A se gaver de poisson et de noix de coco...
Pour rejoindre Andorre, c’est 2h40 de TER depuis Toulouse. (qui est déjà à 6h40 de la Gare Montparnasse, donc pour une fille comme moi qui a du mal à bouger son cul Rive Gauche, c’est juste pas possible).
Message perso au sus-dit TO : la même chose en Bretagne, avec José (qui n’est pas portugais mais de République Dominicaine), je prends tout de suite !
(note perso au sus-dit José : je m’entraine à danser la bachata depuis 15 jours, juste au cas où tu voudrais me présenter tes parents)
2. Les visites d’hôtels vendables (même si à la chaine) dans des pays chouettes : bon… c’est pas que je sois complément obsédée par la Rép’ Dom’ (mais quand même…)
Mais partir 5 jours en décembre (les TO renforcent leurs chaines de charter et ils ont des empty-legs à remplir, c’est pour ça qu’on est toujours invitées début décembre ou en novembre), à se gaver de poisson et de noix de coco.
Ensuite danser jusqu’au bout de la night, rouler des centaines de kilomètres pour aller visiter 21 hôtels tous plus somptueux les uns que les autres, ça vaut le coup de ne (presque) pas dormir 5 nuits, de se prendre 30 degrés de différence de température (et la même chose au retour.
Cela vaut le coup de noircir des pages entières de notes sur les hôtels (faut débriefer aux collègues au retour) et de ré-attaquer au bureau à 10 heures même quand on est arrivée 3 heures plus tôt à l’aéroport, crevée et jet lagée... et qu’on ressemble à un épouvantail avec coups de soleil sur le nez et marques blanches autour des yeux façon panda, un poil fatiguée par le voyage !
Message perso au sus-dit TO : la même chose en Bretagne, avec José (qui n’est pas portugais mais de République Dominicaine), je prends tout de suite !
(note perso au sus-dit José : je m’entraine à danser la bachata depuis 15 jours, juste au cas où tu voudrais me présenter tes parents)
2. Les visites d’hôtels vendables (même si à la chaine) dans des pays chouettes : bon… c’est pas que je sois complément obsédée par la Rép’ Dom’ (mais quand même…)
Mais partir 5 jours en décembre (les TO renforcent leurs chaines de charter et ils ont des empty-legs à remplir, c’est pour ça qu’on est toujours invitées début décembre ou en novembre), à se gaver de poisson et de noix de coco.
Ensuite danser jusqu’au bout de la night, rouler des centaines de kilomètres pour aller visiter 21 hôtels tous plus somptueux les uns que les autres, ça vaut le coup de ne (presque) pas dormir 5 nuits, de se prendre 30 degrés de différence de température (et la même chose au retour.
Cela vaut le coup de noircir des pages entières de notes sur les hôtels (faut débriefer aux collègues au retour) et de ré-attaquer au bureau à 10 heures même quand on est arrivée 3 heures plus tôt à l’aéroport, crevée et jet lagée... et qu’on ressemble à un épouvantail avec coups de soleil sur le nez et marques blanches autour des yeux façon panda, un poil fatiguée par le voyage !