TourMaG - La ligne Paris – Seattle ouvre donc ce 14 juin et vous avez précédemment lancé Seattle – Papette, comment se porte cette ligne ouverte en octobre dernier ?
Michel Monvoisin : Vous le savez quand on démarre une route il faut se faire connaitre, cela prend du temps mais je dirais que c’est plutôt pas mal.
Il faut dire que nous sommes bien aidés par notre partenaire Alaska Airlines. Seattle est leur base et ils ont montré beaucoup d’enthousiasme qui je dois le dire a été communicatif.
Au départ, le projet était d’ouvrir Seattle « en sec » (ligne Papeete – Seattle) ce que nous avons fait, puis nous avons voulu tenter Paris en saisonnier sur la haute saison. Très rapidement, nous avons pris la décision d’ouvrir la ligne Paris à l’année.
C’est une belle alternative déjà pour les passagers qui font Papeete – Paris. Notre ADN est de faire venir des touristes, cela va nous apporter un bon complément.
TourMaG - Ce sont des rotations couplées avec celles vers Los Angeles qui vont donc vous permettre de voler vers Papeete sept fois par semaine...
Michel Monvoisin : Exactement. Nous sommes aujourd’hui à un vol par jour sur Paris avec l’alternative de faire Seattle ou Los Angeles ou même Seattle et Los Angeles.
Michel Monvoisin : Vous le savez quand on démarre une route il faut se faire connaitre, cela prend du temps mais je dirais que c’est plutôt pas mal.
Il faut dire que nous sommes bien aidés par notre partenaire Alaska Airlines. Seattle est leur base et ils ont montré beaucoup d’enthousiasme qui je dois le dire a été communicatif.
Au départ, le projet était d’ouvrir Seattle « en sec » (ligne Papeete – Seattle) ce que nous avons fait, puis nous avons voulu tenter Paris en saisonnier sur la haute saison. Très rapidement, nous avons pris la décision d’ouvrir la ligne Paris à l’année.
C’est une belle alternative déjà pour les passagers qui font Papeete – Paris. Notre ADN est de faire venir des touristes, cela va nous apporter un bon complément.
TourMaG - Ce sont des rotations couplées avec celles vers Los Angeles qui vont donc vous permettre de voler vers Papeete sept fois par semaine...
Michel Monvoisin : Exactement. Nous sommes aujourd’hui à un vol par jour sur Paris avec l’alternative de faire Seattle ou Los Angeles ou même Seattle et Los Angeles.
Michel Monvoisin : "Nous sommes au départ de Seattle, une nouvelle route « soleil » et elles sont rares"
Michel Monvoisin avec à sa droite Jean Marc Hasting, Directeur d'Air Tahiti Nui région France/Europe.Photo : C.Hardin
TourMaG - On peut donc combiner les deux villes US
Michel Monvoisin : Oui et avec le partenariat que nous avons avec Alaska Airlines qui est une des plus grosses compagnies domestiques et qui permet un très grand nombre de vols aux Etats-Unis.
Alaska a récemment fusionné avec Virgin America, ce qui augmente encore les possibilités de connexions.
J’en profite aujourd’hui pour remercier Ben Minicucci (PDG Air Alaska ndlr) et toutes ses équipes. Ils nous ont vraiment beaucoup aidés en nous donnant également le code share sur leur filiale Horizon Air qui dessert les principales stations de ski aux Etats-Unis.
Nous avons donc de très belles opportunités, et pour les Polynésiens et pour le tourisme polynésien également.
Nous sommes au départ de Seattle, une nouvelle route « soleil » et elles sont rares. Il y avait le Mexique et Hawaï et maintenant nous offrons aux habitants de cette partie des Etats-Unis la possibilité de pouvoir varier et découvrir la Polynésie Française.
TourMaG - Et toujours avec le Dreamliner, le Boeing 787.
Michel Monvoisin :Oui, effectivement. Un avion de nouvelle génération avec l’emprunte carbone la plus faible.
Michel Monvoisin : Oui et avec le partenariat que nous avons avec Alaska Airlines qui est une des plus grosses compagnies domestiques et qui permet un très grand nombre de vols aux Etats-Unis.
