Rien que de repenser à cette folle étreinte dans le Masai Mara...
Alors non, c’était pas des vacances, y’avait un gros boulet qui voulait que je sois sa meilleure amie. J’ai visité 21 hôtels en 5 jours, j’ai dormi 16 heures en 5 nuits et je suis crevée.
A l’agence, on appelle les voyages d’étude les CVIP : les Colonies de Vacances entre Inconnus de la Profession.
Je sais que vous rêvez de compte-rendus croustillants de CVIP où l’on se met minables jusqu’à ce que l’on nous chasse du bar, où l’on finit tous à poil dans la piscine, où les rooming-lists évoluent au fil du déroulé du CVIP etc...
Il faudra me passer sur le corps promettre beaucoup d’argent (ou vraiment insister) pour que je raconte… L’autre jour, « un commercial » (joli nom…) écrivait en réaction à l’un de mes posts que « l'ambiance baisodrome années 80 c'est bien fini ».
Je m’inscris en faux, cet homme a sans doute vieilli depuis les années 80…
Mais n’insistez pas, je ne vous raconterai pas l’extase que j’ai vécue dans un camp de toile sublime du Masaï Mara avec un agent de voyages lyonnais fort comme un rhino, doux comme un lionceau et viril comme un éléphant mon voyage d’étude au Kenya.
Ça n’est pas arrivé, ce garçon n’a jamais existé et de toute façon, je ne suis jamais allée au Kenya. Qu’on se le dise (Oh mon Dieu, rien que de repenser à cette folle étreinte dans le Masai Mara, j’en ai encore des frissons).
Je reparlerai peut-être un jour des boulets qu’on repère à l’enregistrement : celle-là va perdre son passeport (le commercial du TO passera 4 heures au poste de police pour l’aider parce que le boulet ne parle pas un mot d’anglais),
A l’agence, on appelle les voyages d’étude les CVIP : les Colonies de Vacances entre Inconnus de la Profession.
Je sais que vous rêvez de compte-rendus croustillants de CVIP où l’on se met minables jusqu’à ce que l’on nous chasse du bar, où l’on finit tous à poil dans la piscine, où les rooming-lists évoluent au fil du déroulé du CVIP etc...
Il faudra me passer sur le corps promettre beaucoup d’argent (ou vraiment insister) pour que je raconte… L’autre jour, « un commercial » (joli nom…) écrivait en réaction à l’un de mes posts que « l'ambiance baisodrome années 80 c'est bien fini ».
Je m’inscris en faux, cet homme a sans doute vieilli depuis les années 80…
Mais n’insistez pas, je ne vous raconterai pas l’extase que j’ai vécue dans un camp de toile sublime du Masaï Mara avec un agent de voyages lyonnais fort comme un rhino, doux comme un lionceau et viril comme un éléphant mon voyage d’étude au Kenya.
Ça n’est pas arrivé, ce garçon n’a jamais existé et de toute façon, je ne suis jamais allée au Kenya. Qu’on se le dise (Oh mon Dieu, rien que de repenser à cette folle étreinte dans le Masai Mara, j’en ai encore des frissons).
Je reparlerai peut-être un jour des boulets qu’on repère à l’enregistrement : celle-là va perdre son passeport (le commercial du TO passera 4 heures au poste de police pour l’aider parce que le boulet ne parle pas un mot d’anglais),