apprend sur le tas, c'est évident. Et juste une chose : il y a une nuance entre "donner des cours de maths" et ENSEIGNER les maths ! Pour ce qui est de coiffer ou cuisiner en tant que professionnel, pardon, mais là aussi il y a un minimum de formation à avoir. Pour guider, c'est pareil, ne vous en déplaise. Mais je n'arriverai pas à le convaincre; Bernard est un adepte du "scoring" tellement prisé sur internet.

19.Posté par Bernard le 19/02/2016 21:43 | Alerter
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Pardonnez moi "guide (conférencière) et fière de l'être" mais puisque vous abordez un autre sujet effectivement le "scoring" devrait être appliqué à l'éducation nationale : combien de cours inutiles dont décident quelques fonctionnaires dans l'ombre. Que de dégâts sur la jeunesse ! Pour revenir au sujet : guide conférencier est un beau métier mais l'état n'a aucune compétence pour en délivrer la qualification car la fonction publique a pour objectif sa conservation et pas l'intérêt des professions. Regarder simplement le contenu des cours de GC pour en avoir la preuve...

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