Alaska a récemment fusionné avec Virgin America, ce qui augmente encore les possibilités de connexions.
J’en profite aujourd’hui pour remercier Ben Minicucci (PDG Air Alaska ndlr) et toutes ses équipes. Ils nous ont vraiment beaucoup aidés en nous donnant également le code share sur leur filiale Horizon Air qui dessert les principales stations de ski aux Etats-Unis.
Nous avons donc de très belles opportunités, et pour les Polynésiens et pour le tourisme polynésien également.
Nous sommes au départ de Seattle, une nouvelle route « soleil » et elles sont rares. Il y avait le Mexique et Hawaï et maintenant nous offrons aux habitants de cette partie des Etats-Unis la possibilité de pouvoir varier et découvrir la Polynésie Française.
TourMaG - Et toujours avec le Dreamliner, le Boeing 787.
Michel Monvoisin :Oui, effectivement. Un avion de nouvelle génération avec l’emprunte carbone la plus faible.
Se défendre face à une concurrence très vive
TourMaG - Lorsque nous nous étions vus il y a quelques mois, à propos de la desserte de la Polynésie, vous évoquiez une « sur offre » et avec cette nouvelle ligne vous rajoutez des sièges…
Michel Monvoisin :Nous nous défendons. Oui, il y a de la surcapacité, une concurrence très vive. Nous sommes, je crois la seule destination où on a connu 30% de l’offre en sièges sur la période post Covid. C’est énorme.
Mais nous sommes la compagnie du Pays et nous nous défendons. Il n’était pas question de laisser la porte ouverte à des compagnies dont on ne sait pas si elles vont rester longtemps.
La Polynésie a souvent connu des compagnies qui arrivaient et repartaient aussi vite qu’elles étaient venues.
Nous avons la ferme intention de défendre notre périmètre et surtout d’avoir une offre ciblée et bien adaptée. C’est notre pays, nous le connaissons et nous voulons que les gens qui rentrent dans notre avion soient déjà en vacances ou comme chez eux pour les Polynésiens.
Michel Monvoisin :Nous nous défendons. Oui, il y a de la surcapacité, une concurrence très vive. Nous sommes, je crois la seule destination où on a connu 30% de l’offre en sièges sur la période post Covid. C’est énorme.
Mais nous sommes la compagnie du Pays et nous nous défendons. Il n’était pas question de laisser la porte ouverte à des compagnies dont on ne sait pas si elles vont rester longtemps.
La Polynésie a souvent connu des compagnies qui arrivaient et repartaient aussi vite qu’elles étaient venues.
Nous avons la ferme intention de défendre notre périmètre et surtout d’avoir une offre ciblée et bien adaptée. C’est notre pays, nous le connaissons et nous voulons que les gens qui rentrent dans notre avion soient déjà en vacances ou comme chez eux pour les Polynésiens.
Le HUB Asie réactivé dans un contexte de lente reprise.
TourMaG - Tokyo revient aussi sur le réseau, vous confirmez la réouverture pour le 30 octobre ?
Michel Monvoisin :Oui, nous reprenons effectivement la route « Asie ». Pour nous Tokyo est le Hub « Asie » avec d’excellentes correspondances et grâce à nos accords nous desservons en plus du Japon, la Chine et la Corée du Sud.
L’Asie, nous le savons c’est difficile. Je reviens du congrès IATA où tout le monde s’accorde à dire que la reprise est très lente.
Cependant nous souhaitons ouvrir fin octobre. C’est le début de la basse saison, là où il y a le plus de chambres et on espère stimuler le tourisme.
Avec Tahiti Tourisme, nous allons lancer des campagnes, nous avons également revu notre réseau de distribution avec les tour-opérateurs japonais qui ont un rôle très important.
Nous avons également profité du congrès IATA pour revoir nos partenaires de Japan Airlines qui nous soutiennent et nous encouragent.
Nous redémarrons donc avec l’Asie, pour ne pas être également dépendant d’un seul marché. Le poids des États-Unis aujourd’hui est très important sur la destination Polynésie. Il n’a jamais été aussi haut et nous voulons avoir cette alternative avec l’Asie.
