On a enchainé les saloperies en béton pendant 3 jours...
Celui-là sera peut-être allergique au riz (très pratique en Thaïlande), et l'autre marchera sur un oursin (penser à évoquer un jour l’ambiance de l’hôpital de Mombasa).
Il y a de toute façon au moins un boulet par groupe. J’en garde pour la suite… je ne vais pas vous raconter tous mes éductours en un seul post : ma life d’agent de voyages est certes trépidante mais il ne m’arrive pas des choses extraordinaires chaque jour non plus.
J’ai réfléchi aux CVIP effectués ces 9 dernières années. Je ne voudrais pas avoir l’air de me la raconter grave mais quand même… je suis un poil montée en gamme depuis quelques années… j’ai classé mes CVIP en trois groupes :
1. Les visites d’hôtel à la chaine dans des endroits où pour rien au monde on n’enverrait un client. Voilà, c’est dit. Mon premier CVIP, c’était à Monastir.
On a enchainé les saloperies en béton pendant 3 jours. J’avais genre deux mois de boite, je m’étonnais qu’on m‘ait proposé (à moi, la gamine qui venait d’arriver) un week-end d’avril au soleil…
Je suis rentrée écœurée, presque dégoûtée de ce métier et je n’ai plus osé vendre Monastir pendant des mois.
Ceux-là, passé 22 ans, on n’a plus d’état d’âme à se dire que « ben non, c’est pas de chance mais ce jour là, j’peux pas, j’ai piscine » (Là, je sais que je vais grave me faire insulter par des filles qui ne sont jamais partie en éductours, mais j’assume…).
Dans le même ordre d’idée, j’ai ignoré avec superbe il y a 15 jours une proposition d’un TO bien-être que je ne nommerai pas (ils ont un agent de résa qui s’appelle José qui a une voix craquante) de passer 24 heures en Andorre : ½ journée de visites d’hôtels et ½ journée de soins en thalasso.
Il y a de toute façon au moins un boulet par groupe. J’en garde pour la suite… je ne vais pas vous raconter tous mes éductours en un seul post : ma life d’agent de voyages est certes trépidante mais il ne m’arrive pas des choses extraordinaires chaque jour non plus.
J’ai réfléchi aux CVIP effectués ces 9 dernières années. Je ne voudrais pas avoir l’air de me la raconter grave mais quand même… je suis un poil montée en gamme depuis quelques années… j’ai classé mes CVIP en trois groupes :
1. Les visites d’hôtel à la chaine dans des endroits où pour rien au monde on n’enverrait un client. Voilà, c’est dit. Mon premier CVIP, c’était à Monastir.
On a enchainé les saloperies en béton pendant 3 jours. J’avais genre deux mois de boite, je m’étonnais qu’on m‘ait proposé (à moi, la gamine qui venait d’arriver) un week-end d’avril au soleil…
Je suis rentrée écœurée, presque dégoûtée de ce métier et je n’ai plus osé vendre Monastir pendant des mois.
Ceux-là, passé 22 ans, on n’a plus d’état d’âme à se dire que « ben non, c’est pas de chance mais ce jour là, j’peux pas, j’ai piscine » (Là, je sais que je vais grave me faire insulter par des filles qui ne sont jamais partie en éductours, mais j’assume…).
Dans le même ordre d’idée, j’ai ignoré avec superbe il y a 15 jours une proposition d’un TO bien-être que je ne nommerai pas (ils ont un agent de résa qui s’appelle José qui a une voix craquante) de passer 24 heures en Andorre : ½ journée de visites d’hôtels et ½ journée de soins en thalasso.