« Je suis une vendeuse dans l’âme »
Là, j’avoue, j’ai paniqué Comment réagir ? Je n’ai PAS DU TOUT envie d’être toute seule dans un coin à m’exciter contre un ordi qui ne marche pas et une photo aux dimensions capricieuses à intégrer à texte trop long. Ou trop court.
Pas du tout envie de passer les trois-quarts de mon temps sur une seule desti’ (surtout le Maroc où je pense ne plus rien à avoir à apprendre) et encore moins de lâcher les filles du comptoir. A ce rythme là, dans deux ans, je suis comme Isa’
Respiration. Concentration. A moi ! Là j’ai quand même dit à Big-Boss « tu devrais attaquer ton saumon fumé, il va être froid » (et surtout, j’avais peur qu’il me fasse une syncope).
J’ai improvisé un p’tit speech et j’ai fait comme avec les clients qui voulaient aller en Asie alors qu’il ne me manquait qu’une vente pour gagner un challenge Kenya dont le terme était fixé le jour-même… (en gros : leur dire que la Thaïlande c’est bien, mais que le Kenya, c’est mieux ».
Je vous la fais rapide : « très contente que tu reconnaisses mon travail », « valoriser aussi le comptoir » , « besoin de variété », « pas envie de me scléroser sur une seule desti ».
Là, il était effondré parce que j’avais mis son seul argument à terre. « Je suis une vendeuse dans l’âme », « pas envie d’être concentrée derrière un écran toute la journée», « besoin de contact humain » (il faut que je me remette de ma rupture avec Thierry et que je me trouve un mec d’ailleurs, sinon je vais devenir folle, mais ça n’a rien à voir)...
Pas du tout envie de passer les trois-quarts de mon temps sur une seule desti’ (surtout le Maroc où je pense ne plus rien à avoir à apprendre) et encore moins de lâcher les filles du comptoir. A ce rythme là, dans deux ans, je suis comme Isa’
Respiration. Concentration. A moi ! Là j’ai quand même dit à Big-Boss « tu devrais attaquer ton saumon fumé, il va être froid » (et surtout, j’avais peur qu’il me fasse une syncope).
J’ai improvisé un p’tit speech et j’ai fait comme avec les clients qui voulaient aller en Asie alors qu’il ne me manquait qu’une vente pour gagner un challenge Kenya dont le terme était fixé le jour-même… (en gros : leur dire que la Thaïlande c’est bien, mais que le Kenya, c’est mieux ».
Je vous la fais rapide : « très contente que tu reconnaisses mon travail », « valoriser aussi le comptoir » , « besoin de variété », « pas envie de me scléroser sur une seule desti ».
Là, il était effondré parce que j’avais mis son seul argument à terre. « Je suis une vendeuse dans l’âme », « pas envie d’être concentrée derrière un écran toute la journée», « besoin de contact humain » (il faut que je me remette de ma rupture avec Thierry et que je me trouve un mec d’ailleurs, sinon je vais devenir folle, mais ça n’a rien à voir)...