Michel Monvoisin :Oui, nous reprenons effectivement la route « Asie ». Pour nous Tokyo est le Hub « Asie » avec d’excellentes correspondances et grâce à nos accords nous desservons en plus du Japon, la Chine et la Corée du Sud.
L’Asie, nous le savons c’est difficile. Je reviens du congrès IATA où tout le monde s’accorde à dire que la reprise est très lente.
Cependant nous souhaitons ouvrir fin octobre. C’est le début de la basse saison, là où il y a le plus de chambres et on espère stimuler le tourisme.
Avec Tahiti Tourisme, nous allons lancer des campagnes, nous avons également revu notre réseau de distribution avec les tour-opérateurs japonais qui ont un rôle très important.
Nous avons également profité du congrès IATA pour revoir nos partenaires de Japan Airlines qui nous soutiennent et nous encouragent.
Nous redémarrons donc avec l’Asie, pour ne pas être également dépendant d’un seul marché. Le poids des États-Unis aujourd’hui est très important sur la destination Polynésie. Il n’a jamais été aussi haut et nous voulons avoir cette alternative avec l’Asie.
Air Tahiti Nui : 25 ans un point commun avec qui vous savez…
TourMaG - Vous savez que TourMaG et Air Tahiti Nui ont un point commun ? C'est d’avoir 25 ans… quel est votre regard sur ces 25 années ?
Michel Monvoisin :25 ans c’est jeune…mais à la fois c’est mature. C’est 25 ans d’expérience, d’implantation sur de grands marchés : Europe, France, États-Unis, Asie.
Nous allons fêter cela, nous avons d’ailleurs créé un logo et on compte bien être là dans encore 25 ans !
Moi je ne serai probablement plus là, mais nous allons tout faire pour que cette belle compagnie soit encore là !
C’est une belle compagnie, une belle marque souvent récompensée. Le personnel, que ce soit au sol ou en vol, est extrêmement motivé et je veux les remercier. Les 25 ans c’est aussi leurs 25 ans.
C’est eux qui ont contribué à construire cette compagnie et nous allons faire une belle fête avec eux !
Michel Monvoisin :25 ans c’est jeune…mais à la fois c’est mature. C’est 25 ans d’expérience, d’implantation sur de grands marchés : Europe, France, États-Unis, Asie.
Nous allons fêter cela, nous avons d’ailleurs créé un logo et on compte bien être là dans encore 25 ans !
Moi je ne serai probablement plus là, mais nous allons tout faire pour que cette belle compagnie soit encore là !
C’est une belle compagnie, une belle marque souvent récompensée. Le personnel, que ce soit au sol ou en vol, est extrêmement motivé et je veux les remercier. Les 25 ans c’est aussi leurs 25 ans.
C’est eux qui ont contribué à construire cette compagnie et nous allons faire une belle fête avec eux !
L’incroyable feuilleton de l’aéroport de FAAA
TourMaG - Vous allez surement être encore là dans les 25 ans qui viennent et d’ailleurs, avez-vous l’espoir d’ici les prochaines 25 années de voir enfin un nouvel aéroport à Tahiti ? Un nouvel épisode vient tout juste de s’écrire : la décision rendue par le tribunal administratif de Papeete le 18 octobre dernier, qui annulait l’attribution de la concession à Vinci Airports, a été cassée par le Conseil d’État il y a quelques jours.
C’est donc, à nouveau Vinci qui est attributaire de la concession, mais la CCISM a redéposé un recours en référé devant le tribunal administratif, quel feuilleton !
Michel Monvoisin : J’ai du mal à m’exprimer à ce sujet ! C’est devenu un vrai problème pour la croissance. Celle du tourisme et celle de l’entreprise.
Le Président Moetai Brotherson a rencontré le Président de la République, le ministre des Outre-Mer, je pense qu’il a eu des garanties. J’irai le voir en rentrant.
J’espère que cette fois-ci l’État va nous entendre et qu’on aura un dénouement heureux avec enfin une visibilité pour avoir un aéroport qui soit digne de ce nom et digne de nos ambitions en matière touristiques.
