Apprendre en seulement 18 semaines toutes les bases nécessaires pour se lancer dans le tourisme. Telle est l’ambition du tout jeune Diplôme d'Enseignement Supérieur Tourisme International, proposé depuis l’année dernière par l’Institut d’Etu
Apprendre en seulement 18 semaines toutes les bases nécessaires pour se lancer dans le tourisme.
Telle est l’ambition du tout jeune Diplôme d'Enseignement Supérieur Tourisme International, proposé depuis l’année dernière par l’Institut d’Etudes Supérieures du Tourisme de la Sorbonne (IREST).
Cette formation, accessible avec un bac + 4, dispense des cours théoriques doublés de stages pratiques. Elle détaille l’ensemble des connaissances indispensables pour travailler dans le secteur touristique.
« Ce cursus intensif est particulièrement adapté pour des personnes qui cherchent à acquérir un maximum de notions en un minimum de temps » résume Jamila Ysati, la responsable administrative.
Telle est l’ambition du tout jeune Diplôme d'Enseignement Supérieur Tourisme International, proposé depuis l’année dernière par l’Institut d’Etudes Supérieures du Tourisme de la Sorbonne (IREST).
Cette formation, accessible avec un bac + 4, dispense des cours théoriques doublés de stages pratiques. Elle détaille l’ensemble des connaissances indispensables pour travailler dans le secteur touristique.
« Ce cursus intensif est particulièrement adapté pour des personnes qui cherchent à acquérir un maximum de notions en un minimum de temps » résume Jamila Ysati, la responsable administrative.
Une expertise « à la Française »
Effectivement, la majorité des élèves de la première promotion étaient des professionnels qui cherchaient à se reconvertir.
Car le tourisme fait toujours rêver. Surtout lorsqu’il est enseigné à Paris, dans la prestigieuse Sorbonne.
Le diplôme surfe d’ailleurs largement sur cette réputation, en se qualifiant « d’excellence à la française ». Une description qui a fait mouche auprès du public étranger.
En effet, la quasi totalité des participants de la première session venaient des quatre coins du monde : Afrique, Amériques ou Asie. « Nous avons fait un peu de communication sur le site de l’OMT » concède Jamila Ysati.
Les élèves ont également pu faire connaissance avec certains membres du conseil de perfectionnement, qui regroupe de célèbres personnalités du tourisme, comme Henri Giscard d’Estaing, Antoine Cachin, René-Marc Chikli ou encore Christian Mantei.
La seconde session de la formation se déroulera de novembre 2010 à mars 2011. L’ensemble du cursus coûte 5000€, un tarif qui couvre l’ensemble des frais de scolarité, ainsi que les deux voyages d’étude.
« Cela reste très raisonnable et moins élevé que dans le privé. En outre, ce montant peut être couvert par l’entreprise dans le dispositif du congé individuel de formation » ajoute Jamila Ysati.
Les dossiers de candidature peuvent être retirés jusqu’en octobre sur le site de l’IREST
Car le tourisme fait toujours rêver. Surtout lorsqu’il est enseigné à Paris, dans la prestigieuse Sorbonne.
Le diplôme surfe d’ailleurs largement sur cette réputation, en se qualifiant « d’excellence à la française ». Une description qui a fait mouche auprès du public étranger.
En effet, la quasi totalité des participants de la première session venaient des quatre coins du monde : Afrique, Amériques ou Asie. « Nous avons fait un peu de communication sur le site de l’OMT » concède Jamila Ysati.
Les élèves ont également pu faire connaissance avec certains membres du conseil de perfectionnement, qui regroupe de célèbres personnalités du tourisme, comme Henri Giscard d’Estaing, Antoine Cachin, René-Marc Chikli ou encore Christian Mantei.
La seconde session de la formation se déroulera de novembre 2010 à mars 2011. L’ensemble du cursus coûte 5000€, un tarif qui couvre l’ensemble des frais de scolarité, ainsi que les deux voyages d’étude.
« Cela reste très raisonnable et moins élevé que dans le privé. En outre, ce montant peut être couvert par l’entreprise dans le dispositif du congé individuel de formation » ajoute Jamila Ysati.
Les dossiers de candidature peuvent être retirés jusqu’en octobre sur le site de l’IREST