Plus de 737-700 pour la Royal Air Maroc
Comme convenu, la Royal Air Maroc vient de son côté de concrétiser la sortie de 9 anciens Boeing 737-700 de sa flotte, pour diminuer les coûts et se concentrer sur ses appareils plus récents uniquement : 737-800 ou 787-Dreamliner.
Autre annonce d’ampleur : ces dernières semaines, la compagnie a également dévoilé un partenariat stratégique avec Emirates Airlines concernant un partage de code entre Dubaï et Casablanca et vers un total de 209 destinations communes.
Autre annonce d’ampleur : ces dernières semaines, la compagnie a également dévoilé un partenariat stratégique avec Emirates Airlines concernant un partage de code entre Dubaï et Casablanca et vers un total de 209 destinations communes.
South African Airways vendue pour 3$ ?
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Si la transaction est finalement approuvée, la compagnie nationale sud-africaine South African Airways devrait être vendue pour la somme symbolique de 51 rands, soit 3 dollars, au consortium Takatso.
Ceci après que le gouvernement sud-africain ait cédé à ce dernier 51% du capital de la compagnie, qui comptait il y a encore peu parmi les majors du continent africain.
Dans un communiqué, Takatso précise que « les structures de cette nature se caractérisent généralement par un prix d’achat bas et d’importants engagements de financements futurs, et son généralement utilisées pour des actifs en difficulté tels que SAA qui nécessitent une restructuration et une recapitalisation importantes pour assurer un modèle économique durable ».
Le groupe, qui gère entre autres des transporteurs et des aéroports, s’est en outre engagé à investir près de 180 millions d’euros dans la compagnie aérienne. Le gouvernement sud-africain s’est de son côté engagé à ajouter 107 millions d’euros supplémentaires pour éponger une partie des dettes de SAA.
Notons enfin que la compagnie de Star Alliance vient d’accueillir un nouveau président en la personne de John Lamola. Son but : sauver SAA, alors qu'elle n’exploite plus que 7 avions et n’a toujours pas relancé ses activités long-courriers.
Ceci après que le gouvernement sud-africain ait cédé à ce dernier 51% du capital de la compagnie, qui comptait il y a encore peu parmi les majors du continent africain.
Dans un communiqué, Takatso précise que « les structures de cette nature se caractérisent généralement par un prix d’achat bas et d’importants engagements de financements futurs, et son généralement utilisées pour des actifs en difficulté tels que SAA qui nécessitent une restructuration et une recapitalisation importantes pour assurer un modèle économique durable ».
Le groupe, qui gère entre autres des transporteurs et des aéroports, s’est en outre engagé à investir près de 180 millions d’euros dans la compagnie aérienne. Le gouvernement sud-africain s’est de son côté engagé à ajouter 107 millions d’euros supplémentaires pour éponger une partie des dettes de SAA.
Notons enfin que la compagnie de Star Alliance vient d’accueillir un nouveau président en la personne de John Lamola. Son but : sauver SAA, alors qu'elle n’exploite plus que 7 avions et n’a toujours pas relancé ses activités long-courriers.
Cabo Verde : une nouvelle nationalisation passée au crible
Passée très près de la faillite, Cabo Verde la compagnie nationale cap-verdienne bien connue des agents de voyages français, s’apprête de son côté à être renationalisée.
Sa situation économique est passée au crible par une commission d’enquête parlementaire. Cette dernière a déjà acté un redimensionnement des effectifs, alors qu’une tentative de privatisation menée avec une société islandaise avait échouée ces dernières années. Les anciens dirigeants de la compagnie sont entendus tour à tour pour revenir sur cet échec.
En attendant, entre dettes et problèmes opérationnels, la compagnie tente de survivre, volant principalement vers le Portugal, le tout dans une « situation de mort imminente », d’après la presse locale. Seuls 3 appareils devraient être utilisés à l’avenir.
Sa situation économique est passée au crible par une commission d’enquête parlementaire. Cette dernière a déjà acté un redimensionnement des effectifs, alors qu’une tentative de privatisation menée avec une société islandaise avait échouée ces dernières années. Les anciens dirigeants de la compagnie sont entendus tour à tour pour revenir sur cet échec.
En attendant, entre dettes et problèmes opérationnels, la compagnie tente de survivre, volant principalement vers le Portugal, le tout dans une « situation de mort imminente », d’après la presse locale. Seuls 3 appareils devraient être utilisés à l’avenir.