Un aéroport c’est une partie prenante et intégrante du développement touristique. Je reviens d’ailleurs d’İstanbul, j’ai été bluffé par l’aéroport.
C’est donc, à nouveau Vinci qui est attributaire de la concession, mais la CCISM a redéposé un recours en référé devant le tribunal administratif, quel feuilleton !
Michel Monvoisin : J’ai du mal à m’exprimer à ce sujet ! C’est devenu un vrai problème pour la croissance. Celle du tourisme et celle de l’entreprise.
Le Président Moetai Brotherson a rencontré le Président de la République, le ministre des Outre-Mer, je pense qu’il a eu des garanties. J’irai le voir en rentrant.
J’espère que cette fois-ci l’État va nous entendre et qu’on aura un dénouement heureux avec enfin une visibilité pour avoir un aéroport qui soit digne de ce nom et digne de nos ambitions en matière touristiques.
Un aéroport c’est une partie prenante et intégrante du développement touristique. Je reviens d’ailleurs d’İstanbul, j’ai été bluffé par l’aéroport.
Développer l’intermodalité avec le train
TourMaG - Une autre difficulté, Air France ne semble pas vraiment vous faciliter les choses sur les pré et post-acheminements ?
Michel Monvoisin : Air France, ils étaient tout seuls sur cette route. Effectivement ils nous voient arriver sur le Seattle – Paris, on ne peut pas dire « qu’ils sautent de joie », mais nous devons nous revoir, et discuter.
Effectivement à ce jour ils n’ont pas voulu nous donner la continuité domestique c’est un peu dommage.
Nous avons cependant TGV Air et j’appelle aussi de mes vœux le développement de cette intermodalité. Il y a une belle gare TGV à CDG et je pense qu’à partir de cette gare, la desserte des grandes villes de métropole doit être assurée.
Aujourd’hui il en manque quelques-unes. Par exemple à Toulouse. Rejoindre cette grande ville en TGV c’est encore compliqué.
Michel Monvoisin : Air France, ils étaient tout seuls sur cette route. Effectivement ils nous voient arriver sur le Seattle – Paris, on ne peut pas dire « qu’ils sautent de joie », mais nous devons nous revoir, et discuter.
Effectivement à ce jour ils n’ont pas voulu nous donner la continuité domestique c’est un peu dommage.
Nous avons cependant TGV Air et j’appelle aussi de mes vœux le développement de cette intermodalité. Il y a une belle gare TGV à CDG et je pense qu’à partir de cette gare, la desserte des grandes villes de métropole doit être assurée.
Aujourd’hui il en manque quelques-unes. Par exemple à Toulouse. Rejoindre cette grande ville en TGV c’est encore compliqué.
Airbus dans la flotte ?
TourMaG - Je vous ai entendu évoquer l’A321. Pouvez-vous nous en dire quelques mots ? C’est un projet ?
Michel Monvoisin : Air Tahiti Nui a toujours des études de route « sous le coude ». Même si nous avons fait le choix du Dreamliner de Boeing, nous avons gardé de bonnes relations avec Airbus et je les rencontre régulièrement.
Je dois d’ailleurs aller les voir au salon du Bourget et des rencontres sont prévues.
Il faut reconnaitre qu’en termes de monocouloir, ils font d’excellents produits et notamment le A321 XLR qui peut avoir un intérêt sur notre zone géographique.
TourMaG - Sur quelles routes ?
Michel Monvoisin :Il faut faire des études un peu plus poussées. Sur le papier, cet avion à le range (le rayon d’action, ndlr) pour aller jusqu’à San Diego, Los Angeles, mais il ne faut pas oublier que nous sommes quand même au milieu du Pacific avec un « ETOPS »* un peu particulier. Il n’y a que de l’eau !
TourMaG - L’avion vous intéresse cependant…
Michel Monvoisin :Il pourrait trouver sa place, mais là aujourd’hui, je ne veux pas aller plus loin. D’abord les délais de livraison sont très lointains, la demande est très forte sur ce type d’avion.
