Quand Big-Boss a monté l’agence (ça fait quatorze ans maintenant…), il était commercial groupes et sociétés pour une très grosse agence…
Quand il est parti. Il a entraîné avec lui sa collègue : Isa’ dont le désir pour Big-Boss se voit à peu près comme si elle avait un poireau sur le nez.
Tout de suite, ils ont embauché une puis deux billettistes pour s’occuper des sociétés. Et Isa’ s’est concentrée sur les groupes et la paperasse.
Quelques années après, Big-Boss a voulu développer le tourisme, et il a embauché Agnès, qui a fait des merveilles. Une perle cette Agnès.
Qu’est ce que j’ai pu en entendre parler de celle là… Alors qu’aux sociétés, les filles partaient au bout de six mois ou un an,
Agnès a été par-faite pendant sept ans. Un rayon de soleil. Jolie, Chaleureuse, Compétente, Jamais un mot plus haut que l’autre. Les clients l’a-do-raient.
Sauf qu’un jour, Agnès et son mari ont pété un plomb : ne supportaient plus Paris… tour du monde en bateau… ça devait durer un an.
Aux dernières nouvelles, ils sont toujours en Thaïlande à tenir une guest-house un peu crapouille à Krabi. Adieu soleil, chaleur, sourires, compétence…
Catastrophe ! Impossible de trouver une fille aussi extraordinaire qu’Agnès. Il y a eu plein de « nouvelles » qui sont restées quelques semaines à peine, Isa’ est passée au comptoir. Elle ne s’en sortait pas. Ils ont fini par embaucher deux filles au tourisme du coup…
Et puis un jour, Big-Boss m’a embauchée. Parce que je lui rappelais Agnès « en plus jeune bien entendu ». Ben forcément… Début de l’histoire.
Et six mois après mon arrivée, on n’en entendait plus parler d’Agnès. Mais les habitués disaient : « qu’est ce qu’elle est bien la p’tite blonde ».
Quand il est parti. Il a entraîné avec lui sa collègue : Isa’ dont le désir pour Big-Boss se voit à peu près comme si elle avait un poireau sur le nez.
Tout de suite, ils ont embauché une puis deux billettistes pour s’occuper des sociétés. Et Isa’ s’est concentrée sur les groupes et la paperasse.
Quelques années après, Big-Boss a voulu développer le tourisme, et il a embauché Agnès, qui a fait des merveilles. Une perle cette Agnès.
Qu’est ce que j’ai pu en entendre parler de celle là… Alors qu’aux sociétés, les filles partaient au bout de six mois ou un an,
Agnès a été par-faite pendant sept ans. Un rayon de soleil. Jolie, Chaleureuse, Compétente, Jamais un mot plus haut que l’autre. Les clients l’a-do-raient.
Sauf qu’un jour, Agnès et son mari ont pété un plomb : ne supportaient plus Paris… tour du monde en bateau… ça devait durer un an.
Aux dernières nouvelles, ils sont toujours en Thaïlande à tenir une guest-house un peu crapouille à Krabi. Adieu soleil, chaleur, sourires, compétence…
Catastrophe ! Impossible de trouver une fille aussi extraordinaire qu’Agnès. Il y a eu plein de « nouvelles » qui sont restées quelques semaines à peine, Isa’ est passée au comptoir. Elle ne s’en sortait pas. Ils ont fini par embaucher deux filles au tourisme du coup…
Et puis un jour, Big-Boss m’a embauchée. Parce que je lui rappelais Agnès « en plus jeune bien entendu ». Ben forcément… Début de l’histoire.
Et six mois après mon arrivée, on n’en entendait plus parler d’Agnès. Mais les habitués disaient : « qu’est ce qu’elle est bien la p’tite blonde ».
- Page 2 : J’ai flippé : je croyais qu’il avait découvert mon blog !
- Page 3 : « Je suis une vendeuse dans l’âme »
- Page 4 : Là, j’ai fait mon sourire n°4, celui où je vends l’assurance...
- Page 5 : Big-Boss ne bronchait plus, je me disais qu’on allait le perdre...
- Page 3 : « Je suis une vendeuse dans l’âme »
- Page 4 : Là, j’ai fait mon sourire n°4, celui où je vends l’assurance...
- Page 5 : Big-Boss ne bronchait plus, je me disais qu’on allait le perdre...