Laurent Abitbol, président de Havas Voyages et de Selectour, était l'invité de BFMTV lundi 23 septembre 2019, pour évoquer la défaillance de Thomas Cook.
Il a rappelé sur le plateau que toute personne qui a acheté un voyage Jet tours dans l'une des agences Havas ou Selectour avaient deux choix : un voyage équivalent avec un autre tour-opérateur ou le remboursement.
"Sur les 3 000 dossiers traités aujourd'hui (lundi 23 septembre ndlr), presque 2 850 ont choisi un voyage équivalent. Il n'y a aucun risque pour les clients d'une agence de voyages", a t-il rappelé. "L'argent est chez nous".
Pour les clients des agences Thomas Cook intégrées, ce sera l'APST qui prendra en charge les clients direct du voyagiste défaillant, a t-il ajouté.
Il a rappelé sur le plateau que toute personne qui a acheté un voyage Jet tours dans l'une des agences Havas ou Selectour avaient deux choix : un voyage équivalent avec un autre tour-opérateur ou le remboursement.
"Sur les 3 000 dossiers traités aujourd'hui (lundi 23 septembre ndlr), presque 2 850 ont choisi un voyage équivalent. Il n'y a aucun risque pour les clients d'une agence de voyages", a t-il rappelé. "L'argent est chez nous".
Pour les clients des agences Thomas Cook intégrées, ce sera l'APST qui prendra en charge les clients direct du voyagiste défaillant, a t-il ajouté.
"Le client ne va s'apercevoir de rien"
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Concernant le rapatriement des clients français en ce moment à l'étranger, Selectour et Havas Voyages ont choisi de ne pas faire revenir les voyageurs.
"Nous n'avons pas de problème, ils continuent leur séjour normalement. Nous allons payer l'hôtel directement, régler la somme que Thomas Cook devait payer. Le client ne va s'apercevoir de rien", assure Laurent Abitbol.
Interrogé sur les difficultés de XL Airways qui cherche un repreneur, le président du directoire de Selectour a précisé : "nous pourrions reprendre (la compagnie, ndlr) mais ce n'est pas notre métier, nous sommes des agents de voyages.
Pour l'instant la compagnie a l'argent pour voler jusqu'à jeudi ou vendredi et nous espérons qu'il va se passer quelque chose d'ici là".
"Nous n'avons pas de problème, ils continuent leur séjour normalement. Nous allons payer l'hôtel directement, régler la somme que Thomas Cook devait payer. Le client ne va s'apercevoir de rien", assure Laurent Abitbol.
Interrogé sur les difficultés de XL Airways qui cherche un repreneur, le président du directoire de Selectour a précisé : "nous pourrions reprendre (la compagnie, ndlr) mais ce n'est pas notre métier, nous sommes des agents de voyages.
Pour l'instant la compagnie a l'argent pour voler jusqu'à jeudi ou vendredi et nous espérons qu'il va se passer quelque chose d'ici là".
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