Ensuite, et avant de se lancer sur un cinquième avion, il va falloir que nous approfondissions la question du type d’avion : est-ce que nous prenons un cinquième long-courrier ou bien est-ce que nous partons effectivement sur des avions de ce type-là qui ont un intérêt certain dans notre région, mais il y a aussi des préalables.
Un aéroport à moderniser, nous venons d’en parler et la capacité hôtelière.
C’est bien d’ouvrir des routes, mais si nous ne sommes pas capables d’accueillir les touristes, nous aurons du mal à remplir nos avions même des avions de 180 places.
Il y a donc un certain nombre de paramètres exogènes à la compagnie sur lesquels il va bien falloir travailler.
Comme toute compagnie nous rêvons d’avoir de la croissance, après il faut garder les pieds sur terre et ne pas faire n’importe quoi. Ne pas risquer l’argent des Polynésiens. N’oublions pas que la compagnie appartient aux Polynésiens.
Michel Monvoisin : Air Tahiti Nui a toujours des études de route « sous le coude ». Même si nous avons fait le choix du Dreamliner de Boeing, nous avons gardé de bonnes relations avec Airbus et je les rencontre régulièrement.
Je dois d’ailleurs aller les voir au salon du Bourget et des rencontres sont prévues.
Il faut reconnaitre qu’en termes de monocouloir, ils font d’excellents produits et notamment le A321 XLR qui peut avoir un intérêt sur notre zone géographique.
TourMaG - Sur quelles routes ?
Michel Monvoisin :Il faut faire des études un peu plus poussées. Sur le papier, cet avion à le range (le rayon d’action, ndlr) pour aller jusqu’à San Diego, Los Angeles, mais il ne faut pas oublier que nous sommes quand même au milieu du Pacific avec un « ETOPS »* un peu particulier. Il n’y a que de l’eau !
TourMaG - L’avion vous intéresse cependant…
Michel Monvoisin :Il pourrait trouver sa place, mais là aujourd’hui, je ne veux pas aller plus loin. D’abord les délais de livraison sont très lointains, la demande est très forte sur ce type d’avion.
Ensuite, et avant de se lancer sur un cinquième avion, il va falloir que nous approfondissions la question du type d’avion : est-ce que nous prenons un cinquième long-courrier ou bien est-ce que nous partons effectivement sur des avions de ce type-là qui ont un intérêt certain dans notre région, mais il y a aussi des préalables.
Un aéroport à moderniser, nous venons d’en parler et la capacité hôtelière.
C’est bien d’ouvrir des routes, mais si nous ne sommes pas capables d’accueillir les touristes, nous aurons du mal à remplir nos avions même des avions de 180 places.
Il y a donc un certain nombre de paramètres exogènes à la compagnie sur lesquels il va bien falloir travailler.
Comme toute compagnie nous rêvons d’avoir de la croissance, après il faut garder les pieds sur terre et ne pas faire n’importe quoi. Ne pas risquer l’argent des Polynésiens. N’oublions pas que la compagnie appartient aux Polynésiens.
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*Extended-range Twin-engine Operation Performance Standards ETOPS est un règlement de l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI) permettant aux avions commerciaux équipés de deux moteurs d'utiliser des routes aériennes comportant des secteurs à plus d'une heure d'un aéroport de secours donc, en particulier, les parcours océaniques.
En fonction d'une certification théorique puis de la fiabilité constatée des appareils et de leurs moteurs, un certificat ETOPS-90, ETOPS-120, ETOPS-180 et ETOPS-330 (Boeing 777) est délivré.
Cette certification permet aux biréacteurs, de faire des vols long-courrier au-dessus de zones inhabitées (océans, déserts, pôles) à plus de 60 minutes d'un aéroport de déroutement (en cas de détresse).
En fonction d'une certification théorique puis de la fiabilité constatée des appareils et de leurs moteurs, un certificat ETOPS-90, ETOPS-120, ETOPS-180 et ETOPS-330 (Boeing 777) est délivré.
Cette certification permet aux biréacteurs, de faire des vols long-courrier au-dessus de zones inhabitées (océans, déserts, pôles) à plus de 60 minutes d'un aéroport de déroutement (en cas de détresse).
Publié par Christophe Hardin
Journaliste AirMaG - TourMaG.com
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