TourMaG.com : Etes-vous toujours intéressé par une éventuelle reprise du tour-opérateur 1001 Soleils ?
Lotfi Belhassine : C’est vrai que nous regardons le dossier. Pour l’instant, notre analyse n’est pas terminée. Tout ce que je peux vous dire c’est que si cela se fait, je n’irai pas seul. J’aurai un associé. Nous prendrons notre décision définitive dans le courant de la semaine prochaine.
TourMaG.com : Etes-vous en train de passer de l’activité de distributeur à celle de producteur ?
Lotfi Belhassine : Non, je n’ai aucune intention de redevenir producteur. En fait, c’est la programmation de 1001 Soleils qui m’intéresse. C’est un tour-opérateur assez innovant avec par exemple une production sur la Jamaïque ou les Bahamas.
Même son offre sur l’Egypte, avec la programmation de Taba, cela sort de l’ordinaire. En tant que distributeurs, nous avons vendu ses produits et leur qualité est excellente.
Cela dit, je ne connaissais pas personnellement Sami Benaoui. Nous ne sommes absolument pas dans le cas de figure où j'arriverais à son secours par amitié.
TourMaG.com : Qu’auriez-vous l’intention de faire avec 1001 Soleils si vous alliez plus avant dans le projet de reprise ?
Lotfi Belhassine : Je revendrais sa production mais en déstructuré. 1001 Soleils deviendrait un semi-distributeur avec des prestations découplées. Du dynamic packaging en quelque sorte.
Lotfi Belhassine : C’est vrai que nous regardons le dossier. Pour l’instant, notre analyse n’est pas terminée. Tout ce que je peux vous dire c’est que si cela se fait, je n’irai pas seul. J’aurai un associé. Nous prendrons notre décision définitive dans le courant de la semaine prochaine.
TourMaG.com : Etes-vous en train de passer de l’activité de distributeur à celle de producteur ?
Lotfi Belhassine : Non, je n’ai aucune intention de redevenir producteur. En fait, c’est la programmation de 1001 Soleils qui m’intéresse. C’est un tour-opérateur assez innovant avec par exemple une production sur la Jamaïque ou les Bahamas.
Même son offre sur l’Egypte, avec la programmation de Taba, cela sort de l’ordinaire. En tant que distributeurs, nous avons vendu ses produits et leur qualité est excellente.
Cela dit, je ne connaissais pas personnellement Sami Benaoui. Nous ne sommes absolument pas dans le cas de figure où j'arriverais à son secours par amitié.
TourMaG.com : Qu’auriez-vous l’intention de faire avec 1001 Soleils si vous alliez plus avant dans le projet de reprise ?
Lotfi Belhassine : Je revendrais sa production mais en déstructuré. 1001 Soleils deviendrait un semi-distributeur avec des prestations découplées. Du dynamic packaging en quelque sorte.
TourMaG.com : Pourquoi ne souhaitez-vous pas devenir producteur ?
Lotfi Belhassine : Parce que avant tout Liberty tv est un média qui vit à 60% des revenus publicitaires. Et avec la crise, cette proportion se renforce encore.
Notre activité liée à la publicité a cru de 40% cette année. Par ailleurs, avec le passage à la télévision numérique, nous seront bientôt accessibles par tous les foyers français, quelque soit l‘opérateur. Et là encore, cela devrait générer davantage de revenus publicitaires.
TourMaG.com : Comment évolue en parallèle la revente de voyages ?
Lotfi Belhassine : La revente de voyages est significative puisqu’elle représente 40% du chiffre d’affaires mais c’est une activité sans risques, contrairement au tour operating. Pour autant, elle est affectée par la crise économique.
TourMaG.com : Justement, vous avez une vision européenne des effets de la crise sur l’achat de voyages. Comment jugez-vous la situation ?
Lotfi Belhassine : L’hiver n’a pas été mauvais, avec des variations, bien sûr, selon les marchés. Pour l’été, la baisse d’activité affecte principalement les petits budgets.
Et la baisse est plus importante en France qu’en Belgique, Hollande ou Luxembourg. Sur le marché français, on constate un déséquilibre important entre la région parisienne où le pouvoir d’achat est fortement amputé et la province.
Lotfi Belhassine : Parce que avant tout Liberty tv est un média qui vit à 60% des revenus publicitaires. Et avec la crise, cette proportion se renforce encore.
Notre activité liée à la publicité a cru de 40% cette année. Par ailleurs, avec le passage à la télévision numérique, nous seront bientôt accessibles par tous les foyers français, quelque soit l‘opérateur. Et là encore, cela devrait générer davantage de revenus publicitaires.
TourMaG.com : Comment évolue en parallèle la revente de voyages ?
Lotfi Belhassine : La revente de voyages est significative puisqu’elle représente 40% du chiffre d’affaires mais c’est une activité sans risques, contrairement au tour operating. Pour autant, elle est affectée par la crise économique.
TourMaG.com : Justement, vous avez une vision européenne des effets de la crise sur l’achat de voyages. Comment jugez-vous la situation ?
Lotfi Belhassine : L’hiver n’a pas été mauvais, avec des variations, bien sûr, selon les marchés. Pour l’été, la baisse d’activité affecte principalement les petits budgets.
Et la baisse est plus importante en France qu’en Belgique, Hollande ou Luxembourg. Sur le marché français, on constate un déséquilibre important entre la région parisienne où le pouvoir d’achat est fortement amputé et la province.
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Malheureusement en région, l’activité n’est pas assez importante pour qu’il y ait une programmation charter conséquente. Au global, il me semble que la baisse des ventes de forfaits sera de l’ordre de 15 à 20% cet été en France.
A contrario, on assiste à une explosion des ventes de vols secs. Les gens ont appris le self tour operating. Maintenant, ils savent négocier en ligne avec l’hôtelier directement et quand ils ont fait affaire, ils n’ont plus qu’à acheter leur billet d’avion…
A contrario, on assiste à une explosion des ventes de vols secs. Les gens ont appris le self tour operating. Maintenant, ils savent négocier en ligne avec l’hôtelier directement et quand ils ont fait affaire, ils n’ont plus qu’à acheter leur billet d’avion…